#35846
bzo
Participant

Le massage des testicules que je pratique avant de me lever et le soir au coucher c’est pour le plaisir que cela me donne. Je les accompagne de contractions anales, c’est très bon. Après les massages je passe à la stimulation de mes tétons et ma prostate entre dans la danse.

c’est pas mal finalement,
je vois cela comme une sorte d’alternance où tu développes peu à peu tes sensations en aneroless
et puis tu t’appliques à éveiller tout le reste du corps aussi

cependant ta prostate entre dans la danse aussi, quand tu te effectues des contractions, tu peux me croire,
tu le sens sans doute pas encore
car ta prostate n’est pas encore suffisamment éveillée,
mais tu le sentiras un jour,
elle aime bien entrer dans la danse à tout bout de champ, la divine tubercule des profondeurs

nous avons nos parties génitales, par défaut, notre accès au plaisir sexuel, aux sensations,
pour la très grande majorité, le seul et unique accès,
les plus chanceux, les curieux, les plus audacieux,
découvriront qu’on a aussi cette petite boule magique en nous, appelée prostate
qui est en quelque sorte un autre organe sexuel,
donnant accès d’une tout autre façon à nos énergies sexuelles,
c’est une révélation pour tout ceux qui s’y initient

et puis plus tard quand notre prostate est bien éveillée,
eh bien elle peut entrer dans la danse à tout bout de champ, elle devient ultra-sensible,
tu caresses tes tétons, elle se met à vibrer,
tu effectues des contractions, elle se met à vibrer,
tu bouges un peu lascivement ton corps, elle se met à vibrer,
c’est plus fort qu’elle, elle aime à vibrer le plus possible
comme un oiseau chante à tue-tête sur sa branche, célébrant le soleil, célébrant la vie

une dernière chose, tu n’as pas répondu,
tu te masses les testicules avec les mains ou les cuisses?
je te recommande chaudement de le faire plutôt avec les cuisses,
essaie avec un peu de persévérance, c’est beaucoup plus efficace,
les cuisses sont les interlocuteurs naturels de nos parties génitales,
elles sont faites pour danser ensemble, en slow serré, lentement, lascivement,
pressées les unes contre mes autres, se frottant, s’effleurant, se malaxant,
levant dans le bassin une volupté ineffable