#33627
bzo
Participant

j’ai pas très faim ces derniers jours,
cependant hier soir avant de dormir, je me suis fait tout de même une petite séance d’une demie heure

ah mes amis, quels moments bénis des dieux de la luxure,
quels moments sublimes d’abandon,
par abandon j’entends, qu’on s’oublie totalement entre les bras de la volupté,
entre les bras de la félicité
tandis que notre corps officie tout seul, officie sans nous

ce mécanisme, j’en ai beaucoup parlé il y a quelques mois,
là je suis parvenu à l’appliquer avec encore plus d’efficacité, encore plus optimisé,
mon corps était aux commandes, moi, j’étais paresseusement étalé sur des coussins,
caressé de toutes parts, tripoté de toutes parts, pénétré de toutes parts,
j’étais le point central d’une grosse partouze ,
j’avais vraiment l’impression très puissante d’être en même temps séparé de mon corps
mais en même temps connecté à lui comme jamais auparavant,
connecté à lui par le truchement de canaux perceptifs, de canaux sensibles, comme jamais auparavant

les ressources de ce corps ne cesseront jamais de m’étonner, de m’émerveiller,
la partie immergée de l’iceberg, la source,
éblouissants moments, émouvants moments,
ciel de chair, chair de ciel,
instants de ravissement
tous les liens avaient fondus,
complètement descellé