Tout pour une sexualité positive, épanouie, ludique et kinky
oh, le troisième et le quatrième
des quatre derniers lieder de Richards Strauss
s’enfoncer lentement dans le crépuscule,
s’y perdre à jamais,
dériver jusqu’à la fin des temps
sur quelques notes de musique
et la voix divine d’Elisabeth Schwarzkopf