#37323
Caktil
Participant

Bonjour à vous tous,

Je voulais vous faire part de mes dernières aventures prostatiques. Une autre longue tartine, donc !

Donc jeudi passé, le 7 mai, j’ai essayé le Tempo pour la deuxième fois. Une fois la bête réchauffée, les premiers mouvements péristaltiques commencent. C’est vraiment très agréable et aussi caractéristique de ces jouets Tempo et Peridise. On dirait que mon anus et mon rectum ont envie d’aspirer et de malaxer cet intrus. Je me fais la réflexion qu’une séance remarquable se prépare. Au moment où j’y pense, je me dis en même temps que ce n’est peut-être pas trop malin d’avoir ce genre d’attente…
Je dois pousser l’instrument manuellement à plusieurs reprises un peu plus au fond car il a tendance à un peu trop ressortir. Le plaisir augmente une fois le dispositif bien enfoncé jusqu’à ce que la petite boule, qui se situe près de la base, soit contre mon anus. J’obtiens quelques bons orgasmes supplémentaires et beaucoup de plaisir au niveau anal. Cette petite boule et sa copine, à l’intérieur du rectum, font vraiment du bien.

Les vagues d’orgasmes se succèdent et j’arrive à assez bien les prolonger avec les caresses sur les seins et les tétons, mais pas plus d’une minute ou deux. À un moment, j’ai beaucoup de tremblements des jambes et du bassin. Je n’en n’ai jamais eu autant jusqu’à aujourd’hui. Pendant ces moments de tremblement j’ai aussi pas mal de contractions involontaires très plaisantes. Même si j’ai l’impression que la session n’est pas en mode automatique comme parfois, quand ça marche bien, je vis des moments de plaisir intense. Comme je l’avais déjà remarqué lors de la première utilisation du Tempo, le plaisir ressenti a souvent un « touché » électrique. Comme si le fait que le stimulateur soit en acier joue un rôle et est la cause de ce sentiment de plaisir électrique. Mais, en tout cas, c’est vraiment agréable. Ces orgasmes de l’anus, nouveaux pour moi, sont très jouissifs. Comme je l’ai déjà remarqué, ils ressemblent à l’orgasme traditionnel sauf que le plaisir est centré sur l’anus. Et les contractions orgasmiques sont lentes. Bien plus lentes que celles de l’orgasme pénien. Et aujourd’hui, elles sont extrêmement lentes. Comme une éjaculation au super ralenti et sans émission de sperme, bien sûr. Je vérifie à plusieurs reprises la profondeur de l’insertion et la corrige chaque fois en poussant un peu plus le Tempo. J’avais aussi remarqué ce phénomène avec les Peridises, alors que je ne corrige jamais l’insertion des masseurs prostatiques. Je me masturbe un peu à quelques occasions et, si j’avais voulu, je pense que j’aurais pu bien synchroniser orgasme pénien et orgasme anal dans cette séance. Juste après les stimulations du pénis, j’obtiens toujours des contractions orgasmiques très agréables, quand mon attention se détourne de mon sexe pour se recentrer sur la prostate et l’anus.
Je pense que j’avais un peu trop d’attentes pour cette deuxième séance avec le Tempo. Elle est très agréable mais pas aussi époustouflante que la première. Ah les attentes…

Une fois n’est pas coutume, je fais une session supplémentaire ce vendredi 8 mai. Je décide d’utiliser un Peridise, le plus fin des deux que je possède. Cette séance du vendredi soir n’était pas planifiée jusqu’en fin d’après-midi. Normalement, je consacre le vendredi soir à un ou deux orgasmes traditionnels. Mais bon… Je me suis dit que je pouvais conjuguer les deux sortes d’orgasmes et j’en ai profité pour tester la lubrification K restreinte. C’est-à-dire que je n’ai pas utilisé de suppositoire. J’ai juste généreusement badigeonné mon Peridise avec du beurre de karité. L’idée est de simplement jouir (🙂) un moment des effets du Peridise avant de me procurer un super-T.

Eh bien, cette session sera simplement la meilleure jusque-là… Les meilleurs orgasmes de ma vie… Je me répète souvent en disant cela, mais c’est la stricte vérité….

Les mouvements péristaltiques commencent très rapidement et me propulse au 7e ciel… Les orgasmes anaux se succèdent les uns aux autres et sont à chaque fois meilleurs ! Mon anus est extrêmement sensible et me procure du plaisir comme jamais. Une fois sur le dos, avec la stimulation des tétons, le plaisir atteint des sommets ! Dans cette position, avec les jambes relevées ou allongées, j’ai des tremblements des cuisses et du bassin assez spectaculaires. Ce plaisir est insensé ! Ressentir le dispositif se mouvoir dans mon canal est très jouissif. Je repousse plusieurs fois le Peridise un peu plus au fond, jusqu’à la butée, et cela déclenche à chaque fois un orgasme plus fort. Je dois le faire plusieurs fois. Je sens particulièrement bien quand il glisse en dehors de mon anus, c’est délicieux. D’après le mode d’emploi d’Aneros, il faut juste faire passer la tête du stimulateur et l’aspirer ensuite grâce aux contractions des sphincters. Mais je ressens plus de plaisir en le poussant au fond, jusqu’à ce que la petite boule qui est près de la butée soit contre mon anus. A un moment, j’ai l’impression que mon anus serre le Peridise comme si ma vie en dépendait !
Je fini par synchroniser un orgasme anal avec un orgasme pénien et obtiens un super-T vraiment très fort avec une splendide éjaculation. Je suis comblé ! Ces jouets sont extraordinaires !!
En conclusion, le Peridise Fin est vraiment incroyable, il m’a procuré les meilleurs orgasmes jusqu’à présent. La lubrification K restreinte est tout à fait suffisante pour les Peridise. Lundi, j’essayerai avec le masseur prostatique Ultra P-Spot Massager de la marque Malesation.

Séance du lundi 11 mai 2020 avec l’Ultra P-Spot

La meilleure séance depuis la séance de vendredi soir… Les meilleurs orgasmes de ma vie… Je raconte toujours la même chose… C’est presque lassant ! 🙂

C’est peut-être parce que j’ai réussi à ne pas avoir d’attentes spectaculaires pour cette session avec l’Ultra P-Spot Massager qu’elle est justement devenue spectaculaire ! Ma seule attente était de voir comment se comporterai un masseur avec la lubrification K restreinte.

Cette session est du type « vagues d’orgasmes de plus en plus forts avec une ou deux minutes de répit avant la suivante ». Et ces vagues se succèdent sans effort, presque automatiquement. Le répit entre les vagues dure de quelques secondes jusqu’à une ou deux minutes. Il me suffit de respirer à nouveau de façon contrôlées pour que la vague suivante pointe le bout de son nez. Une fois l’orgasme enclenché, j’en contrôle la durée avec les caresses sur les seins et les tétons. D’imperceptibles à fortement appuyées, ces caresses maintiennent la sensation de l’orgasme. Comme le surfeur qui contrôle sa planche et garde l’équilibre, je contrôle le masseur et garde la jouissance. Chaque orgasme dure entre une et cinq minutes. À un moment, je me dis qu’il faut que j’en chronomètre un, afin d’avoir une idée précise de la durée. J’ai cette idée juste à la fin du meilleur orgasme de la séance qui a duré plusieurs minutes. Et à peine 20 secondes après, l’orgasme suivant pointe le bout de son nez. J’enclenche quand même le chronomètre en me disant que c’est dommage de ne pas l’avoir fait juste avant et que ce nouvel orgasme sera peut-être plus court ou moins bon. Ce que je mesure donc, c’est pendant combien de temps, et sans interruption notable, je ressens du plaisir de type orgasme sexuel, du même type et au moins de la même intensité que ce plaisir qui accompagne le point de non-retour de l’orgasme pénien traditionnel. Je surfe donc sur ma vague de plaisir sexuel intense et tellement exquis pendant un certain temps puis j’arrête le chrono environ cinq secondes après la fin de l’orgasme. Je sais déjà qu’il a duré plusieurs minutes et que c’était, bien sûr, le meilleur de ma vie. Je regarde le résultat sur le ma montre : 4 minutes, 48 secondes et 43 centièmes… Mais comment c’est possible de ressentir un orgasme de près de cinq minutes ! L’orgasme traditionnel, chez moi, dure à peine une dizaine de secondes et il est moins fort !!! Et là, aujourd’hui, je ressens ce plaisir plus intensément et pendant cinq minutes !! C’est incroyable, impensable !!

Je n’en suis pas sûr, mais du coup, il me semble avoir passé l’étape N°50 de la carte au trésor qui est « Sentiment de refus que ces sensations sont réelles ». Alors disons que sur le moment je n’ai aucun doute sur la réalité de ces sensations. Mais après la séance, je me dis parfois qu’il n’est pas possible d’avoir eu un orgasme de cinq minutes, que c’est quelque chose d’incroyable… Alors, oui, dans ce sens, je valide cette étape de la carte au trésor.

En conclusion, la lubrification restreinte semble être également tout à fait suffisante avec un masseur prostatique. Je testerai encore avec d’autres modèles (le prochain sur la liste est l’Eupho). Quant à la qualité de ces orgasmes… Je me demande s’ils sont vraiment à chaque fois meilleurs ou si le fait de paraître meilleur ne serait pas une des qualités inhérentes de ce type d’orgasme ? Est-il possible d’oublier à quel point c’était bon dans le passé pour penser que celui que l’on vient de vivre est le meilleur ? Mais finalement qu’importe ? L’important étant de vivre, ou d’avoir l’impression de vivre à presque chaque séance le meilleur des meilleurs orgasmes !

Bon cheminement à vous tous, prenez soin de vous.