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Prostacool
Participant

Mon apprentissage a été laborieux. Il a commencé il y a trois ans de ça.
J’ai découvert l’existence du plaisir prostatique sur des forums dont celui-ci et décidé de tenter moi aussi l’expérience en achetant un helix.
Les débuts ont été excitants mais rapidement contrariés par des problème hémorroïdaires. J’ai alors du espacer les séances de deux semaines parfois.
Ce qui m’a aussi amener à abandonner les contractions, qui me semblaient de plus contre-indiquées pour les personnes, comme moi, ayant des difficultés à se relaxer. J’ai donc adopté pour le “Do nothing” tel que décrit dans le forum anglophone d’Aneros.
Comme son nom l’indique (“ne rien faire”), il s’agit de simplement se relaxer, tout en maintenant une certaine excitation (vidéos érotiques par exemple).
Et d’attendre d’éventuels “signaux” de la prostate. Une caresse des tétons est aussi appréciable. Plus subtile est la caresse, plus grande est l’excitation (enfin, pour moi en tout cas…). C’est d’ailleurs une des clés du plaisir prostatique.
Bref, dix mois plus tard, j’ai acheté le tapis dont je parlais plus haut. Le but était de soulager des maux de dos.
Ce genre de tapis déclenche une production d’endorphines par le corps et une grande relaxation.
En essayant l’Aneros allongé sur ce tapis, j’ai alors réussi à avoir pour la première fois un vrai orgasme prostatique.
Jusqu’alors, ce n’était que de brèves montées de plaisir.
Depuis, je commence toujours mes séances avec ce tapis que je retire au bout de 30 ou 40 minutes.
Mais cette première réussite ne s’est pas renouvelée avant de longs mois.
J’ai alors acheté des Aneros peridises.
Le plus petit m’a vraiment aidé même s’il a fallu aussi patienter quelques mois.
Je me souviens d’une séance durant laquelle j’ai eu une dizaine d’orgasmes en une heure, chacun durant entre 30 et 40 secondes.
Depuis un an, je suis revenu à l’helix. Je pense qu’au début la pression qu’il exerce était trop importante pour moi et écrasait les sensations.
Je dirais que trop de sensations tue la sensation et que dans certains cas, plus de subtilité est nécessaire.
Ainsi que beaucoup de patience…
Au bout de 3 ans de pratique, je continue de progresser, pas de manière linéaire, mais par à-coups. Et quelquefois des reculs…
Ce qui est formidable, c’est qu’il peut aussi y avoir des progrès fulgurants.
Dernièrement, en l’espace de quinze jours, je suis passé d’une durée maximale d’orgasme de 2 minutes (déjà appréciable), à 5 minutes en continue, puis à 10 minutes (je peux facilement vérifier avec l’heure projetée au plafond).
Et chaque orgasme se répète toutes les 7 à 10 minutes… J’interromps la séance en général au bout d’une 1h30.
Voilà pour un aperçu de mon expérience.
Par contre, j’ai constaté des désagréments certains lendemains : comme un état vaguement nauséeux, un léger mal de tête, une fatigue… Quelquefois de légères douleurs aux genoux. Ce n’est pas systématique.
Est-ce que certains d’entre vous ont aussi ces soucis ?