#31617
Epicture
Participant

toi tu appelles cela la vie,
moi, j’appelle cela le féminin en moi,
mais les forces vives de la vie, les forces les plus secrètes en nous, en toute chose vivante,
sont peut-être juste féminines

quoi qu’il en soit, cela se libère et c’est tellement bon à ressentir,
c’est comme si des vannes s’ouvraient, des digues s’évanouissaient,
libérant de flots de volupté, de sensualité, libérant mon corps, libérant mes mouvements, mes gestes,
c’est une danse tellement sensuelle en moi, une danse de vie,

Voilà @bzo !! Tu resumes ici brillamment l’essence de ma quête !

La notion de féminin ou de vie, peuvent a un certain moment jouer un role moteur, car rassurant pour notre esprit, mais ensuite, ils sont autant de mots qui agissent comme des digues devant le flux, la vague, qui nous ubmerge. Accepter d’être submergé, va a l’encontre de la nature même de l’esprit. C’est donc un travail de funambule pour être submergé sans perdre l’équilibre. Toute la difficulté est là.