20 réponses de 1 à 20 (sur un total de 352)
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  • #45803
    lariastoha
    Participant

    Je reviens après deux sessions, j’utilise l’eupho principalement et il me propulse à chaque fois un peu plus loin. Ces deux dernières sessions ont été assez particulières, je prends tjs du plaisir mais il y a eu quelque chose en plus cette fois, je ne sais pas l’expliquer mais c’est comme si j’étais arriver à m’abandonner tout doucement et quand mes fesses ont commencées à trembler, ça c’est amplifié très vite. D’habitude je dois refaire une petite contraction pour relancer une série de vibrations qui s’enchaînent, ici je suis parti tout seul, ça a vibrer comme jamais ça vibrait et je me répétait a moi même de me laisser aller. Ces vibrations ont été particulièrement puissantes, mon bassin était comme en phase avec cette énergie et je ne contrôlais rien du tout, pas de contractions, pas de mouvements, rien … je me laissais aller entièrement à ces vagues vibrantes et enivrantes. La première session je l’ai arrêtée car je n’arrivais plus à rien mais j’étais bien et détendu. Je ne pense tjs pas avoir atteint un orgasme ou quelque chose comme ça, mais chaque fois c’est différent, plus fort, plus connecté à mon intérieur. Je suis content en étant forcément déçu car j’ai déjà ressenti un plaisir énorme avec ce petite boule de chaleur mais ça c’est estompé assez vite et je me doute du potentiel que cela peut générer . Je suis tellement curieux et à la fois impatient.

    la deuxième sessions fut très proche de la première en terme de ressenti à part que ces vibrations, quand elles ont commencées, j’ai claqué des dents, et quand je contractais un peu et que cela partait, mes dents aussi était comme en résonance. Ça m’a surpris. J’ai senti plusieurs flux d’énergies monter en moi mais j’avais cette impression qu’ils étaient encore forts éloignés. Pourtant les vibrations / tremblements n’ont jamais été aussi fort, mon bassin se levait presque à certains moments et le rythme était super rapide. Mon souffle devenait court et j’essayais de me concentrer sur cette sensation plaisante mais en vain.

    enfin, je dis ça mais je suis super content du résultat actuel, car je me suis entraîné aussi sans masseur et je dois dire que, bien que pas aussi puissant, j’ai ressenti plusieurs fois des sensations de chaleur et de bien être en contraction et avec ce que je pense être les muscles PC et aussi anaux. Un mix des deux qui m’a parfois fait monter tout seul dans mon fauteuil, et pour peu que je fantasmais sur quelque chose, je décollais presque sans rien.

    Du coup je pense que cela a accélérer mes sessions en terme de ressenti mais je reste tjs sur ma faim. Peut être est ce normal après tout, c’est tellement bon, qu’on en veut presque tjs plus, non ?

    ceci étant dit, la préparation pour le masseur est effectivement pénible et puis après cela je passe une journée ou une nuit avec un anus « gras » qui suinte, y a mieux comme ressenti …

    Bref, j’espère que je retrouverai cette sensation tant convoité, cette boule de chaleur et ce bien être dans une de mes prochaines sessions. Ceci étant dit, je n’ai jamais autant progressé que ces derniers temps, il faut bien que je trouve du positif aussi 😉

    à bientôt

    #45756
    lariastoha
    Participant

    Merci à nouveau pour ta réponse. Je comprends et j’apprécierais également y arriver sans. J’ai déjà ressenti plusieurs fois des sensations en a-less mais jamais quelque chose d’aussi agréable qu’avec un masseur.

    de plus comme j’aime la pénétration, j’ai plus de mal à me laisser aller à ce niveau.

    j’ai commandé le nexus G force pour essayer, il me reste encore le MGX à tester mais bon le budget doit attendre un peu.

    en fait, c’est pour ça que j’aime aussi être femme car tout peut arriver même sans masseur. Dans ces moments d’excitation, ça peut vraiment être très puissant. J’espère un jour arriver à m’ouvrir suffisamment pour ressentir ce plaisir dont tu parles, je crois que j’en suis encore fort loin.

    Et je continue les massages qui sont des moment où je m’abandonne complètement.
    prochain épisode fin de semaine quand j’aurai le nexus en espérant que le reste suivra 🙂

    Juste une question : tu dis que tu as vécu des super O et que le plaisir prostatique est bien différent du plaisir aless mais tu ne veux plus du tout vivre de plaisir prostatique tellement le plaisir sans rien te plait mieux ? Ou est ce les contraintes de la préparation qui te bloquent ?

    #45482
    bzo
    Participant

    tu as passé un stade très important,

    les portes vers la saison des orgasmes, sans fin, se sont ouvertes, pour toi

     

    comme tout le monde, tu as connu cette période,

    où tu sentais ton premier orgasme tout proche, tout, tout proche

    mais il semblait y avoir, une paroi de verre qui t’empêchait d’y goûter,

    tu l’as brisée, cette fois, tu y es, dans la cour des grands,

    les choses sérieuse vont pouvoir commencer

     

    en plus, si je te lis bien, tu fais quelques tentatives, aneroless,

    comme cela, de brefs instants,

    très bien,

    tu prépares déjà l’avenir,

    un avenir sans masseur

    mais avec beaucoup, beaucoup de plaisir

    et puis cette liberté absolue,

    de n’avoir besoin que de ta chair, pour atteindre l’incandescence,

    où tu veux, quand tu veux, comme tu veux

     

    bonne continuation

     

    #45435
    Caktil
    Participant

    Ces deniers temps, que ce soit avec ou sans masseur, j’ai la chance de vivre une séance idéale toute les deux ou trois sessions.

    Je ne sais pas ce que devrait être une séance idéale pour vous, mais pour moi c’est encore mieux qu’une bonne séance. Une bonne séance, c’est quand il se produit plusieurs orgasmes prostatiques avec peut-être même un ou deux Super-O’s. Une session qui marche bien, donc. Mais une séance idéale… C’est plus que ça.

    Une session idéale, ce sont des vagues de plaisir qui se manifestent déjà dans les premières minutes. Puis le plaisir augmente et se transforme rapidement en orgasmes. Puis ces orgasmes se succèdent régulièrement avec juste une ou deux minutes de repos ou même sans interruption, ils se chevauchent parfois.

    Et, surtout, la caractéristique principale de la session idéale c’est que chaque orgasme est meilleur que le précédant.

    J’ai à peine le temps de me dire que je viens de vivre le meilleur orgasme de ma vie que le suivant débarque et détrône le précédent de son piédestal. Cela paraît irréel.

    Je n’ai plus vraiment compté le nombre de sessions, mais d’après mes calculs, je dois en être à la séance numéro 485. Cela fait trois ans et demi que je pratique environ deux à trois fois par semaine et je continue à faire des progrès. Je ne sais pas où cela va s’arrêter, mais je pense que les progrès sont sans fin…

    Bref, aujourd’hui j’ai eu une séance idéale. Et cela va continuer. C’est tout simplement incroyable !

    #45092
    dbl
    Participant

    Bonjour à vous. Je suis un jeune homme de bientôt 20 ans, et voilà maintenant 3 ans que j’ai découvert que l’homme, à l’instar de la femme, pouvait expérimenter des orgasmes intérieurs, longs et surtout répétables, grâce à sa prostate.
    <p style=”text-align: left;”>Mon parcours a toujours été complexe et non linéaire. En effet, j’ai utilisé assez bien de masseurs et n’ai jamais été régulier dans mes séances, abandonnant assez vite lorsque les résultats espérés ne se montraient pas. Je ferai sûrement un post pour détailler mon parcours, l’expliquer en détail.</p>
    <p style=”text-align: left;”>
    Il y a quelques jours, j’ai décidé de me recommencer des séances, avec pour objectif de ne pas abandonner, même si les résultats se sont pas là. J’en ai fait 3 pour l’instant.</p>
     

    Je pense avoir fait une grande avancée dans mon cheminement. En effet, lors de mes anciennes séances, je ne ressentais quasiment aucune sensation parvenant de ma prostate, hormis quelques sensations de léger plaisir par moment, qui ne duraient jamais bien longtemps. Hors, lors des trois dernières séances, j’ai vraiment ressenti des sensations de plaisirs provenant de ma prostate : je sais maintenant sentir et reconnaître quand la tête du masseur vient s’appuyer contre elle et en ressentir ces ondes de plaisir en résultant.  Je ressens même en cours de journée du plaisir provenant de la zone de ma prostate et de mon périnée, alors que je fait rien pour.

    Avant de commencer mes séances, je me relaxe 30 minutes : 15 minutes sans masseur et 15 minutes avec le masseur. Je commence après a effectuer les contractions volontaires des sphincters. Au niveau de la lubrification, j’enduit mon masseur d’une couche généreuse de lubrifiant à base d’eau.
    <p style=”text-align: left;”>Les deux premières séances ont été effectués à l’aide de mon aneros helix trident (en silicone). Celles-ci se sont soldés par des sensations plutôt agréables, une sensation de plaisir intense par moments, et puis plus rien. Je pense que le silicone n’est peut-être pas une matière faite pour moi. En effet, je trouve les sensations un peu trop subtiles et préfère les sensations données par le plastique blanc.

    </p>
    <p style=”text-align: left;”>J’ai effectué ma dernière séance à l’aide de mon aneros progasm. Celle-ci fut caractérisée par un plaisir très intense au niveau de ma prostate tout au long de ma séance, avec encore une fois des pics de plaisir à certains moments précis. En effet, je pouvais sentir ce dernier glisser dans mon rectum et cogner contre ma prostate, me donnant beaucoup de plaisir. Cependant, j’ai procédé un peu différemment pendant celle-ci : je ne faisais pas beaucoup de contractions, je laissais simplement le masseur s’appuyer contre ma prostate, ce qui provoquait un plaisir intense, et j’avais l’impression que les contractions venaient écraser ce plaisir, qui ne pouvait donc pas être entretenu.

    </p>
    Je viens donc vers vous en quête de conseils de la part d’utilisateurs expérimentés :

    – devrais-je obter pour un lubrifiant en silicone ? Leur pouvoir lubrificateur est apparement plus important. J’ai également lu que le beurre de Karité faisait des miracles. J’ai notamment lu dans le traité qu’il était possible de se lubrifier le rectum a l’aide de lubrifiant injecté grâce à une petite seringue en plastique.

    – Suis-je dans la bonne direction en ne faisant pas beaucoup de contraction, mais au contraire en laissant le masseur s’appuyer contre ma prostate ? Les sensations pourront-elles se construire comme cela ?

    – peut-être suis-je trop jeune pour expérimenter ce plaisir si différent du plaisir « habituel », qui demande discipline, connaissance de son corps, patience et espoir ? Peut-être que je suis encore trop immature pour y accéder ?

    Je m’excuse pour le long pavé, et vous remercie d’avance pour les précieux conseils que vous pourriez me donner.
    <p style=”text-align: left;”><!–more–></p>

    #45091
    bzo
    Participant

    anerosless = en anglais, sans aneros

     

    Aneros étant la marque préférée, la marque , par excellence, de masseur prostatique,

    la marque préférée des prostateurs

     

    par généralisation, donc, sans masseur ,

    la pratique du massage prostatique, sans aucun accessoire, enfoncé dans le séant,

    rien qu’avec des contractions, des muscles , autour de l’anus et puis du périnée,

    en remplacement

    #44956

    En réponse à: Journal du prostatomane

    RomPat33
    Participant

    hum, avec aéro, tu voulais sans doute écrire anéros?

    un masseur, quoi,

    donc, ce que j’ai décrypté de ta phrase,

    c’est s’il y a moyen de faire un rewiring sans masseur (marque Aneros ou autre)

    oui désolé, je n’ai pas l’habitude d’écrire ces termes mais plutôt de les lire, je voulais bien sûr parler de Aneros et de rewiring 😂

     

    #44952

    En réponse à: Journal du prostatomane

    bzo
    Participant

    hum, avec aéro, tu voulais sans doute écrire anéros?

    un masseur, quoi,

    donc, ce que j’ai décrypté de ta phrase,

    c’est s’il y a moyen de faire un rewiring sans masseur (marque Aneros ou autre)

     

    il y a très certainement moyen, cela risque peut-être de prendre plus de temps

    mais là, encore, j’ose rien affirmer pour la raison que j’ai décrite, juste au-dessus,

    je ne me sens plus légitime pour donner des conseils dans une pratique purement prostatique,

    pour l’instant,

    quand j’y arriverai à nouveau, à pleine puissance, avec la kyrielle d’orgasmes qui se suivent

    et tout le reste,

    alors oui, je pourrai à nouveau en parler

    #44814
    Onyx
    Participant

    ***RETOUR DE MON CHEMINEMENT***

    Témoignage de mon cheminement depuis la découverte du forum http://www.nouveauxplaisirs.fr qui date de début octobre 2021 suite à quelques recherches que j’avais fait sur la recherche du plaisir prostatique, que je ne connaissais seulement que de nom depuis quelques années, mais sans réellement approfondir le sujet.

    Ma soif de nouvelle expérience et de curiosité, j’ai donc commencé en ce début de mois d’octobre 2021, à parcourir un peu plus en détail le forum (Aneros et Plaisir prostatique). En lisant les différents témoignages et le bouleversement même mental de certain après le réveil prostatique , m’a curiosité ne fût que plus accentué et s’agrandissait de jours en jours sur ce qui était encore pour moi, un plaisir totalement inconnu. Voyant bien que la plupart, voir même, que la majorité des personnes présentes sur ce forum réalisaient leurs premières sessions et sensation prostatique à l’aide de l’ANERO.

    J’ai préféré entamer une autre démarche et n’ayant pas trop l’envie d’investir dedans car, n’étant pas sûr que j’aurais eu réelle satisfaction dans ma phase de recherche de plaisir. J’ai donc commencé mes sessions, sans masseur…

    Et à l’heure ou j’écrit ces lignes, je n’en ai toujours pas acheté. D’ailleurs ce n’est que plusieurs mois plus tard en parcourant ce forum, que j’ai découvert le terme A-less que j’ignorais totalement et qui par la suite, m’a aidé dans la recherche subtile de ce nouveau plaisir.

    ***Début des premières sessions mi-octobre:***

    Dans la phase de recherche de la zone prostatique, j’ai donc commencé mes premières sessions à suivre le procédé présent sur le forum (Note d’Adam) en commençant tout d’abord par la recherche de la zone prostatique sans masseur mais avec l’aide d’un doigt (toujours bien lubrifié) avec une durée des sessions d’environ 1h ou 1h30 selon les soirs.

    Dès mes premières sessions, j’avais déjà une certaine excitation/plaisir juste par la présence d’un doigt dans la région anal et j’avais à chaque fois une érection au début des premières sessions qui au fur et à mesure, ce calmait après quelques minutes avec le début des caresses et en exerçant des petites pressions dans la zone prostatique.

    Pendant ces premiers jours je dois avouer que le plaisir restait très relativement modéré voir même inexistante certains jours et que c’était principalement plus du plaisir anal, même si dans certain moment, il y’avait malgré tout un petit frémissement dans la zone prostatique. Chose qui arrivait rarement.

    Car malgré tout, en regardant du porno pour maintenir ou augmenter mon excitation. je finissais toujours mes sessions par une éjaculation et que lors de ce moment, j’ai constaté qu’avec la pression du doigt au niveau de la zone prostatique, Cela intensifiait grandement et prolongeait mon plaisir avec plus de contraction éjaculatoire.
    J’avais un début de confirmation qu’il y avait bien quelque chose de fou à aller chercher.

    Pendant plusieurs jours/semaine de ce mois de fin octobre, j’ai continué à explorer quasiment tous les soirs avec mon doigt, toujours en massant délicatement la zone prostatique et en finissant toujours par une éjaculation.

    ***Début novembre:***

    Durant ce mois de novembre, il n’y eu guère trop de changement dans ma pratique; Toujours en suivant le procédé (Note d’Adam) et toujours une pratique sur le dos avec les jambes repliés et mon doigt pour masser la zone prostatique. Mais de petite amélioration malgré tout avec la disparition d’une sensation de gêne dans la partie anal durant mes sessions et un “début” de légères sensations agréables après 45min de massage dans la zone prostatique. Ce qui me poussa, certain soir, de prolonger certaine session durant presque 2H.

    Quand cette nouvelle sensation était présente certain soir et, selon le degré d’intensité, j’essayais de garder cette légère sensations agréables le plus longtemps possible en étant le plus possible à l’écoute de mon corps et variant les pressions et les caresses avec mon doigt.
    Lorsque ces sensations furtives de plaisir disparaissait, je finissais mes sessions par habitude toujours par une éjaculation.
    Sur les différentes étapes du voyage prostatique, je devais me retrouver à ce moment là vers l’étape 7.

    ***Début Décembre:***

    Premier léger spasme et contractions de plaisir après une session 1h toujours avec doigt et là! j’ai vraiment compris qu’il y avait un potentiel de plaisir incroyable à aller chercher dans cette zone érogène atypique.
    Chaque session ne ce ressemblait pas; certains soir il ne ce passait rien et d’autres fois j’ arrivais à avoir un degré de plaisir assez satisfaisant en prenant bien le temps de me relaxer et d’être à l’écoute de mon corps.

    Mais de mémoire je crois que pendant une bonne semaine, je n’avais plus vraiment de ressenti intense comme celui que j’avais ressenti en début de ce mois. J’ai eu quelques jours de flottement, ce qui m’a poussé à essayer une nouvelle approche.

    Tout d’abord, j’ai débuté par des entraînements durant mes journées, à bouger/sentir certains muscles (contractions anales et rectales) , en suivant les instructions anero et commencer à reconnaître et prendre conscience des sensations qui venait parfois me titillais ou même à certain moment me chatouillais.
    J’essayais d apprécier au maximum le moindre message de plaisir dans cette zone, ce qui a eu pour effet pour moi, d’une sorte de recâblage mental qui, à force de stimuler certains muscles, cela a dû réveiller certains nerfs je pense dans la zone prostatique.

    J’ajoutais aussi pendant mes sessions du soir, le massages des tétons , ce qui, au bout de 2 jours, m’ont rajouté à me donner du plaisir et en réalisant aussi le lien très étroit qui existe entre prostate et téton.
    Cela m’a vraiment aidé dans le lâcher prise et dans la prise de conscience de mon corps.

    *Durant la période de Noël;*

    Enfin le fameux réveil prostatique!
    Après une session de 2h où j’ai vraiment ciblé la zone qui me titillait tant et en commençant bien à contracter les bons muscles du périnée; j’ai pu avoir mon premier ORGASME
    **Premier déclic !**

    ***Début janvier/février:***

    Arrêt du massage prostatique avec mon doigt et ajout de la découverte de l’ hypnose érotique via le forum pour continuer à m’aider à lâcher prise et en décontractant le plus possible le corps.
    Dès ma deuxième session d’audio d’hypnose érotique (SHIBBYSAYS) j’ai eu ma première éjaculation sans stimulation direct du pénis…Je pensais que cela était totalement impossible! et pourtant…

    j’ai vraiment eu dû mal à réaliser ce qu’il s’était passé. C’était tellement intense et jouissif !

    Simplement en écoutant ses instructions+l’excitation de l’audio, j’étais totalement dans un état d’hypnose profond ou proche d’une trance. À chaque claquement de doigt durant l’audio je ne pouvais m’empêcher de contracter les muscles du périnée ce qui enclenchais au passage des vagues de plaisir totalement nouvelle par leur intensité de plaisir.
    Un niveau de plaisir jamais égalé et mon cœur qui palpitait comme jamais!
    J’avais des piques à +100bpm au moment des grosses montés de plaisir tout en étant allongé dans mon lit d’après ma montre connectée.

    **Deuxième gros déclic!**

    Après cette expérience des plus folles, j’ai décidé d’arrêter provisoirement l’éjaculation tous les soirs et d’intensifier les exercices du périnée en pratiquant tous les jours. Quand je suis assis, durant mes trajets en voiture, durant ma sieste allongé, dès que j’ai un peu de tranquillité.
    Au fur et à mesure des mois et en continuant les sessions d’hypnose et en jouant de plus en plus souvent avec mes tétons, les sensations de plaisir orgasmique étaient de plus en plus présent.

    Les vagues de plaisir arrivaient de plus en vite et mon besoin d’avoir des éjaculation diminuait pour vraiment me concentrer et transférer la zone du plaisir orgasmique vers ce nouveau **TRESOR**. (Le fameux point P).

    Au tout début il fallait au moins 45min pour avoir des sensations en suivant la relaxation et en ajoutant les contractions des muscles.
    Après 3mois de pratiques d’entraînement, la sensation de plaisir agréable arrivait de plus en plus rapidement. 30min.
    20min (Mars)
    10/15min (Avril) et là, à partir du mois d’avril j’avais maintenant sensations de plaisir tous les jours à partir de ce mois
    5min durant cet été
    MAINTENANT (Octobre) en seulement quelques secondes je peux déjà ressentir du plaisir qui irradie déjà toute la zone en fessant quelques contractions.

    ***Janvier/Avril:***
    Durant les semaines et les mois qui passèrent j’ai vraiment commencé à sentir une magnifique évolution dans les sensations d’orgasmes avec l’arrivé de vrais contractions involontaire, le début des vagues de plaisirs qui m’enveloppaient quasiment de la tête au pied.

    Les premiers spasmes plus ou moins incontrôlable.
    Les premiers râles intenses. Le plaisir lié au massage des tétons.
    On ressent la vraie connexion de certaines zones. Et que chaque partie de son corps devenant que pur plaisir.
    Les premières coulés du liquide prostatique.
    Les premiers moments de lâchés prise où l’on perd la notion du temps et que l’on ne peut que suivre ces vagues de plaisir encore et encore, les tremblements des jambes et même du corps tout entier au moment du pic! Jusqu’à ce que la fatigue nous dises stop pour nous ramener sur terre.

    ***Septembre (SESSION SHIBARI)***

    Un premier (GRAND) voyage dans les cordes.
    Quelques minutes en suspension, aveugle, l’esprit qui vagabonde, laissant libre cours aux sensations dans les cordes.
    Puis…Le sentiment que mon esprit qui commence à dériver vers un état de décontraction qui s’accentua au fur et à mesure. Ce sentiment d’être ancré un peu plus dans mon corps grâce aux cordes et sentir une forme de liberté dans la contrainte, déclenchant au même moment, à éveiller une zone que j’affectionne depuis peu…La zone prostatique.
    L’arrivée de légers chatouillement/picotement…sensation subtile mais agréable qui commença à émerger, en prenant conscience que mes muscles (périnée) débuta aussi à se contracter tout seuls …Mon esprit est libre de tout et de rien. Je commence alors à totalement lâcher prise…Les sensations gagnent en finesse, en intensité, l’excitation en moi qui augmente, sentir l’énergie circuler …Les battement de cœur qui s’accélère, sentir le flux sanguin qui vient caresser la zone prostatique, m’amenant un peu plus à perdre pied (sans mauvais jeu de mot malgré la suspension) et commence un peu à m’agiter dans les cordes…
    L’arrivée des premiers râles, cette sensation de chatouillement agréable qui continua de s’amplifier puis qui ce transforma ensuite en contractions/spasmes de plaisir plus ou moins incontrôlable dans la zone prostatique, brouillant mon esprit et irradiant de plaisir tout mon bassin…Mon corps me poussa tout seul vers le début des vagues orgasmiques qui s’intensifiaient de plus en plus allant même par m’envelopper quasiment de la tête au pied.
    Je flottais, engourdi dans un état de bonheur… Me laissant inondé par les sensations tout en étant délicieusement torturé avec la cire, ce qui d’ailleurs, me faisait replonger aussitôt dans les vagues de plaisir à chaque contact. Je ne pouvais qu’accepter sans aucunes questions, sans aucune résistance, ce nouveau type de voyage en perdant totalement la notion du temps…J’étais dans une toute autre DIMENSION !
    Les jours qui suivent, je n’ai eu de cesse d’avoir encore une prise de conscience assez intense de la zone prostatique qui me titillait à longueur de journée, chose encore nouveau pour moi que je n’avais encore jamais eu sur une si longue période. et Je devais me pousser à me concentrer sur autre chose pour oublier ces douces sensations et d’éviter de replonger dans les vagues de plaisir. J’étais encore connecté à ce qu’il s’était passé. C’était un peu perturbant à vrai dire, mais dans le bon sens. Cet effet “Afterglow” (une sorte d’échos orgasmiques) est resté quasiment plus d’une semaine……
    L’intensité de la zone avait encore augmenté!

    ***Octobre:***

    Après cette expérience du moi de septembre, mon corps me donne tous les jours de mini orgasme prostatique sans rien faire. Mes dernières sessions prostatiques son maintenant d’une telle intensité que je pers totalement notion du temps à chaque fois, me laissant dérivé dans les vagues de plaisir.
    Je sais encore que ce n’ai que le début d’un nouveau chemin et qu’il a encore plus d’intensité à avoir…Mais peu importe, le principal pour moi, c’est que je m’éclate quasiment tous les jours avec ces nouvelles sensations orgasmiques.
    Tout cela n’est que pur bonheur !
    Ce cheminement qui a commencé il a maintenant un an, m’a totalement changé… Je suis désormais un nouvel homme multi-orgasmique (100% A-LESS), un homme désormais en lien le plus total avec son corps, aussi bien connecté avec tout le côté féminin et tout le côté masculin que je porte en moi.

    Merci pour ce forum! Et à AdamNXPL pour la qualité de son site.

    #44654
    Caktil
    Participant

    Je m’aperçois que mon bilan ci-dessus est illisible…

    Je poste à nouveau en espérant ne pas avoir le même bug…

     

     

    Bonjour à vous tous !

    J’ai envie de vous faire un petit bilan de ma 3e année de pratique du massage prostatique. Pour info, je pratique deux fois par semaine avec un masseur et une fois par semaine sans masseur.

    Cette troisième année commence en fanfare au mois d’août 2021 par une suite de séances toutes couronnées de succès, avec de nombreux Dry-O’s de la meilleure qualité et aussi quelques Super-O’s d’une intensité rare. Toutes mes sessions sont réussies et s’il m’arrive d’être un peu déçu, c’est simplement parce que les orgasmes n’ont pas dépassé les meilleurs des séances précédentes.

    Vers fin septembre 2021, j’établis mon record personnel de la plus longue suite d’orgasmes sans interruption. Je n’ose pas parler d’un seul orgasme, même si le temps écoulé entre deux orgasmes est nul ou quasi nul. J’ai juste le temps de me dire que je viens d’avoir un orgasme exceptionnel et le suivant démarre. Cette suite quasi ininterrompue a duré… 46 minutes ! Incroyable ! 46 minutes de plaisir ininterrompu et allant crescendo ! Pour ceux qui se poserait la question, j’utilisais l’Eupho Trident pendant cette séance. Mais il n’est pas le seul responsable. Ma prostate est également à féliciter puisque j’ai eu un dernier magnifique orgasme de 10 minutes en fin de séance, juste après avoir retiré le masseur…

    Justement, à ce sujet, il est à noter que je ne constate plus de différence dans la qualité des Dry-O’s entre une session avec un Aneros ou une séance Aless. A plusieurs reprises, j’ai pu expérimenter les meilleurs orgasmes de ma vie sans utiliser de masseur. Je ne pense pas qu’un jour j’abandonnerai l’usage des stimulateurs de prostate car j’adore les sentir bouger en moi et appuyer là où ça fait du bien. J’aime bien alterner le type de séances.

    Je vis une période un peu morne entre janvier et mi-février 2022 car je n’ai plus accès à mon booster de séance, entendez par-là le THC. J’ai essayé avec de la weed CBD, légale dans mon pays, mais sans vraiment de succès. Donc, sans THC, les sensations sont très faibles, J’ai quelques petites vagues de plaisir mais je n’ai plus de Dry-O’s, et bien sûr plus de Super-O’s non plus. Heureusement, je finis par retrouver de la bonne weed. Et me voilà de retour au paradis des orgasmes. Artificiel, le paradis ? Oui, probablement, mais Dieu que c’est bon ! Bref, l’enchaînement des séances extraordinaires reprend.

    Début avril 2022, je me décide à acheter le dernier modèle Aneros qui n’est pas encore en ma possession : le Maximus Trident. Je n’ai aucun modèle qui soit « syn », je préfère les modèles en plastique blanc. Je me suis décidé à acheter le Maximus car sa forme et sa taille me plaisent bien. Il me semble combiner les deux formes de masseur qui me donnent les meilleurs orgasmes, je veux parler du Progasm Junior et de l’Eupho. Comme j’ai bien fait d’acheter ce Maximus ! Ce modèle semble être fait pour moi. Il bouge terriblement bien et m’amène à de nouveaux sommets de plaisir. C’est mon modèle préféré depuis lors. À noter qu’il me semble avoir progressé d’un palier dès la première utilisation du Maximus, et cette progression se répercute aussi sur les séances faites avec tous mes autres jouets. Le point principal de ce nouveau palier porte sur des mouvements plus amples des masseurs. Pour reprendre une analogie qui date de mes débuts, je tiens bien mieux le crayon et j’écris beaucoup mieux.

    Depuis le mois de juin 2022, depuis ma 360e séance environ, j’ai arrêté d’écrire systématiquement un compte-rendu de l’expérience. Je vais continuer à noter si quelque chose d’exceptionnel se passe, mais sinon, je vais me contenter de savourer ce plaisir incroyable sans vouloir tout analyser et tout me rappeler. Du coup, depuis ces dernières semaines, je ne sais plus exactement combien de séances j’ai fait. Une estimation assez juste me donne le nombre de 390 séances depuis août 2019.

    Un des progrès significatifs de cette troisième année de pratique est l’amplitude des orgasmes. Pratiquement à chacune de mes séances, j’ai au moins un des Dry-O’s où j’arrive à faire grandir le plaisir et à l’étendre à pratiquement tout mon corps. Ce sont des moments de détente totale pendant lesquels il me semble flotter dans un océan de plaisir. Je pense que c’est ce que les gens appellent un « calm sea orgasm ».

    J’aimerais vous parler encore d’un dernier progrès extraordinaire de cette 3e année, il concerne les orgasmes traditionnels, ou les Super-T. Environ une fois par semaine, je m’autorise une éjaculation en fin de session. Je suis devenu assez bon dans l’art de synchroniser un orgasme traditionnel avec un orgasme prostatique, ce qui est vraiment délicieux. En plus, j’arrive maintenant à déclencher l’éjaculation sans toucher mon pénis. À force de concentration, d’imagination et d’anticipation du plaisir qui mène à l’éjaculation, combiné à des caresses sur les tétons, j’arrive à rester assez longtemps dans ce moment qui se situe juste avant le point de non-retour… Et il me suffit de pousser un peu plus, d’augmenter les caresses sur les tétons pour arriver à un orgasme traditionnel extraordinaire.

    Malgré ces résultats très satisfaisants, j’ai encore souvent l’impression d’être un débutant, un petit Padawan qui a encore tout à apprendre. Il m’arrive encore de me faire la réflexion que ce que j’ai qualifié de Super-O il y a un mois en arrière n’était finalement qu’un simple Dry-O si je le compare au plaisir ressenti dans ma dernière session. Les progrès sont apparemment sans fin et je trouve que c’est une des caractéristiques les plus incroyables de cette pratique.

    Je vous souhaite à tous un bon cheminement et des progrès extraordinaires ! Take care.

     

    PS: J’ai eu exactement le même bug en repliant. Un des nombreux mystère de l’informatique… J’ai corrigé “à la main” en espérant que ça marche…

     

    PS2: ça marche !

    #44516
    Caktil
    Participant

    <p style=”font-weight: 400;”>Bonjour à vous tous !</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>J’ai envie de vous faire un petit bilan de ma 3<sup>e</sup> année de pratique du massage prostatique. Pour info, je pratique deux fois par semaine avec un masseur et une fois par semaine sans masseur.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Cette troisième année commence en fanfare au mois d’août 2021 par une suite de séances toutes couronnées de succès, avec de nombreux Dry-O’s de la meilleure qualité et aussi quelques Super-O’s d’une intensité rare. Toutes mes sessions sont réussies et s’il m’arrive d’être un peu déçu, c’est simplement parce que les orgasmes n’ont pas dépassé les meilleurs des séances précédentes.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Vers fin septembre 2021, j’établis mon record personnel de la plus longue suite d’orgasmes sans interruption. Je n’ose pas parler d’un seul orgasme, même si le temps écoulé entre deux orgasmes est nul ou quasi nul. J’ai juste le temps de me dire que je viens d’avoir un orgasme exceptionnel et le suivant démarre. Cette suite quasi ininterrompue a duré… 46 minutes ! Incroyable ! 46 minutes de plaisir ininterrompu et allant crescendo ! Pour ceux qui se poserait la question, j’utilisais l’Eupho Trident pendant cette séance. Mais il n’est pas le seul responsable. Ma prostate est également à féliciter puisque j’ai eu un dernier magnifique orgasme de 10 minutes en fin de séance, juste après avoir retiré le masseur…</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Justement, à ce sujet, il est à noter que je ne constate plus de différence dans la qualité des Dry-O’s entre une session avec un Aneros ou une séance Aless. A plusieurs reprises, j’ai pu expérimenter les meilleurs orgasmes de ma vie sans utiliser de masseur. Je ne pense pas qu’un jour j’abandonnerai l’usage des stimulateurs de prostate car j’adore les sentir bouger en moi et appuyer là où ça fait du bien. J’aime bien alterner le type de séances.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Je vis une période un peu morne entre janvier et mi-février 2022 car je n’ai plus accès à mon booster de séance, entendez par-là le THC. J’ai essayé avec de la weed CBD, légale dans mon pays, mais sans vraiment de succès. Donc, sans THC, les sensations sont très faibles, J’ai quelques petites vagues de plaisir mais je n’ai plus de Dry-O’s, et bien sûr plus de Super-O’s non plus. Heureusement, je finis par retrouver de la bonne weed. Et me voilà de retour au paradis des orgasmes. Artificiel, le paradis ? Oui, probablement, mais Dieu que c’est bon ! Bref, l’enchaînement des séances extraordinaires reprend.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Début avril 2022, je me décide à acheter le dernier modèle Aneros qui n’est pas encore en ma possession : le Maximus Trident. Je n’ai aucun modèle qui soit « syn », je préfère les modèles en plastique blanc. Je me suis décidé à acheter le Maximus car sa forme et sa taille me plaisent bien. Il me semble combiner les deux formes de masseur qui me donnent les meilleurs orgasmes, je veux parler du Progasm Junior et de l’Eupho. Comme j’ai bien fait d’acheter ce Maximus ! Ce modèle semble être fait pour moi. Il bouge terriblement bien et m’amène à de nouveaux sommets de plaisir. C’est mon modèle préféré depuis lors. À noter qu’il me semble avoir progressé d’un palier dès la première utilisation du Maximus, et cette progression se répercute aussi sur les séances faites avec tous mes autres jouets. Le point principal de ce nouveau palier porte sur des mouvements plus amples des masseurs. Pour reprendre une analogie qui date de mes débuts, je tiens bien mieux le crayon et j’écris beaucoup mieux.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Depuis le mois de juin 2022, depuis ma 360<sup>e</sup> séance environ, j’ai arrêté d’écrire systématiquement un compte-rendu de l’expérience. Je vais continuer à noter si quelque chose d’exceptionnel se passe, mais sinon, je vais me contenter de savourer ce plaisir incroyable sans vouloir tout analyser et tout me rappeler. Du coup, depuis ces dernières semaines, je ne sais plus exactement combien de séances j’ai fait. Une estimation assez juste me donne le nombre de 390 séances depuis août 2019.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Un des progrès significatifs de cette troisième année de pratique est l’amplitude des orgasmes. Pratiquement à chacune de mes séances, j’ai au moins un des Dry-O’s où j’arrive à faire grandir le plaisir et à l’étendre à pratiquement tout mon corps. Ce sont des moments de détente totale pendant lesquels il me semble flotter dans un océan de plaisir. Je pense que c’est ce que les gens appellent un « calm sea orgasm ».</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>J’aimerais vous parler encore d’un dernier progrès extraordinaire de cette 3<sup>e</sup> année, il concerne les orgasmes traditionnels, ou les Super-T. Environ une fois par semaine, je m’autorise une éjaculation en fin de session. Je suis devenu assez bon dans l’art de synchroniser un orgasme traditionnel avec un orgasme prostatique, ce qui est vraiment délicieux. En plus, j’arrive maintenant à déclencher l’éjaculation sans toucher mon pénis. À force de concentration, d’imagination et d’anticipation du plaisir qui mène à l’éjaculation, combiné à des caresses sur les tétons, j’arrive à rester assez longtemps dans ce moment qui se situe juste avant le point de non-retour… Et il me suffit de pousser un peu plus, d’augmenter les caresses sur les tétons pour arriver à un orgasme traditionnel extraordinaire.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Malgré ces résultats très satisfaisants, j’ai encore souvent l’impression d’être un débutant, un petit Padawan qui a encore tout à apprendre. Il m’arrive encore de me faire la réflexion que ce que j’ai qualifié de Super-O il y a un mois en arrière n’était finalement qu’un simple Dry-O si je le compare au plaisir ressenti dans ma dernière session. Les progrès sont apparemment sans fin et je trouve que c’est une des caractéristiques les plus incroyables de cette pratique.</p>
    <p style=”font-weight: 400;”></p>
    <p style=”font-weight: 400;”>Je vous souhaite à tous un bon cheminement et des progrès extraordinaires ! Take care.</p>

    #44511

    En réponse à: Reconnaitre un mini-O

    QCAnalBoy
    Participant

    Bonjour,

    J’ai une nouvelle expérience à partager.

    La semaine dernière, je me suis donné trois bonnes séances de massages prostatiques, à l’aide de mes deux masseurs (Helix et Progasm). J’ai eu de très bons résultats, des orgasmes bien puissants. Bref, ma prostate m’a fait vibrer!

    Le lendemain de ma dernière séance, le vendredi matin, je sentais bien ma prostate, elle chatouillait, encore fébrile. Comme si elle respirait doucement, je la sens bouger doucement… enfin, c’est ce que ressens… une métaphore…

    Bref.

    Je travaillais au bureau, devant mon ordinateur, bien concentré sur ma tâche. Je bouge régulièrement un peu les fesses, pour corriger ma position assise. Tout à coup, je sens ma prostate faire quelques petites contractions, ces mêmes petites contractions que j’ai au début de mes séquences orgasmiques lors de mes sessions d’Aneros. La sensation éveille mes sens et mon attention. J’arrête de bouger et je ferme les yeux pour me concentrer sur la sensation. Je respire profondément… je me détends… hop, une nouvelle mini série de contractions… puis un pause. Je sens une petit chaleur qui monte en moi, l’excitation se propage dans mon corps. Les contractions reviennent et tout mon esprit est concentré sur les sensations que m’offre ma prostate. Le tout s’accélère et je retrouve les sensations que j’ai avec mon masseur. Je sens mes fesses bouger involontairement sur ma chaise et ma prostate se lance dans des contractions de plus en plus puissantes. Oh my god! C’est parti. C’est la fête dans mes fesses. Mon pénis gonfle de plaisir, une puissante érection s’installe dans mes sous-vêtements, comme s’il voulait déchirer mes vêtements pour sortir et s’étaler de tout son long. Je portais un string, pas besoin de vous dire que mon pénis occupait toute l’espace disponible. C’était très serré, presque douloureux. Bref, je suis silencieux sur ma chaise presque d’immobile, au travail, et dans mon corps… c’est la fête! Mon visage se crispe, j’ai une vague de plaisir qui traverse mon corps. Bang! J’ai un orgasme! Ma prostate se contracte fortement et mes fesses tremblent de plaisir. J’étais figé sur ma chaise, savourant cet instant inattendu.

    J’ai du attendre quelques minutes pour me calmer. J’espérais que personne me demande de me lever… affichant une énorme érection dans mes pantalons. Un coup la tension descendu, je suis allé aux toilettes pour reprendre mes esprits et essuyer les écoulements de liquide séminale dans mon string.

    C’est mon premier orgasme prostatique sans masseur Aneros. L’orgasme m’a pris par surprise. Ce n’était pas le plus, mais il m’a amené plus loin dans ma démarche, de me connecter davantage avec ma prostate. C’était vraiment génial!

    J’avais besoin de le partager.

    Merci

    #44207
    Optimumlzr
    Participant

    Bonjour à tous,

    Pour résumer mon parcours, cela fait à presque 10 ans que je me suis ouvert au plaisir anal, 6 ans que j’ai acheté mes premiers sextoys (qui au départ n’étaient pas ouf), 1 an que je possède un Aneros et enfin à peu près 2 mois que j’arrive à vraiment mettre le doigt sur mes sensations et la position de ma prostate.

    Je me décide à publier ici parce que j’ai, comme le titre l’indique, ce terrible sentiment de faire les choses comme il faut, d’atteindre une sorte de “point critique” au niveau des sensations, à savoir le coeur qui s’emballe, des contractions anales et de la prostates dont la fréquence devient très rapide, beaucoup de plaisir, jusqu’à ce que toutes les sensations se coupent, et que tout se calme.

    C’est comme si les sensations de plaisirs sur lesquelles j’avais focus mon attention disparaissaient d’un coup, et de temps en temps comme si je perdais le focus. Ce qui me donne donc ce sentiment d’atteindre la “cible” mais en passant à côté.
    Je fais pourtant le maximum pour me laisser aller, me détendre et ne pas penser en objectifs (contrairement à ce que ma dernière phrase laisse entendre), mais ça a été pareil lors de toutes mes dernières séances, avec ou sans masseur inséré.

    Je dois dire que même si j’ai fait un vrai travail sur la frustration (que je connaissais beaucoup lors de mes expériences précédentes), je commence à me dire que je ne fais pas les choses bien :/

    Merci d’avance si quelqu’un à des pistes qui pourrait m’aider.

    #43853

    En réponse à: besoin de conseils

    Andraneros
    Modérateur

    Bonjour @Persevere,
    Il y a 1 an tu te lançais sérieusement dans la découverte du plaisir prostatique après un faux départ 10 ans plus tôt. Après quelques semaines tu as été durablement éloigné de ton cheminement. Tu as pu reprendre tes sessions il y a 2 mois mais ta prostate semblait rester désespérément muette ou plutôt refusait de répondre à tes masseurs parce que tu ressentais :

    toujours assez facilement des sensations agréables en aneroless.

    Tu nous disais le 22 février dernier :

    j’ai enfin quelques signes positifs sur ma dernière séance. Je l’ai abordée un peu différemment et j’ai pris plus de recul, j’étais plus serein. Je pense que la clef est réellement dans la concentration et le vide mental.

    Mais ça ne suffisait pas. Tu as donc choisi d’essayer l’abstinence :

    j’ai décidé de faire une pause avec abstinence, histoire de créer un manque et de provoquer un “affolement” de la prostate le moment choisi.

    Avec un effet positif :

    après 19 jours d’abstinence. J’ai retrouvé quelques sensations très agréables, sans arriver au fameux va et viens que je provoquais en quelques minutes l’an dernier…
    La privation commence à faire son effet. Je ressens les moindres mouvements du masseur.

    Je lis avec bonheur la 1ère phrase de ton dernier message :

    ma dernière séance a été la plus riche que j’ai connue jusqu’ici.

    Tu peux être fier de ton pseudo. Application, persévérance et confiance. Tu nous montres à ton tour l’importance des qualités indispensables aux hommes qui progressent lentement vers l’orgasme prostatique. Avec le recul et une bonne réflexion sur ton expérience tu as su mettre en œuvre une méthode personnelle qui s’écarte de la méthode proposée par le Traité d’Aneros.

    Tu as choisi une méthode radicale pour te concentrer sur tes sensations sans être distrait par les événements extérieurs :

    je me suis totalement isolé du bruit avec un casque sur les oreilles (sans musique)

    Tu as su adapter ta pratique à ta personnalité. C’est ainsi qu’on découvre des territoires inconnus. Bravo pour ton esprit d’exploration.

    Tu notes :

    En additionnel, les exercices réguliers en A less accentuent l’état de manque entre les sessions.

    C’est très important. Continue tes sessions sans masseur à côté de celles où tu les prends.

    Une dernière question. Tu avais noté que tes sessions étaient bien meilleures l’après-midi que le matin. Est-ce toujours le cas ? As-tu essayé de faire des sessions le soir ? (Tu as raison ça fait 2 question en fait… )
    Bon cheminement @Persevere.

    #43765

    En réponse à: Questions pratico-pratiques

    curieuxjj24
    Participant

    Bonjour Andraneros,

    Pas de problème, je sais que chacun vient sur le forum quand il trouve le temps (moi le premier) et comme je passe régulièrement, je découvre avec plaisir de nouvelles réponses. C’est le cas aujourd’hui et je viens de te lire.

    Je suis désolé mais la lueur d’espoir n’a pas duré. Je continue avec assiduité mes séances, certaines pourtant dans de très bonnes conditions, mais quelque chose ne va pas chez moi : je suis quelqu’un de compliqué, cérébral, calculateur au sens de chercher à tout anticiper, “comptable”, enfin tout ce qui ne faudrait pas pour que ça marche. Au bout de 80 séances environ, je suis maintenant relativement à l’aise avec les masseurs mais j’éprouve une terrible sensation, une sorte de cercle vicieux : je me rends compte que j’analyse de plus en plus mes sessions avec froideur, comme une sorte d’examen gynécologique. Je me dis dans ma tête à peu près ça : “bon, il faut entre 10 et 20 mn de détente, ça y est c’est fait, maintenant, on passe aux caresses et on accentue la respiration abdominale, alors : qu’est ce que ça fait ? bof, pas de vague à l’horizon, ah oui, l’arme fatale : je caresse mes tétons, ouais, c’est agréable mais ça ne vient toujours  pas, il n’y a pas cette étincelle qui va me déclencher une sensation nette qui va aller en s’amplifiant et me donner raison d’avoir continué, qui va balayer le “comptable” pour laisser place au lâcher prise, au bien-être. Au lieu de ça, au bout d’1h30-2h, j’ai fait le tour des trucs et astuces et la séance se termine me laissant frustré, j’ai envie de dire, une fois de plus.

    Voilà où j’en suis. Demain je vais pouvoir faire une bonne séance encore une fois. Je vais peut-être ensuite faire une pause, histoire de passer à autre chose quelques temps et reprendre avec plus de spontanéité. Il ne faut pas croire que je veuille abandonner, bien au contraire. Je suis malgré tout convaincu que le plaisir est là, qu’il ne demande qu’à s’exprimer, il faut juste que je trouve comment lui ouvrir la porte. J’ai l’impression d’être dans une pièce noire, l’antichambre du plaisir, et de chercher à tâtons l’entrée. Le pire c’est que j’ai lu et relu vos conseils et commentaires et que je sais très bien ce qu’il faut faire, que le secret est de pratiquer sans rien attendre, tout le contraire de ce que je fais quelque part, mais au bout d’autant de séances, comment ne pas se poser de questions, comment ne pas avoir envie de connaitre ce bien-être que vous décrivez tous et qui semble tellement libérateur et bienfaisant. Peut-être que j’en ai plus besoin que les autres et que du coup, je l’attends trop. Je me mets probablement inconsciemment trop de pression. Faire le vide dans sa tête est une abherration, c’est impossible. Il faut arriver par l’entrainement à la méditation arriver à naviguer dans ses pensées pour laisser de côté les mauvaises et encourager les bonnes mais ça, c’est pas simple.

    Comment ne pas douter aussi : pourquoi ça ne marche pas chez moi ? Je n’ai toujours pas ressenti les fameuses contractions involontaires et ça, ça m’intrigue. Pourtant j’ai parfois des tremblements impressionnants dans les jambes (parfois rien) mais ça ne va pas plus loin : comme si mon corps était divisé en deux, le bas qui s’exprime, qui vit et le haut qui analyse, qui s’interroge. J’ai tenté beaucoup de choses pour contourner ça. J’écoute sur mon téléphone des séances de méditation, de lâcher prise, je mets ensuite de la musique avec des bols tibétains ou des fréquences qui sont censées déclencher une “montée de kundalini” mais si ça me détend, je n’ai pas eu de signes de progression significatifs. J’arrive à un stade de pratique (pourtant intense, j’ai fait 4 séances rien que cette semaine) où j’ai l’impression d’être à un tournant. Il me faudrait un petit encouragement pour continuer. Mais je suis pugnace, persévère est déjà pris comme avatar mais j’aurais pu prendre abnégation !

    Bon, attention, je ne veux pas donner l’impression que je suis en dépression, tout ça n’est que la recherche du plaisir après tout, mais mon ressenti est cyclique. Par moment, j’y crois à fond et je suis excité (comme l’autre fois ou j’ai posté) et par moment comme aujourd’hui, le doute m’habite (sans jeu de mot) et je me pose vraiment des questions : suis-je un cas désespéré ? y’a t’il des hommes qui n’y arrivent pas ? Cette idée m’effraie et je la rejette en bloc pourtant. Je ne m’imagine pas privé du plaisir que vous connaissez, ce serait trop injuste. C’est terrible de penser en plus que vous cherchez tous à m’aider et vous êtes vraiment touchant d’empathie mais il n’y a pas de formule magique, pas de bouton où appuyer pour déclencher le truc. La réponse c’est moi qui l’ai et c’est à moi de la trouver.

    Le point positif est que j’ai ressenti (et je ressent encore par moments) avec ou sans masseur des sensations brèves, furtives dans le rectum qui me laisse penser que quelque chose se passe pourtant mais comment le développer alors que j’ai suivi tes conseils de pratiquer, pratiquer, pratiquer et que j’ai l’impression d’avoir fait le tour de l’entrainement. Et maintenant alors, on fait quoi ? Que puis-je faire de plus pour progresser ? Je crois que j’ai la réponse : rien. Il faut continuer, cultiver la douceur et le bien-être, se concentrer sur le moindre tressaillement pour essayer d’en provoquer un deuxième jusqu’à ce qu’un jour peut-être l’animal satori vienne à moi sans que je m’y attende comme il est dit dans les conseils d’Adam.

    J’ai voulu essayer de ne pas me masturber pour charger mon énergie mais j’ai du mal à résister. J’ai tenté de me masturber pour arriver à la limite et arrêter avant l’explosion afin de me donner envie de jouir pendant une séance mais hélas, je me suis trop approché du bord et j’ai éjaculé. Je vais continuer à chercher des astuces pour titiller ma libido, je pense que ça va dans le bon sens.

    C’était le point du jour, un peu mon journal intime quelque part mais je suis toujours dans le partage d’expérience et d’autres pourront surement se reconnaitre dans ce que je traverse. Si je trouve la clé ou du moins, ce qui m’aura permis d’atteindre le but, il y aura un historique de mon parcours.  Et ce jour là je vous le dis : Champomy pour tout le monde !

    Merci à vous tous pour votre accompagnement et votre patience à mon égard.

    #43752
    Andraneros
    Modérateur

    Tu écris :

    je n’ai pas vu de post dédié à ce sujet.

    C’est bien vu.
    Comme tu l’analyses très bien la pratique avec masseur est soumise à des contraintes matérielles qui limitent les circonstances pour s’y adonner. Quand on débute on dépend totalement, sauf exception, de l’utilisation du masseur pour stimuler la zone prostatique. On a aussi très souvent besoin d’apprendre à de détendre, à se mettre dans un état de quasi méditation qui conduit à s’isoler, à s’allonger, à se mettre à l’abri de toutes les sollicitations de la vie quotidienne. Ajoute à cela qu’une partie des hommes qui se lancent dans la découverte du plaisir prostatique le font sans en avoir parlé à leur entourage, dans une forme de clandestinité. Ce sont autant de raisons qui expliquent la situation que tu constates.

    Avec la pratique sans masseur, l’avantage est de pouvoir pratiquer à peu près n’importe où

    C’est l’un des avantages de cette manière de pratiquer. Il y en a d’autre :
    • Un que tu mentionnes dans un message précédent qui consiste à faire des micro sessions tout au long de la journée,
    • Un autre qui est de vivre la satisfaction que peut apporter une situation de transgression.
    Mais peut-être est-il possible d’aboutir ainsi à un orgasme complet, sans aucune manifestation extérieure ?

    C’est possible. Cette forme d’orgasme que tu décris ainsi est mentionnée sur les forums spécialisés et le Wiki Aneros, c’est le fameux

    calm seas of orgasm : A metaphor to describe where one is in a state of ongoing non-ejaculatory orgasms yet very relaxed at the same time, avoiding the usual muscular tension typically involved in high intensity arousal. Rather than vocalizing, thrusting, contracting or convulsing towards the orgasms, one gently keeps all muscles relaxed, letting the pleasure freely flow as if breathing it in and allowing the orgasms to come to you.

    Traduction
    Mers calmes de l’orgasme : une image pour décrire une situation dans laquelle on est dans un état d’orgasmes continus sans éjaculation, tout en restant en même temps parfaitement détendu, sans la tension musculaire habituelle typiquement associée à une excitation très élevée. Plutôt que de gémir, de pousser, de se contracter ou de convulser quand l’orgasme approche, on maintient en douceur tous ses muscles détendus, en laissant le plaisir couler librement comme si on le respirait et en laissant l’orgasme venir à soi.
    Fin de traduction

    C’est mon expérience ultime de l’orgasme, celle qui me fait dire non pas « J’ai un orgasme », non pas « Je vis un orgasme » mais « Je suis mon orgasme ». Cela dit je ne pense pas, en me basant sur mon expérience, que cette forme particulière d’orgasme soit compatible avec la participation à une réunion de travail dans la mesure où elle m’emmène complètement hors du monde matériel… Çà ne me gêne pas trop en tant que retraité !

    Sans aller jusqu’à la pleine intensité d’une jouissance qui dissout la conscience, on peut vivre des orgasmes prostatiques partiels en prenant soin d’activer un interrupteur dès que le plaisir commence à monter. On peut créer ainsi une forme de frustration orgasmique susceptible de faire apparaître une excitation permanente…

    Pour répondre à la question implicite du sujet
    Initialement toutes mes sessions se déroulaient dans ma chambre, dans mon lit, en journée puis la nuit (au sens large du soir au matin entre des périodes de sommeil bien appréciées). C’était la phase d’apprentissage (difficile) suivie par celle des premiers « succès » et celle de la consolidation.
    Depuis cette phase le développement de ma capacité à vivre des orgasmes sans masseur me permet de pratiquer ailleurs mais l’essentiel de mes sessions et la totalité de mes meilleurs orgasmes se font toujours dans mon lit. A l’extérieur ce sont ce que j’appelle des micro sessions. Force de l’habitude ou manque d’imagination ?

    #43746
    Andraneros
    Modérateur

    @Pascal tu dis :

    De mon côté, il m’arrive souvent de juste commencer à savourer les premiers moments de plaisir, et en arrêtant le processus au bout de quelques minutes, sans chercher du tout à atteindre l’orgasme.

    C’est un principe qu’on retrouve sous une autre forme avec la pratique des « micro sessions » particulièrement faciles à engager quand on a commencé à développer ses capacités à percevoir du plaisir sans masseur (« A-less »).
    Je pense que le simple fait de penser que l’orgasme est forcément l’aboutissement peut paradoxalement nous empêcher de l’atteindre.
    C’est très vrai pour les débutants. Mon expérience est que plus on avance dans son cheminement, moins on pense à l’orgasme pour 2 raisons :
    • On apprend à apprécier des effets de plaisir de plus en plus variés,
    • Les orgasmes sont de plus en plus faciles, de plus en plus naturels. On n’a plus aucun besoin de penser à l’orgasme, on le vit en toute simplicité.
    Bon cheminement @Pascal44.

    #43743
    pascal44
    Participant

    Bonjour,

    je n’ai pas vu de post dédié à ce sujet.

    Comme cela est recommandé, j’ai pour ma part commencé à pratiquer, avec ou sans masseur, en étant tranquille dans un lit, en ayant du temps devant moi et sans risque d’interruption intempestive.

    Avec la pratique sans masseur, l’avantage est de pouvoir pratiquer à peu près n’importe où : par exemple assis dans un train ou au cours d’une réunion qui s’éternise entre collègues.

    J’essaie de plus en plus ce type de pratique.

    Bien-sûr, cela oblige à ne rien laisser transparaître à l’extérieur, que ce soit sur le visage ou par de quelconques contractions musculaires extérieures.

    Je trouve que trois choses sont particulièrement agréables dans ce type de lieu de pratique :

    • Obliger tout son corps à l’immobilité totale renforce et concentre les sensations en un seul point.
    • A l’inverse de ce qu’on essaie d’habitude, chercher à faire monter le plaisir, mais surtout sans jamais atteindre l’orgasme, donc être dans la recherche et la modulation du “plaisir naissant”.
    • Pratiquer ainsi apporte également un contexte psychologique qui peut parfois renforcer le plaisir.

    Pour moi, ce type de lieu de pratique interdit forcément d’aller jusqu’à l’orgasme, du fait de contractions musculaires externes qui se produiraient forcément.

    Mais peut-être est-il possible d’aboutir ainsi à un orgasme complet, sans aucune manifestation extérieure ?

    Avez-vous déjà essayé ?

    Avez-vous réussi et, si oui, est-ce plus agréable ou moins agréable que votre pratique habituelle ?

    #43649
    pascal44
    Participant

    Etes-vous immédiatement passé de vos sessions avec masseur à celles sans masseur ou avez-vous pris un peu de temps avant de faire l’essai ?

    J’ai pris juste deux jours pour faire l’essai sans masseur.

    Je trouve que le fait de commencer avec un masseur fait apprendre des sensations, fait apprendre un chemin, comme il est plus facile de reprendre un sentier dans la forêt, après l’avoir parcouru une première fois.

    Pour la première expérience sans masseur, j’ai mis mon attention sur le point précis sur lequel j’avais eu le plus de sensations durant les orgasmes avec masseur.

    Très vite, une très légère sensation de plaisir, une sensation presque infime, est apparue à cet endroit précis.

    Ensuite, j’ai essayé de laisser croitre cette sensation d’elle-même, sans chercher à l’influencer, mais juste en lui laissant de la place, sans la brusquer mais sans me laisser distraire par des pensées parasites.

    J’arrive maintenant ainsi à un orgasme plus ou moins puissant et long en environ 10 minutes.

    Pour l’instant, ces orgasmes sont très plaisants, mais beaucoup moins puissants qu’avec le masseur.

    Maintenant, je pratique ainsi 10 ou 20 minutes sans le masseur, comme préparation à une séance avec le masseur (et aussi parce que c’est très agréable en soi !).

    Ainsi, lorsque je commence avec le masseur, le plaisir arrive beaucoup plus rapidement qu’avant.

    #43641
    Andraneros
    Modérateur

    Bonjour @Pascal44,
    Votre expérience confirme à quel point il est important d’apprendre à se détendre et à se concentrer pour devenir capable de lâcher prise sous l’effet de la stimulation du masseur sur la prostate. Je pense que nos amis débutants ont tout à gagner en focalisant leur attention d’abord sur cet aspect de notre cheminement, avant de penser à vivre des orgasmes prostatiques. Merci de votre réponse.

    À lire différents messages sur le forum, je me suis dit que je pourrais essayer sans l’aneros… et cela a fonctionné  ![… ]
    J’ai juste essayé de contracter les muscles autour de la prostate, tels qu’on les découvre avec l’aneros.
    Ensuite,  très vite, ces muscles se sont mis à se contracter tout  seuls, pour aboutir à deux ou trois orgasmes prostatique sans l’aneros.

    Etes-vous immédiatement passé de vos sessions avec masseur à celles sans masseur ou avez-vous pris un peu de temps avant de faire l’essai ? D’après ce que vous dites vous semblez avoir réagi à la stimulation mentale aussi vite et aussi bien qu’aux stimulations apportées par votre masseur. C’est plutôt rare. La plupart de nos amis ont besoin d’une phase d’apprentissage ou de découverte plus longue. Ce fut d’ailleurs mon cas.

    J’ai observé que, de l’extérieur, le point du péroné qui se contracte alors est le point juste situé à l’emplacement ou l’aneros appuie sur le périnée lorsqu on le porte, ce qui paraît assez logique.

    C’est effectivement très logique. Votre remarque met en évidence que vous semblez bien isoler les réactions des différents muscles de la zone périnéale alors que pour de nombreux débutants les sensations encore nouvelles sont difficiles à localiser. Selon vous d’où vient votre aptitude à percevoir aussi nettement les sensations qui vous conduisent à vos orgasmes ?

    Bon cheminement @Pascal44.

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