#31825
bzo
Participant

Ton témoignage comme celui de quelques autres prostatonautes illustre simplement à quel point la pratique du plaisir prostatique peut nous conduire bien au-delà de l’enchaînement excitation, stimulation, orgasme, éjaculation, satisfaction, dodo. Au lieu de subir un enchaînement inéluctable que dans le meilleur des cas on va s’efforcer de prolonger en bloquant d’une manière ou d’une autre la montée du plaisir, on peut au contraire se laisser aller et tout faire pour accroître l’intensité de l’expérience aussi longtemps qu’on le souhaite.

Tu nous montres que ceux qui le veulent et font preuve de la persévérance nécessaire sont récompensés par des découvertes qui les conduisent à vivre des expériences orgasmiques qui dépassent tout ce qu’ils pouvaient espérer et à découvrir des aspects de leur personnalité profondément cachés avant le début de leur cheminement.

oui mais ce que je voulais dire, c’est que je ferais mieux de m’en tenir à mon journal,
là narrant au jour le jour ma pratique,
mon récit comporte sans doute tout ce que tu en écris
et ainsi je peux éventuellement “me rendre utile” à quelques uns venant chercher autre chose par ici

mais si j’essaie ponctuellement de répondre à des interrogations précises posées,
c’est là que je me pose des questions,
je n’ai pas ton recul objectif,
je suis trop plongé dans ma pratique, ses singularités sont devenues trop grandes,
j’ai l’impression que mes réponses entraînent plus de confusion qu’autre chose
pour des débutants qui en général,
cherchent juste un complément d’informations par rapport au traité d’Aneros