20 réponses de 141 à 160 (sur un total de 199)
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  • #20474

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Merci d’avoir pris le temps de me lire et me répondre. Ça me soulage un peu de pouvoir en discuter.

    Je n’ai pas refait de séances avec l’Aneros depuis un moment, mais je ne saurais pas dire combien de temps. Peut-être une semaine.
    Mais, même sans ça, mes muscles continuent à travailler. Ça a toujours été comme ça. J’ai surtout progressé en dehors des séances, ma prostate reste active sans avoir à utiliser l’Aneros. Donc difficile de se reposer complètement puisque ça veut dire que je ne dois pas recevoir de stimulus visuels, par exemple, sinon paf, les muscles s’activent. Peut-être même qu’avoir une relation sexuelle ou se masturber normalement peut jouer aussi, car je sais qu’à présent cela stimule beaucoup plus ma prostate qu’avant. Il faudrait presque que je stoppe tout pendant des semaines…

    Je ne sais pas s’il y a une connexion nerveuse directe et physique entre ma prostate et les muscles de mon visage. Je sais juste que, quand ma prostate est stimulée (avec ou sans Aneros) certains muscles ont tendance à se crisper involontairement (et pas que dans le visage). J’ai fait un gros travail pendant une période pour éviter que cela n’arrive, en me concentrant pour tout relâcher. Sauf que lorsque les sensations de la prostate sont trop fortes, ou même que j’ai un orgasme, ça devient assez difficile de tout contrôler.

    Ce que je pense, c’est qu’à un moment donné, il y a eu une surcharge de sensations et donc de crispation. Que les nerfs et les muscles dans la zone de mon visage ont été surexcités et que maintenant ils ont du mal à retrouver leur état normal.
    Si jamais j’arrive à calmer tout ça et que je veux reprendre ma progression, je vais devoir le faire à tâtons, doucement. L’appréhension que la situation recommence risque de ne pas beaucoup m’aider…

    #20344

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    La même histoire qui se répète.
    Pour résumé les épisodes précédents, j’ai eu un orgasme prostatique pendant une nuit où je n’attendais rien. Puis, plus rien.
    Ensuite, j’ai retrouver des sensations agréables avec des jouets qui ne me font rien habituellement. Puis, plus rien.
    C’est toujours la même chose, je touche du doigt le plaisir, j’essaye de le reproduire les jours d’après, mais tout ce que j’obtiens c’est une énorme frustration.

    Cette nuit, de nouveau, j’étais détendu et, avant de m’endormir, je me suis même dit que c’était l’état parfait pour atteindre l’orgasme. Car, je n’étais pas focalisé dessus, mon corps ne cherchait pas absolument les contractions. Comme je le disais dans un message précédent :

    Et c’est peut-être ça qui a fonctionné. Mes muscles étaient assez reposés, mon esprit moins focalisé.

    Au moment précis où j’allais sombrer dans le sommeil, j’ai même senti quelque chose monter en moi. Mais, j’ai fini par m’endormir quand même.

    Au cours de la nuit, je me suis réveillé avec cette sensation plaisante qui montait. Je respirais lentement, mon esprit était en position d’observateur, pas d’acteur. A chaque expiration la sensation augmentait. Les petits nuages sont venus me visiter plusieurs fois, c’était agréable et j’étais heureux. Je n’attendais rien de plus. Et puis, à un certain point, mon esprit a commencé à s’effacer à chaque expiration. Puis il a disparu et à la place j’ai été envahi par un plaisir pur. Cela a duré un bon moment et puis ça a fini par repartir et je n’ai pas réussi à le rappeler car j’étais beaucoup plus réveillé et mon esprit s’est focalisé sur ma prostate.

    Ça a été une nouvelle expérience riche en enseignements.
    Premièrement, je comprends pourquoi j’ai tant de mal à mémoriser ces moments, ou à les décrire. Car quand cela arrive, ma conscience s’efface, je suis juste dans le ressenti, il n’y a plus que le plaisir et rien d’autre. C’est un moment unique, insaisissable.

    Deuxièmement, j’ai l’impression que mon corps m’a envoyé un message. Il m’a dit : “Cela n’arrive que lorsque tu ne le cherches pas et que ton esprit se déconnecte”. Et c’est vrai que je n’ai jamais ressenti ce plaisir pur autrement que lorsque je m’endors ou me réveille. D’ailleurs, même les sensations que j’ai eu, il y a quelques jours, avec mes sextoys, ne se sont produites qu’au moment où mon esprit partait ailleurs. Bref, mon esprit me parasite. Du moment où je suis conscient, je focalise et sans le vouloir je bloque, je crée une barrière. Il faut donc que j’apprenne à lâcher prise, peut-être en cherchant l’endormissement durant mes sessions. A un moment donnée, j’arriverai peut-être à trouver cet entre-deux qui me permet d’atteindre l’orgasme. D’ailleurs, depuis que j’ai commencé les sessions, j’arrive presque à trouver ce canal de l’endormissement de façon consciente. Je me relaxe quand je suis au lit, et certaine fois, j’arrive à obliger mon esprit à s’éloigner et paf, à un moment, je dors. C’est un début.

    Troisièmement, je pense que je commence à différencier les P-waves, qui me font des petits nuages dans le bas du corps et que je ressens souvent, des Mini-O, qui me font des nuages avec en plus du plaisir, ce que j’ai pu ressentir avec mes sextoys il y a quelques jours, et les Super-O, qui sont ce plaisir pur qui m’envahis et emporte tout, plaisir que je n’ai eu que de nuit sans Aneros et sans le vouloir.

    Voilà. Encore une fois, cet apprentissage me met face à mes défauts : les tensions qui m’habitent, mon acharnement, ma difficulté à lâcher prise.
    J’ai l’impression de me répéter, je crois que j’ai déjà parlé de tout ça avant, je n’arrive juste pas à apprendre la leçon et à l’appliquer.

    #20306

    En réponse à: Découverte

    Aneros40
    Participant

    Merci pour vos réponses, que j’ai lues très attentivement. Je reviens de vacances 3 semaines ( ou je n’avais pas mon aneros ).
    Pendant ces vacances, pour ne pas perdre le contact avec tout cela, j’ai malgré tout fais des exercices de contractions, un peu tous les jours. A un moment j’ai senti quelque chose venir, que je n’ai pu se laisser développer, n’étant pas seul. Et encore plus fort. La nuit de mon arrivée, donc sans aneros, j’ai été réveillé par ma prostate ( la première fois que ça m’arrive sans aneros ). Pas non plus fulgurant mais tout de même une bonne petite vague de plaisir c’est mieux que rien…J’étais en chien de fusil et je n’osai bouger de peur de perdre la sensation, et ne sachant quoi faire, ne m’y attendant pas du tout. Mais rien d’autre n’est venu. Je ne sais pas si j’aurais du “participer” aux contractions , car je me suis au contraire détendu de plus belle… trop peut être, la sensation a fini par disparaitre. mais je n’ai osé faire de contraction de peur de faire cesser ce réveil de ma prostate.
    Bref, je suis arrivé hier et évidemment, j’étais impatient de retrouver mon aneros. Je n’ai pas tarder a le mettre en place. Il y avait bien quelque chose, des sensations, mais je m’y perd un petit peu, entre tout relâcher complétement ou faire des petites contractions de temps en temps, ou des contractions continues…en tout cas il y avait bien quelque chose. j’ai décidé de me concentrer uniquement sur les sensations. j’ai eu plusieurs érections incontrôlables et j’ai très clairement senti ( c’est la première fois je crois, que je le ressent aussi clairement – l’ais-je déjà ressenti tout court d’ailleurs ? ) que de mon urètre s’échappait du liquide séminal, comme un peu pendant une éjaculation mais en continu ( la sensation de l’orgasme en moins, mais la sensation d’un écoulement continu dans L’urètre étant tout de même tres agréable en elle même ). Pourtant, j’ai regardé, pas de trace de liquide… juste la sensation. en continu. est ce le début de quelque chose ?

    #20120
    Andraneros
    Modérateur

    Je suis étonné @fidelio que vous ayez été sensibles à des

    suggestions cachées qui vous forcent à aimer des pratiques sexuelles dégradantes

    alors que j’ai souvent lu que l’induction hypnotique peut vous aider à atteindre un état de conscience différent de votre état normal pour vous endormir, pour vous relaxer, pour éliminer votre stress, pour réduire ou supprimer la perception d’une douleur, pour modifier certains comportements que vous souhaitez modifier (traitement des addictions) mais ne peut pas vous obliger à avoir un comportement contraire à votre volonté profonde.

    Vous semblez très réceptif à l’induction hypnotique, à l’opposé de mon expérience après quelques tentatives dont une avec un hypnothérapeute. Je comprends donc que l’écoute de ces fichiers produise sur vous des effets qui me sont étrangers mais je ne comprends pas comment vous pouvez trouver des « suggestions cachées ».

    Le contre-point de cette expérience c’est que j’ai multiplié la sensibilité de ma prostate et de ma zone anale par 10. A raison d’une séance d’hypnose érotique tous les 2 ou 3 jours, avec ou sans Aneros, je peux maintenant déclencher des montées de plaisir en un claquement de doigt. Je ne dis pas ça par forfanterie, c’est même parfois flippant de sentir que ma prostate est si sensible désormais. J’entre désormais très facilement en état de transe, laissant le champ libre à mon inconscient, et je peux faire déferler des vagues de plaisir sur ma prostate.

    C’est magnifique ! Votre cheminement est remarquable. Vous apprendrez, au fil de vos prochaines sessions, à ne plus vous laisser entraîner vers le Super T’, à développer votre capacité à vous détendre quand le plaisir s’intensifie. Peu à peu la montée vers l’insoutenable sera plus lente vous permettant de la laisser envahir tout votre être au lieu de la bloquer au niveau de votre pénis.

    Bon cheminement @fidelio.

    #20113
    fidelio
    Participant

    Salut à tous.
    Mon dernier post était il y a un mois tout pile. C’est chouette de pouvoir quantifier les avancées en notant ses impressions ici. Depuis un mois, j’ai un peu dérivé par rapport à la poursuite du Super O’. Ma pratique en parallèle de l’auto-hypnose y est pour beaucoup et j’ai eu quelques mésaventures à ce sujet.
    Dans un post précédent, j’avais cité une vidéo sur Youtube nommée “Jackpot 2” par une certaine Isabella Valentine. D’expérience, je sais aujourd’hui qu’il vaut mieux éviter de se frotter aux mp3 que cette hypnotiseuse sème sur la toile. C’est ce que l’on appelle une Hypnodom, c.à.d une dominatrice qui se sert de l’hypnose pour interagir avec ses soumis. Je ne vais pas entrer dans les détails car ce n’est pas le sujet de ce forum, mais c’est en fait une personne assez dangereuse; et comme j’en ai plus ou moins fait la promotion plus haut, je préfère retirer ce que j’ai dit et au contraire mettre en garde.
    J’avoue que j’ai un penchant pour les femmes fortes, mais ça ne va pas jusqu’à apprécier la domination et l’humiliation. Or, il existe des mp3 du même acabit que le fameux Hypnaerosession, mais fabriqués par des dominatrices à destination d’auditeurs masochistes et soumis. Il s’avère que ces fichiers contiennent souvent de fortes suggestions cachées qui vous forcent à aimer des pratiques sexuelles dégradantes qui ne faisaient pas partie de vos fantasmes jusqu’alors (je vous laisse imaginer, mais ça va assez loin en fait).
    Bref, si comme moi vous voulez expérimenter dans ce sens, allez-y prudemment, car il y a des effets secondaires.

    Le contre-point de cette expérience c’est que j’ai multiplié la sensibilité de ma prostate et de ma zone anale par 10. A raison d’une séance d’hypnose érotique tous les 2 ou 3 jours, avec ou sans Aneros, je peux maintenant déclencher des montées de plaisir en un claquement de doigt. Je ne dis pas ça par forfanterie, c’est même parfois flippant de sentir que ma prostate est si sensible désormais. J’entre désormais très facilement en état de transe, laissant le champ libre à mon inconscient, et je peux faire déferler des vagues de plaisir sur ma prostate. le problème c’est que je maîtrise mal ce plaisir et il vient de façon brutale, provoque des contractions trop fortes qui m’entraînent systématiquement vers un super T.
    Du coup, j’ai décidé de calmer un peu le jeu et de prendre un peu de champ par rapport à la recherche du Super O. il faut que je fasse une pause.

    #20079

    En réponse à: Mon parcours Helix

    greg
    Participant

    Oui, c’est vrai que je n’ai pas été très loquace concernant ma courte expérience anéros hélix. Je l’ai reçu il y a 2 mois et mon expérience anale se limitait à des séances avec un plug,mais pas très satisfaisante. Le début avec Anéros a été laborieux avec des réflexes de masturbation et de manipulation forcée de l’anéros. Déception dès que la séance s’arrêtait et grosse frustration !!Les séances se sont nettement améliorées dès que j’ai pris conscience que l’anéros devait travailler tout seul.A moi de sentir les sensations et de varier mes contractions annales en fonction.Mes séances se sont aussi améliorées nettement avec la respiration, la détente et ,pour aider, une musique très relaxante :Hypnaerossession,trouvée sur internet.Des séances de 2 heures environ sur le coté au début (10 mn) puis sur le dos ,les cuisses bien écartées et les pieds à plat. un coussin sous les fesses pour que l’anéros puisse bien bouger. voila comment je pratique mes séances et je dois dire qu’après des débuts difficiles je découvre des sensations nouvelles à chaque fois. Ai je atteint le rewiring je n’en sais rien mais je sais que maintenant, même sans aneros, je ressens bien ma prostate qui me chatouille : un vrai délice !!
    Pour ce qui est de l’Anéros Prosgram , j’hésite encore . J’attends vos conseils

    #19827
    fidelio
    Participant

    Lors de mes 2 dernières sessions j’ai expérimenté ce que c’était que de vraies puissantes contractions involontaires avec un plaisir très marqué et des vagues agressives, et tout ça SANS Aneros.
    Le lendemain fut une vraie journée calvaire dans le sens où je me suis cru dans la peau de l’héroïne du Déclic, la BD de Manara : ma prostate me titillait tellement que je devais constamment la tenir à l’arrière de ma conscience, et si jamais je lui laissais de la place au premier plan, le plaisir et les contractions involontaires arrivaient en un claquement de doigts, quelque soit l’endroit où je me trouvais, comme si quelqu’un appuyait sur un bouton pour me mettre à l’envers ! Flippant. Le sur-lendemain ça allait un peu mieux, mon esprit était moins attiré par la suggestion et je pouvais vaquer normalement à mes occupations, mais toujours en restant sur mes gardes. Ça m’a permis de relire les dernières interventions de @andraneros, qui répétait inlassablement qu’il fallait absolument se détendre, rester calme et patient. Du coup pour la session d’aujourd’hui je me suis donné comme objectif de rester constamment focalisé sur mon souffle le plus lent et calme possible, sachant que je serais assailli par les contractions involontaires de toute manière.

    Donc j’ai expérimenté ça. Dès le début, j’ai compris que le rythme lent et profond de ma respiration renvoyait les contractions en arrière et donc le plaisir qui y était associé. J’étais content de voir que je n’étais plus esclave de ma prostate, mais aussi insatisfait de constater que le plaisir n’était pas vraiment au rendez-vous. Partant de cette constatation je me suis mis à jouer avec ma respiration et mes contractions pour voir si je pouvais trouver un point d’équilibre. Le corps fonctionne comme ça, plus on respire lentement, plus les battements de cœur se calment et moins on est sexuellement excité. En revanche, plus on est excité plus le cœur bat vite, plus les muscles se contractent.

    Le traité d’Aneros précise en permanence d’y aller piano sur les contractions, c’est ce que j’ai fait. En a résulté au bout d’1/2 heure une séance plus douce pour mon cœur (bon point), un plaisir plus diffusé mais pas moins grand, et surtout des contractions plus longues en durée, moins agressives, à l’intensité contenue. J’étais assez content du résultat, j’avais moins l’impression de me faire violer par ma prostate ! 😀 J’ai commencé à vocaliser un peu (ce qui ne m’était jamais arrivé auparavant) et j’ai conscience de m’être encore un peu plus abandonné que toutes les autres fois.
    Je pense que mon rewiring se fait tranquillement, par paliers successifs, à mesure que je laisse les barrières mentales s’ouvrir l’une après l’autre. Je suis persuadé que ce lâcher-prise que certains d’entre-nous avons tellement de mal à expérimenter vient de ce que l’on refuse au fond de se laisser prendre par le plaisir. J’utilise le mot « prendre » à dessein, ce n’est pas pour rien que la prostate est accessible par l’anus. Pendant la séance je me suis délibérément imaginé dans la peau d’une femme qui se fait prendre, dans ce but précis.

    Je suis arrivé à ce résultat sans mon helix (que je commence à trouver un peu trop direct), après une demi-heure de relaxation en auto-hypnose. Je pense que je vais essayer le Eupho maintenant car j’ai besoin éventuellement d’un truc plus subtil pour cultiver ces contractions plus douces et plus ciblées.

    #19824
    Yo
    Participant

    Rebonjour à la communauté après une longue absence ! Je voulais ouvrir ce post pour ceux qui sont sortis un peu des clous du traité d’aneros en quête de nouvelles sensations. L’aneros est une béquille vers l’apprentissage de notre analité après tout. Pourquoi ne pas partager des expériences nouvelles aussi ? Il y a tellement de posts sur l’apprentissage et si peu sur l’expérience ! Alors je me lance.
    En ce qui me concerne j’en ai eu assez de tout le temps être posé, se relaxer… Enfin du schéma classique quoi. J’ai parcouru bien du chemin et prend du plaisir sans aneros juste en identifiant ma prostate comme on identifie son doigt ou son pied ! Inutile de dire que lorsqu’il y a contact physique avec elle ca m’emoustille tres vite ! Enfin bref un jour j’avais envie de jouir mais peu de temps, et à faire en discret car je n’étais pas seul. Mais c’était plus fort que moi. Genre une pulsion. Du coup je me suis glissé dans la salle de bain en catimini pour insérer mon ami vice dans ma propriété privée, puis j’ai prétexté que j’allais fumer une cigarette au garage (on ne fume pas dans ma maison). Et donc me voila dans un décor un peu glauque, un garage quoi, l’aneros au cul et la clope au bec. Enfin dans les doigts plutôt. Car je n’ai pas vraiment eu le temps de la porter à la bouche celle la !
    J’étais debout, légèrement cambré, les bras appuyés sur une commode a hauteur de mon torse. Le jouet bouge de suite. C’est deja tres bon. Je le sens d’un coup rentrer en profondeur avec la première contraction involontaire et me voila deja et train de partir. Il retourne autour, et me repenetre profondément me laissant deja aux portes du non retour. Une montée vraiment rapide. Mais interrompue vite fait par une présence non désirée. Feignant de rien et me débarrassant de l’intrus, je tente de repartir vers ma quête, frustré d’avoir été interrompu. je me remet en position et la… J’ai ressenti presque comme une sodomie un peu brutale. Je contracte, le jouet bouge vite et rentre profondément à chaque contraction involontaire, me laissant l’effet d’avoir prit un coup de rein bien brut. Et ça bouge encore dans mon petit cul, le vice recule puis malgré que je contracte, je sens mon anus s’ouvrir cherchant à expulser mon ami. Je le sens ressortir et ca me fait trop du bien, j’ai peur de le perdre ! Mais non car les sensations orgasmiques sont la. Une contraction involontaire me replante le vice au fin fond de mon fion, me faisant jouir très fort. Je tais comme je peux tout ce bien être qui m’envahit et durant mes râles restés sous silence, alors que je suis deja au paradis, le jouet ne s’arrête jamais. Comme si il me mettait un coup de rein sec et profond, en ressortait plus lentement pour m’en remettre un juste avant de sortir et ca encore et encore. Je ne contrôle plus mon corps. Chaque coup me fait défaillir et je ne fait que subir. Un orgasme profond dans un total abandon. Jusqu’au coup fatal que je n’ai pas senti venir. Une explosion. J’ai éjecté le jouet comme une bouteille de champagne éjecte son bouchon sous la pression. Je contiens mon hurlement comme je peux. Mon corps tremble de toute part.
    Le tout en une dizaine de minutes. Je suis revenu comme une fleur comme si de rien n’était mais… Tres nettement détendu. Lol
    J’espère pouvoir lire certaines de vos expériences hors normes à mon tour 😉

    #19675

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Quand je disais que mes rares séances me font à chaque fois progresser…
    Hier, la journée a été très riche !
    J’ai passé une bonne partie de la journée à enchaîner les orgasmes sur ma chaise. Je pense que je peux qualifier cela d’orgasmes maintenant car c’est tout de même une montée de plaisir qui s’intensifie puis qui finit par retomber.
    Ensuite, avant ma douche, j’avais très envie de me masturber “normalement”. Je l’ai fait doucement, debout, et les sensations étaient délicieuses. Elles continuaient à provenir de la prostate, jusqu’à la toute fin où elles se sont plus concentrées sur le pénis. J’ai éjaculé en trois fois car je m’arrêtais à chaque fois que je sentais l’orgasme venir.
    Enfin, après m’être couché, les sensations sont revenus. J’étais détendu, mon corps était aussi lourd que de la pierre, et j’ai de nouveau eu quelques orgasmes.
    Et tout cela sans Aneros donc. Pour moi l’Aneros est finalement comme une sorte d’outil pour progresser, monter les échelons à intervalles plus ou moins réguliers. Cependant, une grande partie du plaisir que je peux ressentir, cela se passe sans lui, en dehors de mes séances.

    #19653

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Oui, effectivement, je retire le surplus, mais pas de façon forcené. Et, lors de ma séance précédente, je ne l’ai pas fait car j’utilisais du lubrifiant eau qui est moins problématique au niveau des taches. Bref, je ne pense pas que l’irritation vient de là. Peut-être que j’ai simplement l’entrée de l’anus déjà irrité avant l’insertion de l’Aneros. Je ne sais pas.

    C’est vrai que j’ai moins de mal à retrouver les sensations de plaisir. Je suis moins tendu et j’en fait moins une obsession.
    En journée, sans Aneros, les sensations viennent même à moins d’elles-même. Il suffit d’une musique agréable ou de pensées érotiques, et elles frappent à la porte. Il m’arrive donc d’avoir du plaisir assis sur ma chaise (peut-être des orgasmes, mais j’ai encore du mal à le réaliser). Hier, j’ai même eu une montée de plaisir assez puissante en lisant un livre.

    Du coup, je sais qu’il n’y a plus vraiment d’obstacle à ce plaisir, le fait de le savoir me permet de faire des séances d’Aneros sans me mettre la pression. Je n’obtiens pas forcément un plaisir aussi grand pendant ces séances par rapport au reste du temps, sans Aneros, mais ce n’est pas grave, car ce sont tout de même de bons moments. Et puis, cela me fait vraiment progresser, à chaque fois je sens que ça éveille encore plus ma sensibilité.

    Par contre, un des problèmes du moment, ce sont des tensions musculaires douloureuses qui ne me lâchent presque jamais. Il faut que je m’en occupe car je sais que ça me freine et ça a tendance à m’énerver.

    #19652

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Andraneros
    Modérateur

    J’ai effectivement retrouvé ce que vous écriviez le 29 décembre :

    De plus, avec le lubrifiant, je suis obligé de prendre des précautions pour ne pas tacher le lit etc. Bref, ça me demande de mettre le lubrifiant dans la salle de bain, d’essuyer tout surplus, etc.

    et qui m’ fait penser que le pourtour de l’anus manquait peut-être de lubrification.

    Cette recherche m’a aussi permis de constater que vous avez fait des progrès remarquables dans la maîtrise de votre plaisir depuis ce que vous écriviez ce 29 décembre :

    mais si je stoppe ma relaxation sans Aneros, en journée, pour le mettre en place, je pense que je vais perdre
    toute ma relaxation… Pour conclure, il semble que j’ai du mal à trouver le bon état en journée et avec l’Aneros. Mon corps est sans
    doute déjà sous tension et, quand je mets l’Aneros et que je me prépare, c’est déjà comme si j’en attendais
    quelque chose, ce qui brouille le chemin.

    Même en état de d’activité diurne vous parvenez maintenant à atteindre le plaisir rapidement puis à sortir de votre concentration et à retrouver aussi vite votre abandon au plaisir que fait naître votre masseur. Précédemment vous n’y parveniez, me semble-t-il, que la nuit en demie torpeur ou demi éveil. Vous avez franchi un pas important qui me réjouit.
    Bon cheminement @Lerris.

    #19646

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    C’est vrai que je suis sûrement moins tendu qu’avant car j’ai déjà gouté à de vrais sensations de plaisir prostatiques et je sais qu’il est possible de les reproduire. Par contre, j’aimerais tout de même avoir un peu plus de temps et d’occasions pour faire des sessions car à chaque fois je remarque une avancée dans mes sensations sans Aneros, le jour d’après notamment.

    Vous avez écrit dans l’un de vos témoignages plus ancien que vous nettoyiez très soigneusement le pourtour de l’anus pour ne pas marquer vos draps.

    Je ne me rappelle pas avoir écrit cela et cela m’étonne car je mets toujours une serviette sous mes fesses pour préserver les draps. En tout cas, je ne m’en suis pas préoccupé cette fois-ci, et j’ai tout de même été irrité. En fait, je ne crois pas que ce soit un manque de lubrifiant car j’ai cette irritation même quand j’en mets beaucoup, que ce soit du lubrifiant eau ou silicone. Par contre, pas d’irritation avec les jouets en métal. Après, il faut dire que j’ai développé une sensibilité à certaines matières à cause de l’utilisation, dans le passé, de jouets qui n’étaient pas de super qualité (constitués de matières sans doute allergisantes). Avec les Aneros, l’irritation est limitée et elle finit par passer, mais elle est tout de même présente au début et c’est dommage.

    #19640

    En réponse à: Suite de mon parcours

    Andraneros
    Modérateur

    Quel bonheur @filou de lire

    Mes séances sont toutes gratifiantes maintenant après des années de frustration… Un soir… à ma grande stupéfaction le plaisir arriva très rapidement et avec une intensité jusqu’alors inconnue. Depuis je continue de cette façon et le plaisir est toujours là à chaque session. Je ne connais pas encore le super O mais je progresse énormément et mes sessions sont beaucoup plus nombreuses à mon grand bien être.

    Je vous adresse mes félicitations pour avoir su faire preuve de tant de constance, d’application et d’espoir au long de tous ces longs mois sans résultat apparent (ou si peu). Malgré l’absence de réactions fortes et régulières votre corps et votre esprit ont peu à peu appris qu’il existait une autre voie pour accéder au plaisir orgasmique. Il a suffi que changent deux éléments de votre pratique (l’attitude de votre femme et le dosage de la lubrification) pour que vous receviez les premières récompenses de votre cheminement. Soyez persuadé que ce ne sont que les premières et que d’autres suivront qui vous plongeront de plus en plus dans la jouissance.

    Vous ne donnez que peu de précisions sur votre nouvelle manière de vous préparer pour vos sessions. Nos amis seront certainement intéressés de lire quels changement vous avez apportés (nature du ou des lubrifiants, dosage,…).

    Je suis aussi impatient de lire de façon plus détaillée, et à mon avis je ne suis pas le seul, comment vos sessions ont évolué depuis

    Souhaitez-moi de connaître enfin mes premiers moi qui suis en quête depuis mes débuts en 2009

    le 31 décembre dernier et

    Cette nuit j’ai ressenti pour la première fois ce que je crois être un véritable orgasme de la prostate

    le 7 février et

    Votre récit me fait pâlir d’envie car toutes mes sessions ne sont pas pourvoyeuses d’orgasme et sans aneros pas de plaisir possible

    le 16 février et

    Ma séance de cette nuit m’a comblé, même si je n’atteins pas encore le super orgasme, loin s’en faut. J’ai connu des vagues de plaisir voluptueux entrecoupées de pauses de cinq minutes, de 22h à 2h30 sans interruption

    le 16 mars. Comment se dérolent vos sessions maintenant ? Comment se manifestent vos plongées dans la jouissance ? Comment constatez-vous vos progrès de sessions en sessions ? Ce sont beaucoup de questions mais les difficultés que vous avez traversées pour atteindre tant de plaisir rendent votre témoignage encore plus précieux pour nos amis qui découvrent le massage prostatique.
    Merci d’être toujours avec nous et très bon cheminement @filou.

    #18333
    filou
    Participant

    Bonjour oilofozil. Je suis moi aussi du même âge que vous mais mon parcours est moins fulgurant que le vôtre et je commence seulement à ressentir du plaisir. Votre récit me fait pâlir d’envie car toutes mes sessions ne sont pas pourvoyeuses d’orgasme et sans aneros pas de plaisir possible ! Comment faites-vous pour accéder à tant de plaisir et comment sans masseur. Votre témoignage pourrait peut –être servir plusieurs d’entre nous. Félicitations pour votre réussite dans l’atteinte de l’extase orgasmique.

    #17815

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Joyeux Noël également !

    J’ai tenté une session avec l’Aneros ce matin avec le lubrifiant silicone. Apparemment, je le tolère assez bien (le lubrifiant).

    Je suis partagé sur cette expérience. En effet, je n’ai pas réussi à retrouver l’état de semi-conscience que j’arrive à trouver la nuit, au réveil, ou quand je suis sur le point de m’endormir. Les sensations sont donc plutôt restées au niveau du bas ventre et du périnée, même si j’ai eu quelques vagues de plaisir plus générales. Disons que je me trouvais un peu entre les deux chemins que j’ai décrit plus haut.

    A un certain point, ça n’évoluait plus, alors j’ai décidé de caresser mes tétons. Ça a été comme une décharge électrique et cela a déclenché pas mal de spasmes. Cela m’a dirigé vers le chemin “périnéal” dont je parlais, ce qui semble arriver dès que je touche à mes tétons car cela amplifie le plaisir mais semble provoquer de la tension, des contractions, etc. Du coup, le plaisir profond, prostatique, s’efface quelque peu, et le plaisir du périnée prend le dessus, et finit par envahir ma verge, ce qui provoque l’éjaculation. C’est ce qui est encore arrivé après plusieurs vagues de plaisir tremblantes.

    Je ne sais pas vraiment quoi en penser. Difficile de me diriger sur l’autre chemin sans être en relaxation totale, du coup j’ai tendance à prendre le premier chemin, le seul qui me semble accessible à ce moment-là, un chemin plus facile, qui apporte un orgasme, mais pas celui recherché.

    Notez qu’après cette éjaculation, je n’ai pas retiré l’Aneros, ce que j’aurais fait habituellement car cela a tendance à me gêner une fois que j’ai “conclu”. Non là, je me suis détendu, j’ai apprécié les sensations de détente, et j’ai ressenti quelques vagues de plaisirs supplémentaires. Je pense que, j’aurais peut-être pu me servir de la relaxation de l’orgasme avec éjaculation pour toucher l’orgasme prostatique. Cependant, je commençais à fatiguer, alors j’ai stoppé là.

    Pour conclure, il semble que j’ai du mal à trouver le bon état en journée et avec l’Aneros. Mon corps est sans doute déjà sous tension et, quand je mets l’Aneros et que je me prépare, c’est déjà comme si j’en attendais quelque chose, ce qui brouille le chemin. J’ai plus de facilité quand je suis détendu parce que je vais dormir ou que je viens de me réveiller. Je n’attends rien, cela vient tout seul.

    J’aimerais faire comme vous le décrivez, Andraneros, mais si je stoppe ma relaxation sans Aneros, en journée, pour le mettre en place, je pense que je vais perdre toute ma relaxation… De plus, avec le lubrifiant, je suis obligé de prendre des précautions pour ne pas tacher le lit etc. Bref, ça me demande de mettre le lubrifiant dans la salle de bain, d’essuyer tout surplus, etc. Je ne pense pas que ça aide.

    Je me dis que la solution, c’est sans doute encore une fois une session nocturne qui se manifestera d’elle même si je mets l’Aneros en place avant de dormir et que je me laisse faire. Car, dès que je brusque les choses, que je me prépare, que j’ai des spasmes, des fortes contractions, etc. Tout cela réduit mes efforts à néant.

    Dernier point, je me demande si le fait que mon pénis soit plus sensible ne me dirige pas plus rapidement vers le chemin de l’éjaculation. Je m’explique. Habituellement (avant l’achat de l’Aneros), je me masturbais régulièrement avec éjaculation. Depuis mon achat, je ne me touche presque jamais la verge, je suis déjà bien occupé avec ma prostate. C’est un gros changement. Du coup, mon pénis est plus sensible et peut-être que c’est une partie de l’explication.

    #17809

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Andraneros
    Modérateur

    Joyeux Noël @Lerris. Vous avez su vous détacher de toute attente pressante et vous avez reçu un joli petit cadeau. Je suis heureux de lire que vous parvenez enfin à vous abandonnez à votre plaisir sans ressentir de frustration. Ces deux semaines vous ont permis de franchir une étape qui me paraît décisive. Félicitations ! Si vous parvenez à engager vos prochaines sessions dans le même état d’esprit la suite de votre cheminement vous apportera des vagues de plaisir de plus en plus intenses qui finiront par vous submerger au delà de tout contrôle.

    Je partage votre analyse, vous avez bien progressé et vous continuerez de progresser. Cherchez à retrouver toutes ces sensations nouvelles quand vous reprendrez l’Aneros. Éventuellement essayez d’engager une ou deux sessions sans Aneros en journée pour voir si vous pouvez retrouver en étant éveillé ce que vous avez découvert en demi sommeil. Si vous y parvenez vous pourrez commencer vos futures sessions sans Aneros et introduire votre masseur quand vous aurez atteint cet état où le plaisir vous envahit.

    Bon cheminement @Lerris.

    #17645

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Me voilà de retour !

    Hier, comme je me suis dis que mon blocage pouvait venir de mon inconscient ou de la crispation/frustration, je me suis dis que j’allai essayer de dormir avec l’Aneros. Ma moitié n’y voyant pas d’inconvénient, j’ai tenté le coup.

    J’avoue qu’au départ, je n’y croyais pas des masses. J’étais un peu patraque au coucher, l’Aneros m’a semblé un peu inconfortable au début et j’ai cru que je n’allai pas pouvoir dormir. Mais, j’ai finis par m’assoupir tout de même.

    Le réveil a été… surprenant. Au beau milieu de la nuit, je reprends à moitié conscience et je sens une vague de chaleur monter des pieds à ma tête, mon cœur s’accélère à m’en faire peur et j’ai une forte érection. A peine le temps de comprendre ce qui se passait que les contractions involontaires avaient commencé leur travail.

    Je ne saurais dire si j’ai atteint l’orgasme tellement les sensations ont été diverses. Et puis, comme j’étais encore à moitié assoupi, c’était presque comme un rêve. Ce fut un mélange de vagues de chaleurs, de plaisir et de sensations comme j’ai pu en avoir d’autres nuits, sans Aneros, comme si je décollais et que je faisais une expérience intérieur étrange.

    Au bout d’un moment, j’ai fini par avoir en envie de me rendormir. Je me suis tourné sur le côté et là… les contractions ont repris de plus belle. J’ai eu de très bonnes sensations avec de nouveau une forte érection.

    Bref, une expérience très plaisante, même si ce matin je suis vraiment fatigué. Ça sera à refaire je pense… Je suis encore tout électrisé.

    Par contre, il faudrait que j’essaye de dormir seul au moins une fois car essayer de ne pas réveiller sa moitié pendant cette expérience, ça n’aide pas vraiment.

    #17622

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Merci pour votre réponse.

    Je sais que je progresse sans doute plus vite que d’autres et que je ne dois pas non plus m’attendre à avancer à chaque fois. Je devrais être content de ce que j’obtiens déjà et en un sens c’est bien le cas.

    Cependant, ce qui est tout de même frustrant, c’est d’avoir l’impression d’être devant une porte, d’avoir la main sur la poignet, mais de ne pas réussir à l’ouvrir. Le plaisir monte, mais il reste bloqué, il n’explose pas.

    D’ailleurs, j’ai fait une séance avec l’Aneros, à l’instant, et je suis resté sur ma faim. A la fin, ça a fini par m’énerver un peu, j’ai perdu une partie de ma relaxation, alors j’ai arrêté. Enfin, j’ai changé de toy plus exactement, en utilisant un dildo, parce que j’en avais envie. Je dois dire que ça a été plutôt sympa. J’étais proche de l’orgasme je pense. J’ai peut-être même eu un ou deux mini-O.

    Mais, même là, c’est resté localisé, bloqué.

    Note : J’ai encore eu des problèmes de remplissage de vessie. J’ai été au petit coin 4 fois dans la séance qui a duré 2h environ. Cela me déconcentre un peu.

    Au final, j’ai l’impression de mieux progresser lors de mes séances de relaxation sans Aneros. Mes séances avec l’Aneros me semble plus servir de support pour développer ma sensibilité. Une sorte de base en somme, que je peux développer or de ces sessions avec Aneros, quand j’arrive à me détendre vraiment à fond.

    #17617
    Papy6748
    Participant

    Petite mise à jour rapide
    Depuis 1 mois, après mes découvertes spectaculaires de ces dernières semaines, mes séances ne m’apportent aucune découverte nouvelle. En revanche elles me conduisent au niveaux atteints précédemment de plus en plus facilement,j e dirais de façon de plus en plus certaine. Je ne peux que répéter ce que je disais il y a 1 mois mon plaisir devient de plus en plus facile à atteindre même si je ne progresse pas au-delà de ce que je connais.

    Le processus se répète mais à un niveau supérieur. Maintenant je parviens à déclencher les vagues de plaisir à chaque séance même au coucher avant de m’endormir, même diurnes actives, sans parler de mes réveils nocturnes sous l’effet de l’Helix. Mes sensations s’intensifient doucement sans pour autant me donner l’impression de franchir un cap. Le seul élément nouveau est que dans les meilleurs moments je sens une espèce de brûlure de plaisir très localisée dans le bas ventre, peut-être le contact entre l’Helix et la prostate. Je ressens aussi plus nettement cette impression de devenir électrique, d’avoir la peaau hyper sensible. Mes pointes de sein deviennent des génératrices d’éclairs de plaisir

    Inutile de dire que ce que je vis alimente mon désir et mon excitation. Ces deux points ne me posent plus aucun problème depuis quelques semaines. Il faut dire que les sensations de plaisir que je déclenche entre les séances, sans Aneros, atteignent une intensité qui peut être supérieure à celle que j’obtenais pendant mes séances il n’y a pas si longtemps !

    Je crois que je suis le chemin emprunté par Lerris et par d’autres avant lui. A mon petit rythme bien sur ! avec des périodes de découvertes qui deviennent spectaculaires et des périodes de stagnation qui enr éalité s’avèrent être des périodes de consolidation. En tout cas comme je ne doute plus de mon cheminement, je ne ressens aucune frustration et ça c’est formidable.

    Merci Nouveauxplaisirs pour vos informations précieuses et tous les conseils pertinents parce que concrets que vous nous donnez.

    #17588

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Salut,

    Avant de commencer, je tiens à signaler que j’ai des soucis avec le forum. Ce matin, je ne pouvais pas poster sur ce sujet même après m’être connecté.

    Bref, je passais simplement donner des nouvelles.
    Je n’ai pas eu l’occasion de refaire une session Aneros longue, simplement une ou deux petites. Je n’ai pas tellement progressé de ce côté là.

    En dehors de ces séances, je pratique des moments de relaxation sans Aneros qui me conduisent ensuite à des contractions involontaires, au niveau de la prostate, et à du plaisir. Je fais cela dans mon hamac, ou la nuit, quand je me réveille et que je me sens prêt pour ça.

    Je pense avoir un peu avancé lors de ces sessions sans Aneros. J’arrive à mieux me détendre, je suis plus efficace dans ma respiration ventrale, et j’identifie les vagues de “plaisir” qui viennent et se retirent. J’essaye maintenant de ne pas forcer les choses pour que la vague suivante arrive.

    Aujourd’hui, j’ai réussi à atteindre un état de bien-être général et mes premières sensations de plaisirs globales. C’était tenu, mais c’est un premier pas. Je pense que, si j’avais plus de temps et un peu plus de calme autour de moi, je pourrais sans doute aller plus loin. Une session longue avec Aneros me permettrait sans doute également d’augmenter ma sensibilité. J’essayerai demain pour voir.

    En tout cas, ces séances me font du bien. Je me sens plus calme et plus concentré, plus positif aussi.

    Ah autre détail, les contractions involontaires que j’avais quasi toute la journée, il y a quelques jours, sont mieux contrôlables. A présent, elles ne se déclenchent que lorsque je me focalise sur ma prostate.

    Voilà…

    Je dois avouer que, pour l’instant, tout cela est un peu frustrant. En tout cas, j’ai ressenti de la frustration les jours d’avant. L’impression de toucher quelque chose du doigt, mais sans avancer vraiment. Aujourd’hui, j’ai essayé de me détendre et de simplement profiter. Je pense que c’est un meilleur état d’esprit. Sinon, je vais encore m’acharner et ça ne servira à rien.

    Du coté des relations à deux, j’ai toujours cette nouvelle sensibilité, qui ne semble pas déplaire à madame, même si elle trouve ça étrange (j’ai des spasmes quand elle me touche…). J’aimerais pouvoir avoir un orgasme juste par ses caresses… Peut-être plus tard ?
    Bizarrement, ma prostate entre tout de même en action, même si mon pénis est touché. Pendant le rapport, je perds même un peu le contrôle. Vous savez, quand votre corps se fait l’amour lui-même avec l’Aneros ? Eh bien là c’est pareil, sauf que c’est mon corps qui prend le contrôle et fait l’amour à ma femme.

    Lorsque j’arrive à l’orgasme, c’est très intense et je continue ensuite à avoir des contractions longtemps avec un plaisir qui vient de la prostate. Bref, l’un et l’autre ne se bloque pas vraiment…

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