une chose qu’il faut essayer de comprendre, d’essayer d’imaginer,
une fois que vous êtes parvenu à bien éveiller le féminin en vous,
à le laisser prendre les commandes de votre corps
quand vous vous mettez en action de pareille manière,
si vous vous mettez à bander, à un moment donné,
à bander, même, bien ferme, une jolie turgescence vers le plafond
et que vos cuisses se mettent jouer avec votre engin, ainsi,
le frottant, l’effleurant, le pressant
ou même simplement
parce que vous n’y faites pas spécialement attention,
occupé que vous êtes ailleurs, autrement
et qu’il se met juste à dodeliner maladroitement au fil de vos mouvements,
cognant vos cuisses de-ci, de-là
les ondes générées, ainsi,
alimentent vos hanches,
accentuant toujours plus leur élargissement, leurs courbes, leurs arrondis,
rendant leur rythmique de déplacement, de plus en plus dansante, lascive
alimentent vos lèvres d’en bas,
les emplissant de chaleur, de soie, de plus en plus,
ces lèvres que vous adorez sentir s’entrouvrir, se refermer,
en écartant vos cuisses, en écartant, en resserrant vos fesses,
la fente entre ces lèvres que vous adorez sentir,
espace de jeu sans pareil, espace de grande migration,
plage de débarquement, plage à marées envahissantes
vous vous pâmez maintenant, vous ondulez, de tout votre être,
vous êtes empli d’une volupté ineffable, des pieds à la tête,
grâce, aussi, à votre engin durci, raidi
et vous le remerciez de collaborer pareillement,
de vous faire connaître de telles septièmes ciels,
inconnus normalement au bataillon des bandeurs
votre pénis, aussi, est content,
vous le voyez bien,
il sourit en continu d’un liquide qui s’écoule,
goutte à goutte qui humidifie votre bas ventre, le haut de vos cuisses
mettez-vous le doigt au cul, ainsi
et la sensation de pénétration va bien au-delà d’une sensation anale,
la chair dans laquelle votre doigt s’insinue, remue, farfouille, fouine,