#42375
bzo
Participant

j’ai remarqué que les ondes prostatiques circulaient beaucoup mieux
dans un sexe un peu durci, un peu dressé,
la densification de la chair de l’engin, sa congestion par le sang,
semble favoriser leur déplacement,
je ressens très nettement ainsi comme des picotements très agréables,
cela tourne dans tous les sens, au hasard, cela grouille

mais il ne faut pas non plus un pénis complètement durci,
à 100% ou pas loin, le braquemart semble comme verrouillé sur du plaisir pénien,
comme un missile à tête chercheuse qui a son objectif en point de mire,
il n’a plus que cela en tête, en gland, plut tôt, on devrait dire
cracher à plus ou moins long terme, son petit nuage laiteux

non, disons, en érection de 40 à 60%, voire même 70%, est le durcissement idéal
pour que les ondes prostatiques se déplacent dans des conditions excellentes,
elles aiment cette raideur déjà assez avancée,
elle leur offre un terrain où elles peuvent s’exprimer mieux,
leur puissance s’en accommode bien, elles ont une meilleure accroche,
elles semblent presque gratter ineffablement, par moments, dans l’invisible,
rayer infiniment doucement en groupe désordonné,
provoquer des foultitudes de minces traces de chaleur soyeuse

à partir d’un moment, cela semble grouiller constamment
comme des millions de poissons pris dans une nasse,
quel ineffable tournoiement,
si cela pouvait ne jamais s’arrêter,
moi je dis