#34318
LOULOU
Participant

Bonjour Andraneros.
Vos mots sonnent juste dans ma tête.
Je pense avoir fait l’erreur de croire qu’il était indispensable d’être sexuellement
excité dans sa tête pour découvrir le plaisir prostatique. D’où un stress supplémentaire
dans la crainte de ne pas pouvoir profiter de cette autre forme de jouissance et de découverte
des infinis possibilités de se faire l’amour à soi-même, seul, sans partenaire, sans une sexualité
conventionnelle.

Aneveil écrivait :

Pour qu’une séance puisse commencer, il faut bien sûr de la détente mais surtout de l’excitation et de l’énergie sexuelle afin que la zone prostatique soit un minimum réveillée. (sinon il ne se passe le plus souvent rien).

C’est certain que cela doit aider le cheminement… Mais dans mon cas, maintenant que vous commencer à mieux
me connaître, j’en suis incapable.

Et c’est pour cela, Andraneros, quand j’ai lu votre réflexion matinale, un grand soulagement dans mon esprit à
pris forme. Se focaliser sur l’envie de faire une session. Sans chercher à l’érotiser. Juste profiter dans l’instant
de ces moments de douceur qui pourraient m’amener à débloquer mon mental pour retrouver le désir de prendre une partenaire
dans mes bras. Et si le désir se fait jour, cela sera certainement positif pour parcourir le chemin menant au plaisir prostatique.

Aneveil, Andraneros, merci à vous deux de ces échanges. C’est pour moi une bouffée d’espoir.