#33182
bzo
Participant

arf, j’ai la peau du ventre qui brûle, avec plein de traces rougeâtres
tellement je me suis griffé,
j’étais comme une chatte en chaleur
et par moments j’avais des envies irrésistibles de me griffer

j’ai alterné ce soir des moments d’extrême douceur soyeuse,
de longues, de tranquilles vagues de volupté avec le corps en mode liane lascive
et puis des moments violents, explosifs, animal
où j’avais beaucoup de contacts avec les doigts sur mon sexe, mes couilles
et je laissais tout ce beau monde, ce paquet de nerfs et de muscles se tordre à loisir,
cela faisait des mouvements et des postures vraiment étonnantes par moments,
comme des sculptures modernes, des muscles en tension, en torsion,
et puis donc je me pinçais la chair, je me griffais aussi fort que possible,
cela faisait une gamme de sensations très fortes
qui formaient un contraste délicieux
avec les moments de langueur où j’ondulais, me caressais tranquillement,
laissant mes cuisses et mes couilles joue contre joue, se serrant, se frottant

j’adoré ces contrastes, passer comme cela d’un moment à l’autre
à des sensations si différentes, si éloignées,
j’y parvenais avec une étonnante facilité

pour ma mes prochaines séances, je me suis établi un menue à la carte,
début sans les doigts, langueur et volupté au programme,
finesse et délicatesse tout en nuances et en variations

cela pendant un laps de temps variables selon mon envie, mon état de fatigue, etc,
disons d’un quart d’heure à voire, toute la séance, on verra, il faut garder une certaine souplesse
mais toute cette dentelle jouant en moi, cette fourrure vivant en moi,
offre très certainement la plus haute qualité de sensations possible
mais cela manque d’explosivité
et puis la tension sexuelle croît un peu trop lentement , à mon goût, certains jours,
je ne suis pas d’une nature très patiente

alors après la seconde phase, ce sera de l’alternance,
des moments avec les doigts allant puissamment au contact suivant mon inspiration
mais les doigts restant assez statiques comme je l’ai déjà décrit maintes fois,
ainsi on obtient l’effet fiche enfoncée dans la prise avec plein de courant sexuel qui passe,
qui vient se mêler au restant du flux créé par les mouvements du corps, les caresses
et puis bien sûr, la prostate éveillée par les contractions

c’est le reste autour qui bouge, les reins, le bassin, les cuisses, les contractions,
tout cela commence à se mouvoir un peu n’importe comment, grotesquement même souvent
mais c’est ainsi que c’est bon, avec des mouvements extrêmes, des gestes sans queue, ni tête
et puis les doigts qui se mettent à griffer, à pincer,
à ce stade c’est comme de jeter de l’huile sur le feu,
dépaysement assuré

et puis brusquement, je me remets à onduler lascivement,
la volupté se remet à chanter partout en moi comme un chœur sensuel s’élevant de partout,
des sensations de courbes qui bougent ,
pour être honnête, ce n’est plus la même finesse, ni la même richesse que dans la phase initiale
car les contacts massifs de mes doigts avec mes génitaux,
m’imprègnent encore, ont fait augmenter la tension sexuelle sans ménagement,
toute la délicieuse sophistication, la délicate sensualité omniprésente ,
sont imprégnées d’explosivité, d’animalité haletante,
je suis trop en rut désormais
mais malgré tout, il reste toujours suffisamment de finesse, de nuances, de langueur calme ainsi
que pour former un contraste superbe,des sensations de virages à 180°
dans le type du plaisir