#35409
bzo
Participant

ah ces premiers moments de retour à la maison après une journée au boulot
où je me dénude et puis mes cuisses commencent leur manège avec mes bijoux de famille,
toute cette ouate chaude, douce, caressante qui envahit mon bassin,
comme c’est ineffablement bon, comme c’est irrésistiblement bon

mourir de plaisir un jour, si c’était possible, je signerais tout de suite,
quel autre manière de s’éteindre, de s’éloigner de ce corps,
est plus digne d’un libertin?