#42391
bzo
Participant

matinée de bricolage ici,
j’en avais fait énormément les premières années dans cet appartement
pour l’améliorer de fond en comble, bien que je ne sois que locataire
mais locataire au long cours tout de même,
alors autant en faire un petit nid le plus confortable possible, n’est-ce pas

mais après, cela m’a ennuyé pendant tout un temps,
j’étais arrivé à un point de saturation,
travailler 8 heures par jour et encore en plus devoir s’atteler à des travaux de bricolage,
l’âge venant sans doute aussi interférer,
des douleurs au dos, une tendinite,
moins l’habitude de faire toutes sortes d’efforts pendant des heures, etc

mais là depuis quelques mois, j’y prends à nouveau plaisir,
il faut dire que comme chaque geste, chaque mouvement, chaque position, dans mon quotidien,
peut être l’occasion de goûter à un peu de volupté, à quelques délicieuses sensations,
cela a complètement changé la donne

je travaille nu, tout nu, rien que ce fait déjà, de bouger ainsi,
de prendre toutes sortes de positions,
cela me met dans un état d’excitation avancée, en quelques instants

j’effectue plus lentement le travail, je prends mon temps, j’y vais très tranquillement,
je travaille plus précis, qu’avant
mais surtout, une bonne partie du temps, je m’envoie en l’air aussi
comme dans le bricolage, on bouge beaucoup, on est dans des positions très variées,
on effectue toutes sortes de gestes,
c’est l’occasion d’éprouver du plaisir dans toutes sortes de positions inhabituelles,
de gestes et de mouvements que je ne fais pas tous les jours

il y a des contrastes très forts,
entre un mouvement, un marteau à la main, accroupi par terre, par exemple
un peu douloureux pour mon dos, surtout si je persiste dans la position
et puis l’éveil d’une sensation, d’un peu de volupté
en déviant la course, l’élan de gestes, de mouvements, un peu,
pour éveiller le yin en moi
et me sentir envahi quelques instants de sa sublime, souveraine, lascivité dansante

mon cul, en un instant, se transforme, devient irrésistiblement baisable, pénétrable,
à mes yeux,
rien que par moi, pour moi,
je suis déjà vautré lascivement dans mon jardin secret,
la bite et la chatte en action,
sans lâcher mon marteau, continuant plus ou moins,
de faire avec ce que j’étais en train de faire