#51529
bzo
Participant

ce qu’il est important de comprendre

c’est que le yin en nous, pour fonctionner,

a besoin, doit, se servir des sources d’énergie de notre corps,

de notre corps d’homme

 

une des meilleurs sources d’énergie sexuelle d’un corps d’homme,

ce sont ses génitaux,

eh oui, votre braquemart et vos couilles,

le yin en vous en raffole, lui sont absolument nécessaire

 

enfin, pas tout à fait,

vous pourriez vous débrouiller avec le reste,

je le fais de temps à autre,

prostate, seins, le reste du corps

mais pas de pénis et les petites boules qui pendouillent dessous

comme carburant

 

mais c’est se priver d’une des plus importantes sources,

la plus aisée à actionner

et la plus immédiatement généreuse en vibrations voluptueuses

 

il y a la façon de le faire, bien sûr,

une seule règle, éviter totalement le contact avec les mains,

commencer à les chipoter avec,

vous fera directement rebasculer en mode yang

 

les attouchements avec les doigts, la paume, de son pénis

sont un geste masculin de masturbation

et le yin s’il était aux commandes l’instant d’avant en vous,

s’efface, s’évanouit instantanément

 

les cuisses sont l’interlocuteur naturel en mode yin de ses génitaux,

une fois qu’on en prend bien l’habitude,

cela devient comme une sorte de danse,

un tango sensuel entre les cuisses et vos parties intimes,

un frotti frotta ardent et tellement riche

qui n’a rien à envier en variété, finesse et intensité

de ce que l’on peut éventuellement obtenir dans une masturbation classique

si l’on utilise des techniques avancées

 

et cela va durer bien bien plus longtemps,

des longues heures de plaisir d’une intensité magnifique

avant que le corps ne réclame une éjaculation

et avant cela vous aurez vécu d’interminables moments de sensation préorgasmique,

 

l’orgasme semble venir, monter inexorablement,

le sperme semble sur le point de jaillir,

le début, la montée en puissance de la petite explosion,

vous éclatez déjà, le plaisir vous explose en mille morceaux

sauf que là, en mode yin,  cela dure,

cela peut se prolonger quasi indéfiniment

et en plus ce n’est pas seulement ressenti dans le bassin

mais cela s’est répandu dans tout le corps

 

tout notre être semble être devenu ce braquemart raidi, vibrant,

prêt à lâcher sa giclée de semence,

ce qui est aux commandes,

c’est une danse soyeuse, capiteuse

qui nous a envahi de fond en comble

et tout ne semble plus que voiles ondulant vertigineusement en nous,

arabesques de vibrations, mer de frôlements