#42686
bzo
Participant

étonnant comme le corps est à même de transformer en sensation de plaisir
pas mal de choses qui lui arrivent,
d’évènements “physiologiques” genre uriner, se pincer, se griffer
et puis ce seront toujours des nuances de sensation
bien spécifiques, bien particulières, bien exotiques

j’ai déjà raconté mes expériences dans la baignoire, avec de l’urine ,
juste avant de prendre ma douche,
je me retiens parfois pendant des heures d’aller aux toilettes,
ainsi, le besoin de me soulager, devient vraiment très très pressant,
tous les hommes connaissent cela, ils doivent se retenir pour une raison ou une autre,
pas de toilettes dans les environs, réunion qu’on ne peut pas quitter, etc

je me suis rendu compte ces derniers temps qu’au plus j’étais dans cet état de devoir me retenir,
au plus le plaisir sera fort, riche, envahissant,
je me dénude à toute vitesse, me mets dans la baignoire,
je dois me retenir maintenant de toutes mes forces,
c’est presque douloureux, tellement c’est devenu pressant

mais dès que je me mets en action, nu dans la baignoire
que mes cuisses se resserrent sur mes bijoux de famille, les pressent, les frottent,
que je fais monter des contractions,
que je me mets à onduler du bassin et à me caresser,
cette sensation désagréable de devoir se retenir très fort pour ne pas uriner,
se transforme en une sensation de plaisir tellement puissante

difficile de décrire à quel point, instantanément, c’est devenu ineffablement bon,
comme si un orgasme avec éjaculation était sur le point de se déclencher
mais d’un type très très particulier
car je suis en mode yin, je vis mon plaisir au féminin,
aussi cette arrivée brusque de sensations dans mon bassin,
cela donne un mix tout à fait étonnant,
je suis envahi de la tête aux pieds par la sensation de marée montante
d’un orgasme de type éjaculatoire mais sans éjaculation

je relâche les muscles avec lesquels je me retenais d’uriner
mais cela ne se met pas à couler tout de suite,
le crescendo continue encore quelque temps dans mon, bassin,
le galop de milliers de chevaux, je sens leurs sabots tonitruants en moi,
l’urine arrive, se met à sortir,
quelle caresse chaude, feutrée, sur mes cuisses,
je les frotte l’une contre l’autre,
la peau humide devient tellement délicieusement glissante,
quel lubrifiant divin, la pisse chaude!
sans doute pas pour très longtemps mais pour quelques instants, il n’y a pas mieux,
la sensation de glisse avec, est juste sublime,
la qualité toute particulière du contact des peaux, grâce à l’urine, est unique

cela sort par petits jets brefs, désormais,
je me tords dans tous les sens
pour essayer de capturer le plus possible le liquide chaud, à sa sortie, avec ma peau,
c’est la partie de ces courtes séances dans la baignoire qui doit être encore mieux mise au point,
c’est pas évident, debout, en même temps,
de continuer mes actions habituelles, en mode yin,
caresses, ondulations façon liane lascive, contractions, le manège des cuisses avec les génitaux
puis y rajouter des mouvements,
pour essayer d’avoir le plus possible l’urine sur la peau
cela devient assez désordonné, en fait, disruptif quelque part

couché c’est plus facile, c’est automatique,
l’urine coule sur le ventre, les cuisses, le sexe, les couilles,
si je veux profiter pleinement de ces moments,
il faut que je ressorte mes alèses imperméables et que je fasse cela au lit,
là, je pourrais goûter, de bout en bout, à tout le potentiel de ces moments spéciaux

idem, avec les griffures, les pincements,
j’avais abandonné tout cela pendant des mois
mais là, j’en refais de plus en plus régulièrement,
je me pince, je me griffe, le torse, les fesses, le bassin, enfin un peu partout
et parfois très très fort,
c’est aussi extraordinaire à ressentir,
au début il y a une brûlure douloureuse
mais en même temps, je fais monter une contraction,
j’insiste langoureusement avec une cuisse sur mes génitaux
et la sensation de brûlure se transforme instantanément
en quelque chose de tellement corsé, de tellement jouissif

dans tout le corps, cela me fait comme une décharge extraordinaire,
grâce au coup de griffe ou bien le pincement,
avec des nuances guerrières, très fortes, très pimentées,
pas pour les petites natures, définitivement,
on est sur le dos d’un mustang sauvage lancé au galop

bon, après, une fois qu’on n’est plus en action, cela brule un peu,
c’est le prix à payer
mais pendant la séance, comme c’est divinement bon aussi,
de temps à autre, se pincer ou se griffer bien fort