#34271
bzo
Participant

quand j’écris qu’il n’y a pas de limite,
je suis pris de frissons et d’un délicieux vertige,
je sens une voie lactée dans mes veines
et puis je sens ce désir resplendissant,
ce désir toujours plus resplendissant en moi

quelque part dans cette chair, on semble dehors
il y a peut-être une terrasse quelque part,
accessible par un ascenseur propulsé par le désir

l’amour est la plus pure des forces,
se tourner vers quelqu’un, éventuellement soi
pour le partage dans la chair,
l’important, c’est d’allumer le brasier,
l’important, c’est d’atteindre à l’incandescence