#31898
SophiAir
Participant

Bonjour,
Ca faisait un bail que je n’avais pas participer au forum. @bzo, je reviens sur ton dernier post où tu disais :

je crois que tu pourrais très bien aussi avec masseur arriver à vivre ta séance au féminin,

En fait, ça m’est déjà arrivé de vivre une double expérience, grâce à l’Eupho, comme je l’expliquais le 13 octobre dernier.

Aujourd’hui, après 1/2 h d’A-less décoiffante, une petite envie de reprendre mon fidèle Eupho. Déjà bien chaud(e), j’ai réagi au quart de tour. Et j’ai allié mes sensations A-less de mon petit vagin de femme et mes sensations Eupho d’anus d’homme pénétré. Bon, 2 h après, je ne m’en remets pas. Les contractions de mon abdomen n’arrêtent pas. J’ai du mal à me concentrer sur une conversation, et des vagues de chaleur circulent dans et sur tout mon corps, au moment où je vous écrit. A refaire donc ! Bises à tous

Je pense que cela n’a pas été possible avec le Progasm du fait de sa taille et de la puissance ressentie du pilonnage.

Sinon, je continue mes voyages A-less, plus ou moins puissants, selon la situation : dans mon lit ou dehors.
Ce matin, pendant mon petit-déjeuner, mon amant imaginaire m’a pris(e) sur le canapé, assis(e), tête rejetée en arrière, cuisses écartées. Je l’ai senti me pénétrer en douceur et puissance, écartant les lèvres de ma vulve et les chaires de mon vagin de son gland. Ses va-et-vient m’ont envoyé(e) rejoindre les étoiles. Comme je l’expliquais dans un post précédent, je maîtrise maintenant ma respiration, sur laquelle est calé le rythme de mon amant. Du coup, je peux faire durer la séance, en accélérant ce rythme ou le ralentissant. Mon amant peut ainsi me pénétrer profondément, me faisant ressentir l’entièreté de son pénis en moi ou faire jouer son gland par de petits aller-retour entre mes lèvres, sensation plus légère mais très excitante, qui m’emmène vers une faim de pénétration ; il peut me pilonner avec force ou ralentir ses mouvements et me faire gémir d’attente. Jusqu’au paroxysme où je perd totalement pied.
Depuis ce matin, et encore à l’heure où j’écris, j’ai ressenti et je ressens les répliques de cette séance. Assis(e), jambes croisées, à mon bureau ou debout dans le métro. J’adore ces répliques, cette contrainte de la discrétion, même si cela ne m’amène pas à la jouissance et à la puissance d’un orgasme. Ces petites contractions que je sens dans mon abdomen, ces fourmillements si mouvant, ces frottements de cuisses (humm la sensation que ce doit être de porter des collants et sentir leur crissement, tellement plus subtiles que les frottements d’un jean, je pense à toi Naomi et à toi aussi Armandine).
Voilà, juste pour dire que, même si je participe peu, je continue mes voyages au pays de ma féminité et de mes plaisirs. Je vous lis, et je continue à apprécier les progressions des un(e)s et des autres.
Bises à tou(tes)s les prostatonautes