ah jouir, être empli de volupté
a-t-on jamais inventé meilleure façon de passer le temps?
bon, il y a quelques autres activités qui sont pas mal,
se promener en forêt, lire, être avec des amis, aller au théatre, faire du yoga
mais être empli de volupté, jouir, c’est spécial, tout de même,
on est comme au zénith, du bien-être physique et mental, dans ces moments-là
j’alterne des moments en 100% prostatique et puis en mode yin
où je mélange allègrement tous les types d’ondes,
même, hors du lit, j’y arrive , désormais
la seule différence, c’est qu’au lit, en mode yin,
je n’utilise pas les mains, je bouge peu,
c’est devenu tellement fort, que juste, j’enveloppe mes génitaux avec les cuisses
puis j’ondule un peu, je bouge lascivement mon bassin,
cela me suffit pour devenir une boule de soie chaude dansante, de la tête aux pieds
je me laisse rouler ainsi quelques instants
puis je retourne en mode 100% prostatique
car au lit, c’est avant tout, ainsi, que je pratique,
là, uniquement je me titille les tétons
et puis en bas les contractions,
le corps bouge un peu
mais en accompagnement reflexe
en mode yin, là, c’est la complicité absolue de la chair et de l’esprit,
tout participe tellement,
oh comme c’est bon de sentir cela,
tout votre être embarqué, roulé par le désir
le mode prostatique m’apporte les orgasmes
et puis des sensations tellement différentes,
l’alternance est saine, l’alternance enrichit
hors du lit, c’est avant le mode yin,
avec des caresses à volonté, le corps aussi qui participe pleinement,
ondule, vacille, tremble, danse
mais désormais, comme signalé plus haut,
je me mets aussi en mode 100% prostatique,
j’y arrive, ce sont des contractions uniquement avec les muscles du périnée
et puis le titillement des tétons
curieux d’avoir mon premier orgasme prostatique, hors du lit, debout,
curieux de voir ce que cela va être
et puis tout cela, toujours en mode ralenti,
la lenteur, l’étirement, les petites accélérations et décélérations,
le plaisir en moi, se met au même rythme,
c’est juste trop bon, de sentir une vague passer en vous au ralenti,
la sentir passer à travers toutes vos cellules, comme cela,
on a tellement le temps de la déguster, encore et encore,
d’en apprécier toutes les nuances, n’en rater aucune