#33516
lucky
Participant

Coucou,

Bon, je n’ai pas compris, je n’ai pas remis en cause qui que ce soit, mais c’est pas grave !

Ma sexualité est stabilisée. Je me connais désormais et je gère. Mon état naturel est comme orgasmique. Mes orgasmes surgissent comme ils viennent, surtout et essentiellement lorsque je suis décontractée. Je suis obligée de faire attention du coup au lieu où je suis. Je veux dire par là que si je m’allonge dans l’herbe, par exemple, et que je me décontracte, il s’ensuit automatiquement une arrivée orgasmique. Et si je laisse faire, je me retrouve dans des spasmes à n’en plus finir, secouer comme un prunier, et visible de loin.
Du coup, dès que je suis décontractée, mes orgasmes se produisent. Quand que je me couche par exemple. Alors j’accompagne en me caressant les tétons ou parfois aussi avec un gode pour provoquer des orgasmes intenses et cela me conduit au 7ème ciel. Et se succèdent des spasmes, des injaculations, des vagues, des intensités variées et le liquide prostatique coule à flot. J’ai bientôt l’impression d’être sous la volonté d’une puissance supérieure bienveillante qui me procure une sorte de bien-être ravi.
Je pense que là je suis ouverte à tout. Ouverte à la vie, au sexe…ouverte.
Et ce ravissement m’accompagne ensuite tout le temps. J’ai l’impression de sourire en permanence.
De temps en temps, tous les 4/5 jours, je suis obligée de provoquer une éjaculation car sinon je ne suis bientôt plus qu’orgasme sur orgasme toute la journée et la nuit. Ca ne s’arrête plus. Il faut donc que je calme le jeu et l’éjaculation le permet. Mes orgasmes s’apaisent pendant un temps.

Lors de mes flirts dans les lieux libertins que je fréquente. C’est assez délicat. Car je pars au quart de tour, la moindre caresse, le moindre baiser et des spasmes surgissent. Le partenaire est étonné, sinon inquiet. C’est compliqué parce que là, il n’y a pas d’autre choix que d’arrêter, expliquer quand ça ne passe pas à autre chose.
L’autre jour tout de même, un partenaire plus avisé que les autres, a réussi à me procurer du plaisir pendant un certain temps sans être affolé par mes spasmes et à me faire crier de jouissance. C’était la première fois que j’étais entre les mains d’un homme qui m’ouvrait et me prenait avec ses doigts, mais c’est le pied intégral. Je ne pense qu’à ça ! J’ai tellement envie d’être sodomisée. Et ça n’arrive pas pour l’instant.
Arriver à se laisser aller entre les mains d’un homme, et qu’importe la vie, la mort, ce qui se passera ; être dans ce bien-être ravi dont je parlais plus haut et en même temps, là, un homme qui se met en la place du divin et qui me prend, je crois que c’est à mourir de plaisir.
Dans mes caresses, il y a des choses que je ne peux pas faire toute seule. Par exemple, quand le gode est en moi et que je fais des va et vient avec mon ventre, les spasmes deviennent si importants, la jouissance si forte que je ne peux plus faire les va et vient. Ca stoppe net !
Mais lorsque un partenaire s’en occupera, il pourra faire les va et vient et je pressens une jouissance plus importante encore que tout ce que je connais.

Bisous
Julie Armande