#34629
bzo
Participant

si j’étais riche,
je me ferai construire toutes sortes d’accessoires sur mesure pour mon plaisir,
par exemple, une surface en bois contre laquelle venir me frotter
avec un petit appendice en forme de bosse plus bas

je m’y vois déjà, me frottant voluptueusement le dos contre,
pliant les genoux, descendant, montant, me caressant, ondulant,
la petite bosse plus bas, viendrait s’incruster entre mes fesses chaque fois dans la descente,
je la sentirais immédiatement comme au nid, un peu enfoncée ainsi entre mes fesses
venant presser, venant frotter, s’y enfonçant un peu, ressortant, rentrant à nouveau,
se cognant, avec mes va et vient

je n’aurais plus qu’à descendre et à monter tout tout lentement,
mon dos glissant voluptueusement sur la surface plane en bois
et puis bien sûr mes mains allant et venant partout ,
bassin, hanches, seins, épaules, ventre, fesses,
parcourus par mes doigts, tantôt à vive allure, tantôt au ralenti

mes couilles avec mes cuisses bien sûr,
quel barattage divin entre mes jambes,
avec ces productrices si généreuses de nectar chaud , onctueux

comme c’est bon de se sentir ainsi,
envahi d’ondes féminines, d’ondes masculines, s’entremêlant, s’ébattant

bougé par le désir, ondulant comme une femme en chaleur
en même temps, on sent qu’on a un engin virilement dressé entre les jambes,
on s’en sent le propriétaire déchaîné,
qui l’enfonce par moments de vigoureux coup de rein entre des jambes accueillantes,
on sent comme il est gorgé de sang, comme il est dur, comme il semble vibrer
et en même temps on sent, comme on écarte avidement et sans retenue les jambes pour le recevoir,
pour le sentir s’enfoncer en nous, remonter dans nos entrailles,
on sent la fente, la petite fente divine en nous, avide de l’accueillir, l’engin dresse, bien dur,
on veut le sentir s’enfoncer toujours plus,
le sentir fouiller et encore fouiller en nous , remuer en nous, frotter en nous