#33126
bzo
Participant

ah, mes amis, quels moments délicieux,
une quart d’heure de micro-séances,
un chapelet de micro-séances, tantôt assis au bord du lit, tantôt dans mon fauteuil face à l’ordi,
tantôt dans un fauteuil bas ou encore assis sur mon coin de table favori,
à me frotter par derrière au bois,
sentant celui-ci presser mon périnée, sentant presser mon trou-trou, s’enfoncer un peu dedans,
me caressant la poitrine, les flancs , les fesses,
écartant toujours plus les jambes, m’arquant toujours plus,
pour mieux sentir le bois prendre possession de mon bassin,
prendre possession de moi

un bon quart d’heure ainsi, cela vous réveille, cela fait circuler du jus dans l’invisible,
par moments, empalé sur deux, trois doigts, remuant dessus,
je voudrais les sentir remonter jusqu’à tout en haut, faire éruption dans mon crâne,
c’est comme cela que je me presse dessus, que je danse dessus, que je joue dessus

à d’autres moments, avec deux doigts pressant mon pubis tout contre la base de ma verge,
là je simule de puissants va et vient de pénétration
et à chaque fois cette sensation totalement surréelle, irrésistible
de se faire l’amour avec son propre sexe dressé vers l’intérieur

d’autres moments encore, simplement pressant avec mes cuisses mes parties
et faisant remonter de lentes contractions,
j’avais la sensation ainsi d’avoir dans le ventre
un gourdin allant et venant baignant dans un vibrant fourreau de nectar
grâce aux pressions et aux frottements des cuisses contre mes couilles
en même temps occasionnées par les contractions

mieux que la messe, je vous dis, pour commencer son dimanche,
une prière dans la chair, une prière à la vie, une ode au plaisir,
alléluia, j’ai égrené mon chapelet de micro-séances consciencieusement