#35952
bzo
Participant

en relisant ton témoignage
qui fait écho à tellement d’autres lu par ici,
il me vient cette réflexion
que tout le monde n’est pas fait pour la manière de pratiquer proposée par le traité
et qu’ils ont vraiment tort de vouloir à tout prix essayer d’appliquer à la lettre ce qui y est décrit

je prends mon cas personnel,
j’ai essayé pendant deux, trois jours, d’appliquer le traité
mais trop frustré, j’ai vite divergé, pris un chemin de traverse
et je suis parvenu en fin de compte, je crois, à aller aussi loin qu’il y a moyen d’aller avec un masseur,
en m’y prenant tout à fait autrement,
super O à la pelle, orgasmes de plusieurs minutes, des dizaines et des dizaines d’orgasmes sur une séance, etc,
j’ai goûté à peu près à tout ce qu’il y a moyen de goûter avec un masseur planté dans le fondement

je pense à quelque chose de plus actif, une technique plus active de pratiquer,
plutôt que de rester à peu près inerte comme une planche en essayant d’être le plus détendu possible
en attendant que des contractions involontaires arrivent,
effectuant une contraction par-ci, par-là, un peu de jeu avec les doigts sur les tétons,
non vraiment il y a moyen de s’y prendre d’une manière beaucoup plus active,
avec des va et vient du masseur, des vraies caresses sur tout le corps,
celui-ci aussi beaucoup plus en mouvement,
toutes sortes de déplacements du masseur, des frottements, des pressions sur la prostate, plus ou moins forts
mais le principe étant que le masseur est à peu près constamment en mouvement

et puis aussi cette histoire de rester le plus détendu possible,
cela aussi ne s’applique que si on a opté pour le “do nothing”
mais dès qu’on s’engage avec plus d’action, un masseur nettement plus mobile,
alors il faut laisser le reste du corps aussi participer autant que possible,
écouter son désir, débrider celui-ci

comme je l’ai déjà souvent écrit,
cette manière de faire , doit quand on s’y sent de plus en plus à l’aise
créer la sensation irrésistiblement qu’on se fait l’amour
et que le masseur va et vient en nous comme un sexe,
cela peut peut-être déranger certaines personnes ce genre d’analogie,
bah tant pis, qu’ils passent leur chemin,
il n’est pas question ici de devenir homosexuel,
juste prendre du bon temps, du très bon temps avec soi-même,
d’une manière décomplexée, libre et sans tabou,
en profitant des énormes possibilités de plaisir aussi qu’on peut aussi obtenir par le fondement