#33103
bzo
Participant

J’ai plus de mal à orgasmer avec un masseur que sans paradoxalement

rien de paradoxal là, l’aneroless offre une beaucoup plus grande liberté,
des sensations plus diversifiées et plus subtiles,
dès lors une fois qu’on commence à avoir une bonne maîtrise de la pratique sans masseur,
il est normal d’être un peu déçu quand on en remet un

j’ai personnellement longtemps abandonné le masseur,
cela fait que quelques semaines que je m’y suis remis sérieusement,
les limitations de la pratique avec masseur sont réelles
mais il y a aussi des avantages, des spécificités qu’il faut sans doute du temps pour reconnaître
et apprécier à leur juste valeur

j’en cite quelques uns en vrac:
– la pratique avec masseur exige beaucoup moins de concentration, il y a moins de fatigue mentale,
c’est du fait qu’en A-less, l’absence du masseur crée un vide, il faut le combler par nos contractions, par notre concentration

– la qualité des sensation est moindre, moins de variété, moins de subtilités
mais c’est un flot où la quantité de sensations est toujours massive,
à chaque contact du masseur et de la prostate, en tout cas chez moi,
c’est comme si des digues ouvraient leurs vannes et déversaient des flots et des flots,
à chaque mouvement pénétration de Carabosse, ma petite fée en silicone,
suivi du contact physique avec la prostate dans mon fondement,
je suis submergé par un petit tsunami qui part de mon bassin et se répand partout

rien que ces deux spécificités déjà, si on apprend à les reconnaître et à les apprécier,
redore durablement le blason de ce type de pratique,
j’adore désormais mélanger durant une même séance des moments avec masseur et des moments sans,
le spectre de sensations s’enrichit tellement,
il y a de subtiles interactions,
il y a une émulation entre les deux façons de faire, elles s’enrichissent mutuellement

bien sûr les moments en aneroless seront majoritaires
mais l’alternance a réellement que des avantages,
permet aussi d’être beaucoup plus à l’abri du risque de s’enfermer dans une routine