La conclusion de ton message @arousal :
Eh oui, abstinence au niveau pénien + séances assez rapprochées de plus en plus gratifiantes = libido qui s’envole.
Me pousse à m’interroger sur deux aspects de ton évolution :
1. Tu pratiquais déjà une forme d’abstinence l’année dernière lors de l’ouverture de tes « chroniques prostatiques » :
Cependant (et ça paraît contradictoire) l’abstinence prolongée côté pénis/éjaculation aide bien.
Tu complétais la présentation en ajoutant sur le même sujet :
j’étais assez « prostatiquement » excité, avec des vagues de plaisir A-less préalables déjà pendant la journée. Et une abstinence éjaculatoire d’une bonne semaine.
Comment t’organises-tu pour pratiquer cette abstinence ? Quelles différences ressens-tu entre les périodes d’abstinence et celles qui suivent une éjaculation ? Comment ta femme (qui s’inquiétait déjà de te voir « finir gay » vit-elle tes périodes d’abstinence ?
2. Au début de cette année tu semblais avoir adopté un rythme de session modéré :
Ça se passe bien pour moi, de l’ordre de 2 séances par semaine
Tu nous parles aujourd’hui de « séances assez rapprochées ». Doit-on comprendre que tu multiplies tes sessions chaque semaine, poussé par un désir de plus en plus fort et de plus en plus présent qui te conduirait à multiplier les sessions ? Si tu sens une différence entre ce qu’était ton désir il y a quelques mois et ce qu’il est devenu aujourd’hui tu reliras avec profit ce que @epicture écrit à ce sujet, sans oublier @bzo. En voici quelques exemple :
Tu sembles suivre le même chemin que celui qui les a conduits à vivre des moments de jouissance tout simplement extraordinaires. En deux mots des super O’s !
Bon cheminement @arousal.