#31045
bzo
Participant

quelle séance encore ce soir,
j’ai senti ma prostate battre comme un coeur à chaque contraction dans mes entrailles
disséminer ses vibrations dans toutes les directions,
puissant muscle donnant la vie,
puissant muscle maintenant la vie

d’un autre côté, mes parties génitales, c’est la castafiore,
on la pince un peu, et elle se met à chanter à tue-tête
comme un oiseau mécanique dont on a remonté le ressort,
au moindre frottement, là voilà déjà vocalisant,
on se met à la frotter régulièrement et elle s’égosille à perdre haleine,
c’est une colorature, sa gorge est riche de milliers de sonorités différentes,
sa voix est douce, chaude, ornementale

quel duo ils forment,
séance d’entraînement ce soir
mais tellement délicieuse et tellement riche d’enseignement,
les contractions comme un métronome assurait le rythme,
assurait les vagues de fond,
là dessus s’élançaient mes jeux avec mes parties génitales,
je me suis bien entraîné,
j’ai bien testé plein de façons de jouer avec mes boules et mon petit cierge mou

j’ai essayé toutes sortes d’enchaînement,
j’en ai trouvé quelques uns miraculeusement délicieux,je n’étais pas loin de l’orgasme monumental,
le fameux super O féminin dont je parle de plus en plus régulièrement
et qui viendra en son temps

alterner et se laisser emporter, voici les maître-mots pour l’instant,
je frotte la base de ma verge, je caresse mon pubis,
je fais des petits ronds avec les doigts dans la zone,
je remonte un peu sur mon sexe en le caressant légèrement
puis je m’éloigne,
je laisse mes cuisses prendre le relais,
frotter, rouler comme de la bonne pâte à pain mes bijoux de famille,
quel miel, quel nectar se répand immédiatement,
quelle douce explosion dans toutes mes entrailles

sans les doigts, il y a une sorte de délicatesse qui s’exprime,
les sensations deviennent immédiatement comme de la dentelle,
transition sublime,
d’abord quand les doigts y sont, frottent, pressent, caressent,
tout en restant doux,
c’est plus une danse sauvage, rythmée, langoureuse,
ce sont des sensations extrêmement sirupeuses,
de la sève forte, une houle lascive, lourde

alors que quand les doigts s’éloignent, laissant toute la place aux cuisses,
ce sont immédiatement des milliers de danseuses en tutu
qui frottent de tous les côtés, elles font des pointes, elles semblent ne pas toucher le sol
tellement elles sont légères, délicates,
délicieux, délicieux contraste

après quelque temps ainsi, avec les cuisses,
elles s’éloignent aussi,
j’écarte les jambes avec excitation, avec l’envie de me sentir totalement ouvert,
prêt à être pris, à sentir en moi une contraction remontant virilement,
c’est souvent un décollage ainsi,
à chaque coup de boutoir des reins vers l’intérieur,
je décolle, je sens mon avion qui s’éloigne de la piste,
c’est une sensation de légèreté totale
tandis que mon bassin
reçoit chacune de ces contractions avec une accolade, une embrassade de mes entrailles

puis je recommence, je rapproche mes doigts de mes parties
mais déjà l’excitation est monté de tellement de crans,
que je ahane, que je gémis à perdre haleine
et mon corps est en mode “full liane lascive”,
comme j’aime onduler ainsi
avec mes mains courant sur ma peau, pressant mes seins,
descendant le long de mes flancs,
venant caresser mes fesses, venant effleurer la raie,
mon anus -pussy, sans aucune crème désormais,
c’est un peu rêche mais les doigts s’ils s’aventurent à l’intérieur, restent comme prisonnier,
collés à la viande molle, à la viande en chaleur, à la viande avide mais néanmoins sèche,
je danse avec les cuisses,
mon bassin va et vient langoureusement, en mode pilotage automatique,
le bout des doigts bien calés dans mon pussy,
cela frotte par devant, cela frotte par derrière,
cela frotte de tous les côtés en fait,
je vous dis pas l’état dans lequel j’étais,
c’était épique