#42249
bzo
Participant

cela fait longtemps que je ne m’étais plus mis contre ma grande armoire en hêtre massif
mais là, de bouger, de frotter, mon cul contre le bois,
cela m’a rendu chose tout de suite,
quel contact sensuel, c’est tellement doux et en même temps, un peu râpeux

je me caresse beaucoup, partout,
j’aime tellement sentir courir mes doigts sur moi,
j’aime aussi en sentir, de temps à autre, un ou deux, derrière,
s’attarder un peu dans ma crevasse, jouer à l’entrée
puis plonger dedans, touiller, farfouiller,
laisser aussi beaucoup faire les contractions
qui viennent leur faire un manchon enveloppant, serrant, enveloppant

donc là, debout, contre ce meuble,
je gigote lentement, je balance langoureusement les hanches,
je suis en mode liane lascive,
comme c’est bon de frotter mon cul contre ce bois, je ne m’en lasse pas,
c’est tellement excitant, je me sens animal en rut, de plus en plus

j’écarte bien les cuisses, temps de me labourer un peu, avec des contractions,
rien de tel que les ondes prostatiques en mode yin pour se sentir pénétré,
les va et vient ainsi, me mettent rapidement hors de moi,
je ahane de plus en plus
et mon cul se tord, se balance, dans toutes les directions

l’orgasme est tout prêt, je sens ma chair qui fond massivement, à présent
et puis je sens l’engin formé par les contractions,
me remonter toujours haut, toujours plus facilement,
de plus en plus émerger dans ma tête y provoquant des débuts d’explosion,
il semble avoir trouvé son chemin pour me connecter aux cieux