#50611
bzo
Participant

quelles moments divins, hier, dans la nuit, encore,

une relativement longue séance,

enfin pour moi qui est plutôt habitué aux  micro-séances

de 30 secondes à deux, trois minutes,

là, hier, vers 02h du matin,

au moins une heure et demie

 

spécificité de cette séance,

une constante présence des contractions

mais accompagnés aussi constamment de pressions, de frottements,

d’effleurement des cuisses sur les génitaux

 

un parfait mélange des deux

mais donc, dans des proportions qui privilégiaient la prostate,

des mouvements très naturels, très harmonieux,

comme de lents va et vient de pénétrations,

avec en moyenne, 75% d’ondes prostatiques et 25% de génitales,

provenant du bassin,

plus le reste du corps générant aussi, bien sûr

 

suis resté longtemps, les mains inertes, passives

pour goûter plus spécifiquement à ce mélange montant du bassin,

tellement il est puissant et riche, dans ces proportions,

d’habitude je pratique plutôt avec l’inverse,

25% de prostatique et 75 de génitales

 

ah, je me suis échauffé pendant un long moment,

avec du 100% prostatique, cuisses écartées donc,

cela m’a permit de bien travailler le mouvement,

de bien mettre en route ma prostate

et donc quand j’ai resserré les cuisses et que les génitaux se sont mis en action, aussi,

ce fut vraiment divin,

mes entrailles chantaient, chantaient, chantaient

 

j’ai beaucoup joui,

enfin chez moi, cette expression signifie

que ma volupté a atteint une telle intensité

que j’avais l’impression de jouir en continu,

pas vraiment que j’ai eu des orgasmes

 

enfin si, j’ai eu un orgasme éjaculatoire à la fin,

quand je me suis mis à triturer en continuité mes tétons,

ce fut trop,

en quelques secondes, je devins un volcan entré en éruption

ce furent des moments de feu,

mes entrailles semblaient se liquéfier

et sortir par ma verge durcie

 

suis resté après,

de longues minutes, immobile,

incapable de bouger,

cloué sur le matelas,

les portes vers l’Eden, étaient encore entrouvertes,

toutes mes cellules baignaient encore dans le petit courant d’air ineffable

que cela générait