#42844
bzo
Participant

j’ai trouvé, donc, une manière de pousser, avec le périnée,
les ondes prostatiques, vers le pénis,
je les sens s’engouffrer dedans, se ruer à toute vitesse,
comme pressées par l’arrière,
c’est un sprint du tour de France, lancé à toute allure,
dans ma zigounette, mon petit tube à procréation,
cela le fait immédiatement se durcir, se dresser de plus en plus

mais c’est une raideur différente,
à aucun moment, c’est un plaisir pénien, à proprement parler,
même s’il y a un très certain mâle plaisir à se sentir bander, de plus en plus ferme,
néanmoins, jamais je ne sens
que cela pourrait déboucher sur une éjaculation

et donc, c’est très très plaisant
car il y a comme un fourmillement très intense dans le sexe,
toute sa chair, de plus en plus congestionnée, de sang et d’ondes prostatiques
qui le font s’enfler et se dresser petit à petit

c’est d’autant plus délicieux que comme je le décris juste au-dessus,
c’est accompagné par une puissante sensation de pénétration,
je suis, debout, un peu fléchi sur les genoux, cuisses bien écartées
pour ne générer que des ondes prostatiques dans le bassin,
je me cambre de plus en plus, offre le cul, sur un plateau, à ma prostate
qui me darde royalement, en retour, de ses ondes

mon attentionné mais insistant et ardent bélier chéri