oh, l’impression de couver mon sexe,
entre mes cuisses serrées, l’emmaillottant, l’enveloppant,
alternant la pression, dessus,
effectuant toutes sortes de petits mouvements, contre,
produisant leur effet,
bientôt il va éclore, pondre son jus dense et chaud, en quelques jets
je le titille, aussi, de mes doigts,
sans contact direct, par l’intermédiaire des tétons,
à chaque frottement, chaque pression, sur ceux-ci,
c’est comme si des vagues passaient dans la chair de ma hampe,
que de la soie tourbillonnait dans mon gland
je fais durer,
comme je suis devenu maître, dans l’art de faire durer,
je suis sur le point d’exploser, depuis des heures
et en fin de compte, je ne le ferais pas juter, je ne le ferai pas cracher,
il faut en laisser pour demain et encore pour après-demain,
ce sera encore plus fort de m’être retenu aujourd’hui
bon, un jour, cela sortira, cela coulera, brûlant, épais,
mes cuisses, mon bas-ventre, accueilleront la semence
tandis que dans mon ventre, dans mon bassin,
cela explosera inlassablement pendant de longues secondes