#50575
bzo
Participant

encore une de ces nuits splendides,

emplie de rêves aux tribulations à faire pâlir Indiana Jones

mais un Indiana Jones sous acide

 

et puis entrecoupée, chez moi, bien sûr,

de moments où je me suis éveillé

et où la machinerie s’est automatiquement mise en route,

parfois  juste pour quelques secondes, d’autres, un peu plus

mais jamais plus d’une minute ou deux

 

brefs moments, donc mais tellement tellement intenses

et puis surtout une telle liberté,

la réceptivité semble être totale,

l’accord entre mon corps et mon esprit,

atteignant en un temps record,

des hauteurs rares, délicieuses

 

une sorte d’élan de tout mon être

baignée dans la volupté la plus exquise

je n’étais qu’aile s’ouvrant, se refermant, s’ouvrant,

bref, se taillant son chemin dans les airs

 

quelle ivresse rare

et puis replongeon dans des rêves

qui m’emportaient dans des aventures tellement étonnantes,

sans aucunes règles, sans aucunes lois

sinon de la fantaisie la plus débridée qu’on puisse imaginer

 

bref, une nuit de valse des énergies, tous azimuths,

dans le sommeil et hors du sommeil,

comme je les aime