Bonjour,
Cléopâtre, c’est beau et sensuel tiens. Why not ? Après j’ai plusieurs masseurs: helix trident, progasm Jr, eupho et Vice. Donc il faudrait d’autres noms.
Du coup on voit que dans mon cheminement ce n’est pas le masseur qui me freine 🙂 Avec 4 différents, j’ai pas mal exploré cette piste.
J’ai fait des progrès cette dernière année dans le sens où maintenant beaucoup de séances, je dirais 4 fois sur 5, sont plaisantes, j’en suis plutôt satisfait, érotiquement parlant.
Pour revenir succinctement sur ma façon de pratiquer, je suis initialement dans une préparation proche de celle décrite dans le traité.
Je suis allongé sur le dos ou en chien de fusil, et je décontracte bien tous mes muscles. Puis je me mets en mode “antenne” en m’érotisant, avec des images mentales, et je contracte légèrement les muscles PC ou ano-rectaux, puis je relâche.
Puis dès que je sens des choses excitantes, je me concentre sur ces dernières et j’apprécie. Et à partir de là, j’ai tendance à vouloir bouger le bassin, à relever les jambes, ou courber le bassin. Je deviens moins passif, car j’aime bien sentir mon corps aller vers le plaisir de lui-même.
Ce que j’ai remarqué, c’est que les sensations les plus plaisantes viennent dans les moments où je relâche vraiment à 100% les muscles périnéaux, et un peu après: il y a des sortes d’échos, totalement incontrôlés, qui s’imposent à moi. Et plus je me force à tout relâcher, plus ils peuvent être créés ex-nihilo, ce qui est étonnant et excitant. Mais ils ne durent pas et ne s’amplifient pas.
Et j’ai l’impression que c’est précisément là ou je stagne maintenant: je sens qui si je me ” lâchais ” plus, ces échos seraient amplifiés.
C’est un peu comme si il y avait toujours, même si il est moins opaque qu’il y a un an, un voile, mental sans doute, qui empêche les vaguelettes de devenir des vagues. Qui ne permet pas au plaisir vécu de devenir “pur”, “sublime”. Mon mental doit être encore trop déconnecté de mon corps.
Antoine