#42909
bzo
Participant

au lit, cela s’emballe automatiquement toujours plus,
être à la verticale ou à peu près, favorise tellement cela,
la tension sexuelle croit et encore croit, lentement,
jusqu’à l’explosion finale, tellement délicieusement cataclysmique,
comme je le décris au-dessus

mais hors du lit, l’action devient une lente dégustation,
il est juste question de goûter à ce kaléidoscope sans fin, de sensations,
que mon corps est capable de produire

je peux néanmoins, en m’acharnant,
obtenir aussi une tension sexuelle qui devient de plus en plus paroxystique,
cependant, hors du lit, je préfère juste jouer avec mon corps
comme s’il était un instrument de musique
sur lequel j’improvisais, cherchais de nouveaux accords,
essayer de faire résonner toutes ses cordes, le plus ineffablement possible
en variant à l’infini les nuances