#41683
bzo
Participant

c’est tout à fait délicieux cette façon que j’ai de bander ces derniers temps,
pratiquant debout ou assis

c’est durant les contractions, cuisses bien écartées, pas ou peu d’ondes génitales donc
mais les contractions partent bien du périnée
et peu à peu la tension dans celui-ci semble se prolonger de plus en plus dans mon sexe,
poussant celui-ci à se raidir de plus en plus

un arc semble s’établir depuis mon périnée jusqu’à dans mon pénis,
je m’appuie dessus, relâche bien tout le reste de la zone
et puis je pousse, je presse, fais monter les contractions les unes après les autres,
mon braquemart devient turgescent, pas raide , raide, mais tout de même

c’est une sensation étonnante car il y a un réel plaisir à le sentir se dresser plus ou moins
mais en même temps, il y a peu d’ondes génitales,
la place est occupé surtout par des ondes prostatiques,
cela me fait quelque chose de très exotique à percevoir,
car le yin est partout en moi,
cette tige quelque peu dressée, se rappelle à mes bons souvenirs

un accessoire yang détourné jusqu’ici de son utilisation mâle
qui revient par la bande, si je puis dire,
mon petit bâtonnet de chair qui me fait signe
tandis qu’en mode yin, complètement malgré tout,
je continue à me faire l’amour passionnément,
c’est presque comme une sorte de clin d’oeil, de ma masculinité
qui semble me dire, “eh, ainsi, c’est encore mieux,
tu pousses encore mieux en toi, petit coquin, ainsi,
les va et vient sont encore plus délicieux
et puis je te fais vivre aussi, un peu du plaisir de sentir son braquemart se durcir, se dresser mâlement,
tu me vis aussi comme pénétrant, encore mieux ainsi”

c’est gagnant sur toute la ligne, cette histoire
et comme il ne semble y avoir que des ondes prostatiques émises pratiquement,
je n’ai aucune crainte que cela dérive vers une éjaculation,
à aucun moment je sens cela monter en moi,
pour l’instant en tout cas
malgré déjà des semaines, sans émission de sperme

mon dieu que c’est bon ainsi, debout, bandant, dansant du bassin,
me sentant pénétré jusqu’au fond de l’âme
et sentant mon sexe raide pénétrant aussi