#40903
bzo
Participant

la femme de ménage qui vient pour l’instant, en remplacement chez moi,
est beaucoup plus jeune
et elle a un splendide popotin, ferme, plein de puissance,
même à 62 ans, cela fait germer instantanément plein d’idées dans ma tête, par moments
ponctuellement occasionne, une petite raideur dans mon pantalon

cette partie de son anatomie, o combien intéressante,
apparaissait et disparaissait régulièrement de mon champs visuel,
que j’admets, je laissais plus que d’habitude s’éloigner de l’écran
devant lequel j’étais en télétravail depuis des mois
pour aller errer, mine de rien, dans la direction vers laquelle elle se trouvait

elle était montée, à un moment donné, sur un escabeau pour laver une vitre,
je me suis mis à la fixer, sans discontinuité, goulument, du coin de l’oeil,
buvant les courbes de son corps en action,
m’abreuvant à sa chute de reins qui ondulait tellement sensuellement
et puis son cul splendide, quel morceau, ah mes amis, mais quel morceau de roi,
j’avais envie furieusement de m’en saisir, de le manipuler, de le frotter, de le presser dans tous les sens,
mordre dedans avec avidité, comme dans une pomme juteuse, bien ferme, bien mûre,
tout cela parlait tellement à mes entrailles, évoquait tellement d’envolées voluptueuses

quelle dommage qu’il y avait cette différence d’âge, entre nous
sinon j’aurai bien essayé de la draguer un peu

je me contentais de faire quelques contractions discrètement tout en fixant à nouveau mon écran,
c’est devenu tellement effectif, qu’en quelques instants, j’ai failli jouir,
cela m’a complètement surpris, j’ai eu tout le mal du monde
à ne pas laisser échapper un gémissement, que dis-je, un grognement gras, genre sanglier chatouillé,
tellement mes entrailles se sont mises à se tordre de plaisir

c’est la première fois que je faisais un truc de ce genre, en présence d’un ou d’une autre, chez moi
jamais jusqu’ici je n’avais essayé,
je n’aurai pas cru que cela fonctionnait si facilement et avec si peu de moyens mis en oeuvre,
j’avais gardé tout mon tronc bien immobile, ainsi que mon bassin,
j’avais juste écarté les fesses sur mon siège, m’étais cambré un peu et fait monter quelques contractions
immédiatement, j’ai senti, en bas, toute ma chair s’imprégner d’ondes,
cela s’est répandu comme une traînée de poudre vers le haut en quelques instants,
provoquant derrière mes yeux, comme une explosion d’étoiles dans tous les sens,
mes paupières se sont refermés, par habitude, pour mieux déguster le moment,
c’est là que j’ai du faire un effort surhumain
pour rattraper les sons qui avaient commencé déjà à rouler à bonne vitesse vers la sortie

elle est partie un peu plus tard,
je me suis remis immédiatement dans mon peignoir, tout nu dessous,
me suis appuyé contre la table, dans une de mes positions favorites,
avec le bout du cul dessus, les jambes écartées, les fesses cambrées,
ainsi, j’ai fait monter lentement, très lentement, quelques contractions,
la jouissance a été quasi immédiate et pendant de longues secondes,
des vagues soyeuses, chaudes, montaient les unes après les autres depuis mon bassin,
son petit cul flottait encore en filigrane devant mes yeux,
ma mémoire avait enregistré le moindre détail du mouvement de ses reins
et à présent, le rejouaient sans cesse avec des haut-parleurs pour tout mon intérieur

ah qu’elle m’a fait passer un bon moment, cette diablesse au corps agile,
comme c’est bon, tout cela, cette chair tellement prompte à l’ivresse,
tout ce corps comme une formidable machinerie,
tellement prompte à jouir, tellement prompte à produire des flots de volupté

aboutissement de ces longues années d’exploration,
une approche goulue, gourmande, des instants, avec mon corps,
ma petite caverne d’Ali Baba chérie, toujours à portée,
toujours prête à déverser ses trésors