en mode yin,
quand les cuisses entrent en contact,
frottent, pressent un peu,
le pénis et les couilles,
la sensation de se traire,
de traire ses génitaux,
avec ce jet soyeux d’ondes fraîches qui monte,
venant se répandre vers le haut,
est tellement tellement délicieuse
cela se transforme carrément
en une sensation de bouquet, de bouquet d’ondes
avec comme quelque chose de solide au centre,
de la tige solide et souple au centre,
quand en plus,
on fait monter en même temps
une contraction des muscles du périné
le mélange d’ondes prostatiques
comme enrobé d’ondes génitales,
nous fait comme un gros bouquet dans les entrailles,
on s’offre un gros bouquet vibrant
de fleurs d’ondes de toutes les couleurs,
montant, se répandant, se disséminant
jusqu’au cerveau
où tout cela éclate en une myriade de pétales soyeuses
ouvertes au ciel, ouvertes au soleil,
s’offrant avec délicatesse aux pattes fouilleuses de gros bourdons
qui viennent sans ménagement se frotter,
s’enduire les poils de leur pollen dans l’invisible