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Participant

Je comprends bien l’état d’esprit. Pas de bol pour moi, je suis plutôt hypercérébral. D’abord j’analyse, je note, puis une fois maitrisé, je peux laisser aller.

Dans le cas présent, par exemple, je me demande encore si l’aneros doit aller à fond ou juste dans le creux entre les deux montées, ou si les muscles fessiers doivent rester aussi relaxés que possible pendant que les pelviens et autres internes font le taf, si la stimulation visuelle est utile ou peu bloquer parce qu’elle détourne l’attention, etc etc.

Idem pour l’O sans contact penien/bourse, je sais que je n’y arriverai que…quand j’y serai arrivé. Paradoxal mais il n’y aura pas de laisser aller sans une premiere réussite qui fera taire le coté rationnel en disant “tu vois, c’est possible alors tg” :p

En gros, j’imagine que je suis bon pour continuer à tester avec les differents modèles, à différents moments jusqu’à ce qu’un jour je sois tellement en routine, fatigué ou que sais-je pour que la surveillance se mette en pause :p

Ceci dit, ce qui est encore amusant, c’est l’important de l’attention. Si au début je sens la pression sur la prostate (mais qui disparait des les premieres contractions plus rapides ou plus fortes), tout s’arrete quand par reflexe je veux reprendre le controle.

Il y a un peu comme un acte de foi, au final. On ne sait que c’est possible que par intuition, par des traces et indices laissés d’essais, par infos fragmentaires trouvées de sources diverses mais jamais avec la certitude qu’elles soient fiables…et au final, une clé majeure pour y réussir est un acte un peu schyzophrène de nier l’existence du soi agissant pour porter l’attention sur le soi-ressentant ^^