#32047
bzo
Participant

Par contre, en dehors de ces séances, cette nappe est juste sous la surface, affleurante, et à la moindre occasion, au moindre prétexte, la nappe prend le dessus, la femme émerge et submerge.

ce n’est pas contradictoire, désormais que la voie est ouverte,
du plus profond elle monte en un instant, chez moi aussi,
il me suffit d’un geste, d’une petite contraction et déjà je suis envahi de la tête aux pieds

ceci étant dit, on est tous différents, dès lors il est normal
qu’il y ait des différences aussi durant ce plaisir au féminin

mes mains d’homme vont sans relâche sur ce corps de femme qui est le mien pour l’instant,
le rendant fou de plaisir, le faisant se ruer, le faisant se cabrer,
le faisant onduler, gondoler,
je miaule entre ses doigts, je me pâme entre ses doigts,
je ris entre ses doigts, je me froisse entre ses doigts, je me défroisse entre ses doigts,
j’ondule de partout entre ses doigts,
j’ai des vagues langoureuses partout, entre ses doigts, qui n’arrêtent pas d’enflammer ma chair,
je n’arrête pas de soupirer entre ses doigts, de gémir entre ses doigts
tant ces mains, ces doigts, expertement me caressent

et puis en bas, ah en bas,
entre mes cuisses ouvertes, remuant sans cesse,
cherchant à s’ouvrir toujours plus, à s’écarter toujours plus
puis qui se referment soudainement comme pour prendre au piège, ne plus jamais laisser sortir
ce qui s’enfonce si divinement par en-dessous, ce qui remonte si divinement par en-dessous,
au milieu de ce bassin tanguant par tant de houle éveillée,
une ouverture, chaude, soyeuse, joyeuse, prête à frissonner, prête à s’enflammer,
ma petite fente chérie, mon petit volcan d’amour

comme j’aime sentir ces doigts s’enfoncer dans mon A-pussy,
comme des petite souris curieuses, fureter, fureter et encore fureter,
mes petites souris d’amour, ah divines farfouilleuses,
tournez, tournez encore curieusement avec vos petits museaux soyeux

et puis quand remonte l’engin,
l’engin de chair irrigué de sang, dur de tant de sang concentré dans un si petit espace,
de sang pulsant, de sang hennissant, cherchant à faire imploser les lieux,
il semble monté sur roulement à billes tellement il connait le chemin,
c’est mon braquemart à moi mais bandant vers l’intérieur, dressé vers l’intérieur,
comme animé de l’extérieur par des reins puissants et attentifs
qui écoute mon plaisir, écoute mon désir,
fais-moi décoller, enflamme mon bassin, enfonce-toi,
glaive de chair, va et vient sans ménagement dans mes entrailles,
puis glaive de chair, glaive de mon amour,
va et vient avec toute la douceur possible entre mes reins,
alterne diaboliquement l’orage et la soie,
rend-moi fou de plaisir, que mon bassin soit inondé de nectar chaud et frissonnant
puis tout mon corps, puis toute la chambre

toute l’ardeur de la terre entre mes reins pour l’instant,
je suis aux deux bouts du pénis en érection,