#32577
bzo
Participant

ah mes amis, je sors d’une séance,
sacré bonsoir de bonsoir, pour une séance, c’était une séance!

le système que je décris plus haut, tient toutes ses promesses,
au-delà de tous mes espoirs,
désormais que j’ai une bonne fluidité des gestes, des mouvements, des enchaînements,
je pratique cette alternance de plus en plus automatiquement,
et tout est en train d’exploser dans tous les sens à chaque instant,
le bonheur qui étreint ma chair, je suis dans le sans limites

j’avais déjà connu quelques orgasmes au féminin,
même un super O ou deux, quoique assez courts
(enfin par rapport à ceux que j’ai connu dans le passé avec masseur qui duraient plusieurs minutes)
mais là ce soir, j’ai enchaîné les orgasmes
ou plutôt je les déclenchais à volonté,
comme des fruits mûrs ils se pressaient autour de moi,
je n’avais plus qu’à les cueillir
quand je me sentais prêt dans ma chair

être soudainement envahi dans tout le corps par une chaleur incroyablement dense,
le cerveau comme fondant, envahi par le même nectar ineffable,
provoquant une euphorie dans tout mon être,
j’étais en train d’hurler constamment, ma voix était sans contrôle

épanouissement, sensation sur-puissante d’épanouissement dans l’instant
durant toute la séance,
tantôt en mode liane lascive, m’enivrant de mes caresses
et de mes cuisses frottant inlassablement mes parties,
tantôt avec douceur, tantôt avec flamme,
comme un tango sensuel, collés les uns contre les autres,
mes cuisses, mes couilles, mon sexe, entremêlées,
provoquant des vagues de volupté dans tout mon être

quand je sentais en moi le gourdin se former à l’entrée de mon A-pussy,
de sa tête toute gonflée, écarter les lèvres et commencer à se frayer un chemin,
cela semblait crier dans mon fondement,
cela semblait hurler dans mon fondement,
“hola manants, gueux, laissez passer votre roi,
cédez le passage, le carrosse de sa majesté est annoncé”,
tout s’arrête dans ces moments-là, mes mains, le corps, tout le monde s’immobilise
et le carrosse arrive, comme il arrive, entouré d’éclairs de douceur, de chaleur,
suavement il remonte dans mes chairs,
il bouscule dans un grand rire tout sur son passage,
des vagues concentriques de chaleur, de frissons, se forment sur son passage,
s’ne vont dans toutes les directions,
tout mon intérieur n’est plus que liesse, hurlements de joie et danse joyeuse
sur son passage

ça y est la densité prend corps,
mon corps se fait densité extrême de chaleur,
mon corps se fait densité extrême de douceur,
mon corps se fait densité extrême d’amour,
de la tête aux pieds, je ne suis plus que tremblement amoureux des abysses,
de la tête aux pieds, chacune de mes cellules
est une fleur fragile, frémissante, frêle, riant aux éclats dans l’instant

olé