#45285
bzo
Participant

et hop , encore un texte

 

il était en train de dormir,

il faisait très chaud, c’était l’été,

je le remarquais par la porte de la chambre à coucher, grande ouverte,

couché sur le dos, une légère toile le couvrait,

je le devinais nu, tout entièrement

 

mon regard le parcourut lentement,

il était jeune, grand , musclé, d’aspect sportif,

il avait un  air décidé mais serein, perdu dans ses rêves,

mon attention fut attirée par la bosse de la toile,

à hauteur de ses reins,

petit monticule, on devine le contour du sexe au repos,

cela  a tout de suite commencé à m’attirer  irrésistiblement,

il faut que j’aille évaluer tout cela, de plus près,

malgré les risques,

s’il se réveille,

je pourrais toujours dire que je voulais jeter un coup d’oeil par la fenêtre,

sans vouloir le déranger dans son sommeil

 

le désir s’est allumé tout de suite en moi,

à la vue de ce beau corps assoupi,

je m’approche tout doucement,

il a l’air très très profondément endormi,

cela m’encourage dans mon périple, à me rapprocher toujours plus,

le plancher craque fort jusqu’au lit

mais ne provoque aucune réaction de sa part

 

je suis près du bel affalé,  à présent,

j’effleure son visage de la main, je passe un doigt entre ses lèvres,

les entrouvre un peu, il ne bouge pas,

je me penche au-dessus de lui,

sors mon sexe du maillot de bain

et le pose contre sa bouche,

glisse un peu le gland, à l’intérieur,  tout doucement ,

je sens sa langue râpeuse, à présent, contre ma peau,

je bande de plus en plus fort,

cela fait entrer de plus en plus mon sexe dans sa bouche

même pas besoin de le bouger,

il entre tout seul, il connait le chemin

 

je suis surexcité de le voir ainsi, avec ma trique, enfouie entre ses lèvres,

à tel point que j’éjacule quasi tout de suite,

je ressors très lentement mon sexe,

pas de geste, de mouvement, brusque,

pas troubler son sommeil, il a l’air de faire de beaux rêves

 

je descends plus bas,

mon visage est désormais, à hauteur de ses reins,

à hauteur, pour être plus exact de la protubérance que j’avais repérée depuis la porte,

qui m’avait fait entrer, risquer l’aventure,

avec des envies de pine au bois dormant

 

je la frotte avec le bout des doigts, à travers le tissu léger ,

je fais des petits mouvements concentriques dessus,

je rebande de plus belle,

la toile est si légère, si moulante,

de près, on devine bien toute la masse de son pénis, au repos,

sa forme se dessine si bien,

j’approche ma bouche, je le lèche à travers le mince coton,

le titille avec la langue,

cela semble commencer à lui faire de l’effet,

je vois les proportions de son pénis changer,

s’agrandir , petit à petit,

belle trique, j’avais deviner juste

 

j’en suis le contour, avec la langue,

maintenant qu’elle est bien raidie, sous la toile,

celle-ci devient de plus en plus humide avec ma salive

et lui colle au braquemart, de plus en plus,

le tissu en devient, aussi, de plus en plus transparent

et son sexe se devine toujours plus,

comme j’ai envie de le happer, de l’engloutir,

de le lécher, de le manipuler, sans me retenir

 

mais pas le réveiller, je ne le connais pas,

je ne sais pas quelle serait sa réaction,

je soulève tout doucement, très lentement, la toile,

pour dévoiler la bête,

la voir, à la lumière de ce glorieux jour d’été, dans toute sa splendeur

et lui donner quelques coups de langue,

goûter à sa peau, bien lui nettoyer le sexe

c’est risqué mais je ne peux y résister,

advienne ce qui adviendra,

si je vois qu’il ne réagit pas,

je goberais même son gland, bien profond,

le bercerais de ma chaleur et de ma salive, dans la bouche

 

je jette un coup d’oeil à son visage,

il a un vague sourire  béat qui se dessine sur ses traits

mais il n’a pas l’air réveillé, pour un sou,

toujours perdu dans ses rêves

 

ça y est, j’ai réussi à enlever la toile de ses hanches,

son sexe presque complètement raidi, remonte bien droit vers son nombril,

j’approche mon visage,

remonte lentement la langue sur la hampe, centimètre par centimètre,

la parcourant sur toute sa longueur,

goûtant à sa sueur, vague goût d’urine, aussi,

atteint le gland, tourne un peu dessus,

commence à lécher son méat,

il est complètement raide, cette fois,

belle pine, au garde à vous,

comme j’aurai envie de ne plus retenir mes gestes

mais prudence,

n’éveillons pas la belle au bois dormant

mais à la pine bien raidie

goutons à sa gaule, avec mille précautions

 

il ne bronche pas, sommeil de plomb,

cela fait mon affaire,

j’ai son gland à présent , bien au chaud, dans ma bouche

et je joue avec la langue dessus, lentement,

je n’ose pas le caresser, en plus, ce serait trop, je le sens,

cela risquerait de le réveiller

 

je me demande si ce que je suis en train de lui faire,

influence ses rêves,

clairement physiquement , cela lui fait de l’effet,

mais est-ce que j’ai aussi une petite place dans ses rêves,

sans qu’il s’en rende compte,

peut-être a-t-il un rêve érotique?

peut-être qu’il rêve que quelqu’un est en train de lui faire une fellation?

peut-être qu’il rêve qu’il vole sur un tapis volant,

que l’océan l’emporte

 

sa queue a des soubresauts de plus en plus,

il finit par éjaculer, trois longs jets que j’avale goulument,

je repose tout doucement son sexe,

encore complètement raide, sur son ventre,

le soutenant des lèvres,

puis m’éloigne un peu pour jeter un long coup d’oeil, dessus,

encore deux jets de sperme en sortent à retardement,

vont s’étaler sur son ventre,

presque jusqu’à son nombril,

je n’y résiste pas , je vais les laper consciencieusement,

ne laisser aucune trace du cambriolage sexuel,

ni vu, ni connu,

Arsène Lupine

 

je remets sur lui, la fine toile de coton,

le recouvrant complètement, à nouveau

et je m’éloigne,

dans l’encadrement de la porte, je me retourne,

plonge encore le regard sur lui,

il bande ferme toujours, je le vois à travers le tissu,

je me retiens d’y retourner pour recommencer mon manège