#41158
bzo
Participant

il pleut et il fait gris sur Bruxelles pour l’instant,
la forêt attendra, vers 15h, cela devrait se dégager

en attendant, je n’arrive pas à retenir mes mains, cela me démange,
j’ai envie de me toucher, de me caresser, de me frotter,
d’aller introduire un doigt ou deux, derrière, dans ma petite crevasse,
encore bien lubrifiée de la crème que j’y mets chaque nuit, avant de m’endormir

mes hanches se mettent à bouger lentement,
rien que cela, déjà, je suis tout chose,
je dois avoir une sorte de nitroglycérine dans le bassin,
dès que vous secouez tout cela un peu,
cela semble comme exploser au ralenti, envoyant des ondes de tous les côtés

je bouge mon cul très peu masculinement pour l’instant,
me déhanche, me cambre, tend les muscles du fessier tout en écartant et refermant les cuisses,
que de bouffées de chaleur, cela monte par vagues maintenant, cela m’envahit de plus en plus,
je ne me retiens plus, mes mains empoignent mes seins, les pétrissent, les malaxent, sans retenue,
mes hanches ondulent de plus en plus,
oh vite, une contraction maintenant pour conclure tout cela,
qu’un piston remonte en moi, pour me faire décoller sans fin, pour un instant,
jouir, jouir, des étoiles en fusion, plein les yeux

mon corps, comme nous nous entendons, comme nous nous comprenons,
tu es toujours partant, comme tu aimes cela, sans aucune limite, les vagues de volupté,
si cela ne tenait qu’à toi, on ferai cela 24h sur 24

mais j’aime aussi lire, écouter de la musique, voir des films,
aller dans des musées, aller dans la forêt,
regarder les femmes dans la rue,
les ondulations merveilleuses de leur croupe, les courbes de leurs seins,
comme une coupe de champagne pour les yeux, les déguster du regard,
un continent à couvrir de baisers,
la cathédrale du désir semble enfouie dans leur corps,
la lumière multicolore des vitraux jouer sur leur peau,
un chant sacré païen, semble prêt à monter de partout,
acoustique parfaite de leurs reins,
prier avec ferveur avec elle,
prier avec ferveur en elle

m’attarder aussi de temps à autre, sur la bosse suggestive d’un pantalon d’homme,
imaginer le sexe qui dort là-dedans, tout recroquevillé, tout pressé,
ouvrir la tirette en vitesse, du regard, passer la langue dessus,
ça y est, il commence déjà à durcir, il sort, commencer à léchouiller l’engin,
le voilà entièrement sorti de son antre, dressé,
il durcit encore plus quand je le prends dans ma bouche, que je l’avale goulument,
tourne avec la langue autour, en montant et descendant