#33083
bzo
Participant

je suis assis sur mon coin de table favori, les jambes écartées
au fur et mesure de mes lents mouvements,
montant un peu, descendant un peu, glissant, ondulant, me frottant,
me pressant, écartant mes cuisses pour sentir le bois entrer un peu en moi,
me frottant, me frottant de plus en plus langoureusement

je le sens tout contre mon périnée, glisser maintenant plus bas, contre la fente de mon cul,
écartant la chair, poussant la chair, pressant la chair
mon A-pussy est en flamme au milieu de tout cela, mon A-pussy hurle au milieu de tout cela,
j’appuie un peu bien contre mon trou-trou, il s’enfonce encore plus,
mes entrailles fondent, j’ai de la lave partout dans mon ventre,
je fais de petits mouvements latéraux,
je me cabre, je me cabre, pour bien sentir le bois presser encore un peu plus en moi
des légers mouvements de va et vient, de légers mouvements de haut en bas,
mes mains pressent mes seins, les rudoient un peu, les rudoient affectueusement

mon bassin danse, léger balancement lascif contre le coin de bois
qui presse impassiblement tellement délicieusement tout la région,
toujours je monte, je descend, toujours je me frotte,
je suis de plus en plus en feu, de plus en plus gémissant,
je ne suis plus qu’un bassin et un cul se frottant, se pressant
contre un corps inerte le faisant jouir à répétition

mes mains caressent mes flancs, ma poitrine
tandis que des contractions montent inlassablement
vagues puissantes d’une marée, vagues puissantes d’une marée irrésistible,
comme je crie, oh comme je crie