#51568
bzo
Participant

et puis rien ne m’empêche de temps à autre

de glisser une main sous un vêtement

pour retrouver le contact direct, le contact cru

 

oh comme ma peau m’accueille,

accueille mes doigts,

quelle ivresse, mes amis,

oh comme la chair est bonne,

comme le désir est bon