#32472
bzo
Participant

première séance du soir de l’année 2019

ai commencé à nouveau avec le masseur,
c’était la troisième ou la quatrième séance avec ma chère Carabosse, ma petite fée du logis en silicone
qui aime tellement récurer mon fondement avec son balai magique

la connexion, cette fois, était totale, j’ai retrouvée toutes mes sensations,
cela s’est traduit immédiatement par un orgasme au premier contact avec la bosse du masseur,
comme dans le bon vieux temps,
où je l’appelais mon orgasme de bienvenue,
où mon fondement et le masseur tout contents de se retrouver,
se serraient l’un contre l’autre éperdument, fiévreusement

après, cela n’a pas arrêté, comme dans le bon vieux temps, j’ai enchaîné les orgasmes,
avec tout l’apport technique de l’aneroless,
une attention aux détails tellement accrue, une précision beaucoup plus grande,
les doigts ou les cuisses venant jouer avec mes bijoux de famille,
j’étais aux anges,
comme j’étais aux anges!

assez curieusement avec masseur,
je n’ai pas ce problème que j’ai longuement décrit plus haut,
je peux passer à des contacts de mes génitaux avec les mains
à aucun contact ou encore avec les cuisses
sans aucun des problèmes que j’ai décrit plus haut

mes vieilles couilles poilues,
mes vieilles couilles poilues que je sentais suinter du nectar dans tout mon bassin,
pour suinter, elles suintaient, une vraie inondation!
quelle bonheur, être empli de tant de volupté, de tant de chaleur frémissante,

avec masseur je bouge beaucoup moins désormais,
sauf les mains qui vont et qui viennent sans relâche, caressant, frottant,
griffant ou pinçant de temps à autre

à un moment donné, j’ai serré les genoux et les ai levé devant moi en les repliant,
en chien de fusil en quelque sorte mais avec les genoux en l’air par devant,
ainsi tout était bien tendu dans le bassin,
je cambrais bien les reins en plus,
je sentais le petit trou trou de mon A-pussy avec le museau de la bête en silicone tout proche,
je sentais mon trou trou tout serré du fait de la position
et je sentais la grosse tête du g-rider tout près,
comme trépidant de s’enfoncer, de venir se frotter à ma prostate,
tout était tellement tendu dans la région
que je ne savais pratiquement plus bouger le masseur en fait,
juste l’enfoncer un tout petit peu entre les lèvres délicieusement serrées de mon A-pussy
qui au fur et à mesure que la grosse tête en silicone essayait de se frayer un chemin,
s’entrouvraient goulûment comme pour le happer
mais difficilement due à la tension extrême de la position,
il s’enfonçait, le lascar, la bête, à chaque fois de quelques centimètres, millimètre par millimètre,
avant de ressortir frottant, frottant, frottant au passage,
j’en miaulais comme une chatte en chaleur de cette lente progression entre mes chairs ultra-serrées
et ainsi coup lent après coup lent, je devenais fou de plaisir une fois de plus,
une fois de plus, je ne savais plus où j’étais, qui j’étais, dans quel état j’erre

après le masseur, je l’enlevais et continuais en aneroless encore un bon quart d’heure

quel bonheur , mes amis, ma tête est empli d’étoiles,
ma chair a déjà connu des félicités comme des carrousels colorés, tournoyant lentement dans le ciel,
cette année 2019 démarre sous les meilleurs auspices