#34824
Rodward
Participant

Bonjour

J’ai pu réussir à effectuer deux sessions ces trois derniers jours, toutes deux très différentes et enrichissantes.

La première étant suite à une très forte demande de simulation de ma zone rectale, j’ai tenté l’expérience de porter l’aneros en regardant une série, j’ai dû faire pause et arrêter à un certain moment car les sensations étaient plus fortes que la série, lol. J’ai pu donc continuer sur mon lit, comme d’habitude, détendu.

A partir de là, je me posais sur le dos, mais j’avais du mal à ressentir l’aneros, et cela même pendant près de 20 minutes, j’ai donc décidé d’essayer à nouveau de retenter la position de côté, et après quelques minutes, je ressentais de nouveau des choses ! Pour je ne sais quelle raison, il m’a fallu aller aux toilettes 2 fois en l’espace de 20min dans cette position, l’envie d’uriner étant beaucoup plus forte que les sensations de l’aneros (alors que je n’avais quasiment pas bu de la journée). Il est vrai que dans cette position, on ne peut pas être sujet à des contraction soudaine des membres, et qu’il est plus facile de se relaxer. Tant bien même je suis parvenu à “enchaîner” l’évolution des sensations (quand les sensations s’amplifient, aussi bien la décontraction que le plaisir).

Et…. au bout d’un petit moment, j’ai littéralement senti une sensation de pur bonheur assez légère, un peu comme une vague dans tout le corps, mais c’était bon. Un peu comme si tout le “bonheur du monde” avait tapé à ma porte pour se manifester et est parti en courant. ça m’en a laissé des frissons et des souvenirs.

Et pas plus tard qu’hier soir, j’ai retenté une session, d’abord en commençant sur le côté, mais hélas, impossible de dépasser le stade qui avait précédé cette vague, je me suis remis sur le dos, d’abord jambes allongées, puis repliées au bout d’un moment. Je sentais l’aneros qui s’agitait par moment, jusqu’à d’ailleurs agir comme une vraie mitraillette à un instant, le moment le plus fort que j’ai eu était celui où je sentais mon corps comme se crisper tout seul, malgré que je sentais qu’il était décontracté et que je faisais tout pour le maintenir décontracté par des respirations. Je ne sentais à peine mon corps, comme si une énergie invisible, que je ne pouvais sentir ou ressentir parcourait mon corps (hélas, sans vraiment de plaisir)

Et c’est là que c’est devenu intéressant ! Cela faisait une heure et demi que j’effectuait la séance, ma moyenne étant plus de 30min-1h, j’essayais donc pour le plaisir de me mettre à quatre pattes, en plongeant ma tête dans mon oreiller, bras relâchés, et à ce moment là s’est suivit une heure de pur torture et plaisir à la fois. Je sentais l’aneros provoquer un plaisir à chaque contraction, plaisir qui s’amplifiait petit à petit mais qui redescendait également pour remonter au même stade à chaque fois, je sentais littéralement mes jambes trembloter, une sensation légère d’engourdissement quasi permanent de plaisir dans le postérieur, j’essayais de nouveau de changer de position (sur le dos, puis sur le côté), mais il était impossible de faire évoluer cette sensation, c’était vraiment comme si … Comme si … C’est dur à décrire, one a une sensation de plaisir à la limite de la satisfaction continu dans le derrière, qui n’arrive point à s’embraser et libérer le Ragnarök (c’est ce qui m’est venu à l’esprit en écrivant ça), c’est comme avoir tout le bonheur du monde qui revient taper à la porte, mais qui attendait derrière cette fois, mais impossible de trouver la clé. Et cela, pendant une heure durant. C’était jouissif, mais frustrant.

J’étais également surpris de voir qu’au final ma session avait duré 2h30, 2h30 que je n’avais pas vu passer, alors qu’en général elles durent beaucoup moins longtemps.

Bref, je me réveille et vous écrit ça ce matin, pensant encore à la soirée d’hier, ayant le postérieur encore vibrant, avec ces sensations dans le coin de ma tête.

Bonne journée à tous !