#40289
bzo
Participant

mes couilles deviennent de plus en plus réactives à ces contacts de mes cuisses,
je les presse doucement contre, comme si elles voulaient les envelopper, les garder au chaud, les bercer
et directement mes petits chérubins d’amour, poilus, joufflus, rondouillets, se mettent comme à ronronner,
c’est velouteux, c’est chaud, cela vibre un peu,
toujours j’évoque la soie mais c’est comme le contact d’une soie chaude, incroyablement douce, frissonnante, frémissante,
un petit nid d’ailes de soie qui vibrent entre mes cuisses

en marchant, en me déplaçant, je m’amuse à garder ce contact,
ainsi ce petit paquet cadeau, ce paquet surprise, plus en mouvement, se met à vibrer plus fort,
la surface de contact varie, les pressions changent,
la soie devient de plus en plus vivante, changeante,
là en écrivant, je resserre et desserre un peu les cuisses, plus ou moins régulièrement,
j’y rajoute quelques cabrements des fesses, une petite contraction ou deux,
cela s’anime là en bas de plus en plus, cela s’amplifie,
des vaguelettes sortent de mon bassin maintenant, montent, descendent aussi dans mes jambes

comme c’est bon d’avoir tout cela, prêt au quart de tour, ce dialogue intime, sensuel,
je suis à peine réveillé, ma tête est encore dans les vapes
mais quelque chose en moi, toute une part de moi, est déjà en mode réveil maximal,
mon corps prêt à jouer le jeu avec moi, mon corps prêt à vibrer de toutes parts,
je me presse les seins, dans ma poitrine, comme un doux feu de paille directement,
je joue un peu avec, j’en caresse un, un peu distraitement puis l’autre,
y rajoute une petite contraction

j’ai les vibrations de mon bassin et celles de mon sein qui se rejoignent, s’entremêlent,
quel carnaval, mes petites fourmis chaudes qui courez sous ma peau avec diligence,
ah comme je vous aime, allez, allez, dispersez-vous,
allez porter la bonne nouvelle dans tout le pays,
cette chair, mon petit vaisseau vibrant, dansant, cinglant,
ô volupté, ô douceur de vivre ces moments, dehors il fait beau, le ciel est bleu,
dedans il fait bon, ma chair chante pour moi

allez, me préparer à manger tout de même, le télétravail m’attend bientôt, vite, terminer ce texte,
le télétravail , enveloppé de toute ma petite fabrique, ma petite usine à moi, sous la peau,
qui m’accompagne, enlumine mes moments, enchante mes moments,
ma petite activité parallèle, mon petit bain de volupté clandestin dans lequel je baigne, je barbotte avec délice