#42187
Caktil
Participant

Bonjour @divine_oblivion,

Quel message !
Je me retrouve dans bien des points, mais je ne les avais pas conceptualiser aussi bien que toi.

Je trouve qu’il y a une note d’espoir pour les personnes n’ayant plus de prostate dans ce que tu écris. C’est une situation qui ne me concerne pas, mais j’y ai pensé quelque fois depuis que j’ai découvert les orgasmes prostatiques. Je me suis dit que ce serait vraiment dommage de devoir subir une prostatectomie maintenant que j’en tire autant de plaisir.

Je trouve qu’il y a aussi une analogie avec les personnes ayant été victime d’un AVC. Mon épouse en a eu 3 il y a 15 ans et a dû réapprendre à parler. Moi-même, j’en ai été victime il y a 7 ans. Ce n’était pas très grave, juste une certaine gêne dans l’élocution. Au bout de quelques mois, j’ai retrouvé 99% de mes capacités. Pour réapprendre à parler, ou a bouger certains muscles, le cerveau doit trouver un autre moyen ou un autre chemin pour contourner la zone mal en point, ou peut-être consacrer d’autres neurones à une tâche qui était dévolue à une certaine zone du cerveau touchée par l’AVC.

En faisant tout cela, on apprend que la jouissance peut prendre des formes infinies. Ça peut même s’extraire de la sexualité proprement dite. Le vent qui caresse son corps, qui provoque des frissons, des frissons qui chauffent le corps dans une bouffée de bonheur et de mélancolie jusque faire couler des larmes chaudes sur le visage… Certains diraient que cet exemple n’a rien à voir avec le plaisir orgasmique, et ça ne me dérange pas.

Je suis bien d’accord avec toi. Les promenades dans la nature me font parfois cet effet là.

Ainsi un nombre de gens ont eu du succès avec de la marijuana (en petite quantité), qui pousse le cerveau vers la fantaisie, qui peut faire oublier le stresse de la journée, et qui peut aider pour la concentration sur des micro-sensations sur la peau.

C’est mon cas. Sur les plus de 250 séances que j’ai à mon actif, seules 4 ont été faite sans l’aide de la weed et ont été des échecs… Bon, il faut dire que c’était à mes débuts et que peut-être l’échec était dû à autre chose.
Je vais devoir bientôt me passer de l’aide magique du THC, on verra bien si j’arrive maintenant à avoir des séance couronnées de succès sans vaporiser un peu de weed.
Je n’ai jamais essayé avec du LSD car j’ai arrêté ce genre de psychédélique il y a maintenant 25 ans.

On est capable d’imaginer une image d’un avion, la voix d’un ami, le goût de la coriandre… pourquoi pourrait on pas imaginer le plaisir?

Une fois de plus, je suis d’accord avec toi. J’ai souvent beaucoup de succès et j’arrive à déclencher, ou augmenter, le plaisir que je ressens dan la zone prostatique en imaginant des caresses sur les tétons en début de séance.

Bienvenue sur ce forum @divine_oblivion !