De la même façon mes orgasmes se sont diversifiés. En général, ils se manifestent par une contraction interne associée à des contractions des muscles du bas-ventre qui entraînent des spasmes (des soubresauts du bassin), des contractions des muscles fessiers, des tremblements des muscles fessiers et des jambes, des contractions des pieds, des secousses des épaules, des agitations des mains et des bras… le plus classique étant les mouvements du bassins. Avec cela, je ressens une chaleur qui se propage dans le bassin, descend dans les jambes ou monte dans les reins. Parfois, je parviens à maîtriser l’intensité des spasmes et même à neutraliser tout mouvement, alors l’orgasme est comme un fluide qui se diffuse et qui dure un moment… hors du temps. Ce n’est pas aussi puissant qu’une éjaculation, mais c’est plus satisfaisant ; en fait, c’est incomparable.