20 réponses de 481 à 500 (sur un total de 582)
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  • #17548

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Bon je vais faire un monologue en me répondant à moi-même, mais si ça peut aider d’autres utilisateurs c’est toujours ça !

    De nouveau, cette nuit, j’ai frôlé l’orgasme prostatique (sans Aneros).
    Je me suis réveillé et j’étais peut-être un peu trop en attente, alors ça a mal démarré. Puis, j’ai réussi à me laisser aller. Au début, j’ai eu ces sensations d’être lourd, de me retrouver la tête en bas ou que mon corps s’effaçait. Je dirais que je suis alors dans un état “supra-sensoriel” dans lequel mes sensations tactiles sont décuplées. Au départ, ça peut presque être désagréable de sentir mes mains qui sont comme énormes, ou mes dents comme si elles étaient massives, c’est étrange. Mais, ensuite, c’est plutôt agréable.

    J’ai essayé de diriger mes sensations vers ce léger poids dans mon bas ventre, mais ça ne fonctionnait pas. Encore une fois, j’ai lâché prise et les sensations prostatiques sont arrivés. Des vagues de chaleurs, de frissons, de plaisirs…

    Lorsque les sensations “spirituelles” se sont éloignées, je pensais que c’était finis mais mon corps en demandait plus et j’ai ressenti les fameuses contractions involontaires en continue. Mon corps se faisait lui-même l’amour.

    Je n’ai pas atteint l’orgasme et je pense que ça aurait pu être meilleur avec l’Aneros en place. Cependant, c’était bien quand même et je suis satisfait. Quand j’ai voulu stopper, mon corps lui, ne voulais pas! Il continuait ses contractions. Mais, il a fini par s’apaiser et j’ai dormi. J’étais en même temps détendu et ouvert aux sensations tactiles comme le drap sur ma peau. Un délice.

    Petites remarques qui ont leur importance : dans le lit je ne suis pas tout seul, donc quand tout cela m’arrive, il est difficile de se lâcher complètement. Autre chose, je suis à chaque fois dérangé par un moustique malgré la moustiquaire, c’est incroyable.

    Bref, ma conclusion, c’est qu’il faut que j’essaye une séance de détente pure avec l’Aneros et sans rien faire. J’ai déjà lu sur un forum anglais quelqu’un prôner ce “ne rien faire”. Ça semble mieux marcher pour certains. En tout cas, mes expériences nocturnes semblent me prouver que je dois laisser mon corps faire tout seul car, dès que j’interviens, je le court-circuite et je suis moins à l’écoute des sensations.

    #17547

    En réponse à: Mon expérience déroutante

    Lerris
    Participant

    Merci pour votre réponse ! 🙂

    Il est vrai que ce n’est pas facile de donner un avis tant tout cela semble subtil. Chacun semble faire son propre chemin…

    J’ai d’autres nouvelles en tout cas, j’ai passé une nuit fort intéressante.
    Hier, je me suis couché avec la sensation d’avoir une sorte de poids au niveau du bas ventre, comme si je sentais un peu ma prostate. Je me suis endormi normalement, sans trop essayer de faire de contractions.

    Puis, je me suis réveillé et là… Mon corps semble m’avoir laissé un message.
    Pas facile de l’expliquer tant les sensations ont été nombreuses et étranges.
    Tout d’abord, j’ai eu l’impression de m’enfoncer profondément dans le lit, mon corps pesait des tonnes, je ne pouvais plus bouger. Ensuite, je me suis comme perdu dans mon corps, je flottais… En fait, j’avais l’impression d’être drogué, d’avoir des sensations décuplées.

    Je respirais profondément par le ventre, je me suis abandonné. Et puis, à un moment, j’ai constaté que ce “poids” au bas ventre était encore là. Mon corps s’est orienté de lui-même vers cette sensation. Des frissons ont parcouru mon corps, des ondes de chaleurs partaient de mon bas ventre pour irradier de partout. A certains moments, j’étais emporté par les sensations, impossible à décrire. Je me souviens avoir était un cœur vivant, tout entier battant comme si je rebondissais sur le lit…

    Je pense avoir était très proche de l’orgasme, j’ai ressenti du plaisir, et j’ai compris que, si orgasme il y avait, il m’aurait complètement transporté.

    Tout cela est mal raconté par rapport à ce que j’ai vécu. Ça a été une sorte de voyage intérieur, je m’y suis presque perdu, et c’est exactement ce que je recherche.

    Cela m’a permis de comprendre plusieurs choses :
    1/ Les tremblements que j’ai ressenti lors de mes sessions ne sont pas vraiment un orgasme, plutôt les prémisses de quelque chose, similaires, je pense, à ce qu’hector décrit.
    2/ J’y vais encore trop fort lors de mes sessions. Je devrais plutôt rechercher une détente totale et laisser faire mon corps, le laisser me guider. Facile à dire, mais plus difficile à faire. La détente nocturne semble parfait pour cela…
    3/ Si l’orgasme prostatique m’intéresse autant, je m’aperçois que c’est parce que j’ai envie qu’il m’emporte complètement, qu’il me fasse lâcher prise. Maintenant que j’ai touché cela du doigt, j’espère vraiment pouvoir l’accomplir. Ce n’est même plus sexuel à ce niveau là, c’est spirituel. Un mélange de méditation et de masturbation. Le contraste entre ce que j’ai vécu cette nuit et la vie de tous les jours me montre à quel point je suis tendu tout le temps sans m’en rendre compte, et qu’il existe autre chose, un autre état d’esprit, de conscience.

    #17526
    filou
    Participant

    Andraneros j’ai trouvé des fichiers audio de détente qui semblent avoir un effet sur moi et je m’accorde chaque jours dorénavant une plage horaire dédiée à l’écoute de ces messages. Je vais également les écouter le soir avant de dormir. J’espère enfin lever les blocages qui me nuisent, prendre bientôt un nouveau départ sur le chemin qui mène à la félicité et avoir le plaisir d’annoncer sur ce forum que j’ai enfin rejoins la communauté des “anerosiens jouisseurs”.

    #17521
    Andraneros
    Modérateur

    @Jeff je partage votre état d’esprit sur ce que nous vivons depuis hier soir.

    01/10/2014 Andraneros ; je vais tâcher de faire davantage de méditation-relaxation.
    09/11/2014 je tente de mettre à profit cette période pour m’initier à la relaxation. « La Méditation pour les nuls » est un ouvrage génial recommandé par un membre du forum.
    27/01/2015 J’aurais dû perséverer davantage dans la relaxation
    29/01/2015 Et aussi de me discipliner dans mes approches de la relaxation, respiration, ce qui n’est pas tout à fait évident pour moi.
    13/04/2015 La relaxation porte ses fruits et je connais à présent des vagues de jouissance intense
    14/04/2015 C’est lui qui m’a donné l’idée d’effectuer mes sessions en m’accompagnant d’un support musical propre à m’aider à couper avec les préoccupations du moment et à me transporter sur un nuage.
    A partir de là je suis plus motivé pour pratiquer de la relaxation, parfois en dehors des sessions d’ailleurs. La méditation du balayage corporel (un grand classique) s’impose pour le coup vraiment entre les sessions.
    01/09/2015 Pour ma part, j’ai beaucoup travaillé la respiration telle qu’elle est préconisée dans notre traitée d’Aneros. Ensuite, sur les conseils de BruceWayne, je me suis attaqué à la relaxation et les progrès ont été très nets : le livre « la relaxation pour les nuls » m’a bien réussi ; certains ouvrages basiques sur l’hypnose aussi. Il faut parallèlement trouver des musiques de relaxation-détente qui vous plaisent
    14/11/2015 La pratique de la relaxation a été essentielle car je suis de nature plutôt stressée (or stress et plaisir prostatique sont antinomiques).
    Il faut trouver la sérénité en soi pour progresser, ce qui exclut les médicaments ou les excitants, sinon cela ne marche pas.En ce sens, le cheminement, s’il est vécu authentiquement, nous fait vraiment changer

    A sa manière votre témoignage confirme le conseil que je viens de donner à @filou. Le temps, nécessaire pour franchir les obstacles qui limitaient votre accès à l’expérience des plaisirs profonds qui vous récompensent aujourd’hui, vous permet-il de nous dire comment les effets de la relaxation vous ont ouvert les portes du paradis prostatique ?

    Vos témoignages illustrent bien aussi que chaque cheminement est individuel et que chacun, au-delà des conseils généraux, doit savoir expérimenter dans l’esprit du traité d’Aneros et adapter sa pratique à sa personnalité et aux résultats qu’il obtient. Il faut savoir abandonner certaines voies qui ne mènent nulle part, expérimenter en gardant ses sens et son esprit grand ouverts et capitaliser sur les meilleures sensations.

    Votre progression dans la jouissance est une juste récompense et vous mènera bientôt beaucoup plus loin. Bon cheminement @Jeff.

    #17519
    Andraneros
    Modérateur

    @filou, vous constatez

    J’ai téléchargé des fichiers de relaxation sur youtube que j’écoute sur mon lecteur mp3 mais ça ne donne rien pour l’instant. J’ai vraiment des difficultés à vraiment ne rien attendre lors de mes séances

    Si vous ne faites pas l’effort de changer votre état d’esprit sur ce point dont vous connaissez l’importance depuis que vous lisez les témognages et conseils publiés sur notre forum, je crains que vous ne vous condamniez à vous enfoncer de plus en plus dans une frustration que vous vivrez mois après mois comme un échec douloureux.

    A mon humble avis vous êtes dans une impasse. Faites demi-tour ! Vous devez apprendre à vous détendre, à vous relâcher, à vivre dans l’instant à l’écoute exclusive de votre corps. Prenez enfin une décision pour surmonter cette difficulté ; plutôt que de vous contenter de télécharger des fichiers qui ne vous aident pas à atteindre un état de détente suffisant pour vous ouvrir la voie de l’orgasme de la prostate, prenez une inscription auprès d’une association ou d’un formateur reconnu qui enseigne ces disciplines de relaxation ou de méditation. Quand votre pratique de cette fortme d’exercice sera suffisante pour vous permettre d’atteindre un état de détente clairement perceptible par vous-même vous pourrez reprendre vos sessions de massage prostatique et obtenir, probablement beaucoup plus vite qu’attendu, des résultats qui vous raviront.

    Bon cheminement @filou.

    #17498

    En réponse à: En route vers L'Extase !

    nikos
    Participant

    J’étais réceptif hier soir. J’ai tâché de bien décontracter les abdos pour laisser champ libre aux mouvements de l’aneros en moi. J’ai tâché d’approfondir mon état de détente à chaque fois que je sentais le contact entre l’hélix et ma noix.

    J’ai accompagné cela aussi légèrement et involontairement que possible en me persuadant que cette étincelle était un début de P-wave. Ma respiration a légèrement augmenté en intensité. J’ai continué à effleurer mon corps du bout des doigts pour sensibiliser chaque nerf à fleur de peau. J’ai observé patiemment ce qui se passait.

    Cela s’est effectivement traduit par 2-3 petites P-waves, des mini-bulles de plaisir qui ont éclos dans le bas ventre, le coeur et la tête. Non pas parce que j’ai contracté volontairement pour les déclencher. Mais parce que je me suis abandonné à ce ressenti alors que mon corps était totalement détendu, sensibilisé et réceptif.

    J’ai ensuite appliqué un niveau faible de contraction PC et de décontraction des abdos qui ont généré de toutes petites contractions involontaires saccadées. Peut être l’antagonisme entre deux groupes musculaires proches maladroitement coordonnés… Il faut encore que j’apprenne à accorder les différentes sections de l’orchestre ensemble. D’un autre côté, ces saccades étaient autant de petits coups sur ma noix et autant de petites chatouilles internes. Pas désagréable. Hier soir l’helix était un amant maladroit mais attentionné. J’ai essayé d’accompagner comme précédemment. Ce petit jeu a duré 15 minutes peut-être. Mais les mini P-waves se sont retirées comme un léger ressac.

    Je n’ai pas compris ce qui est arrivé juste après. Ma tête s’est mise à tourner vite et fort, comme lorsqu’on a la sensation de chuter dans un demi sommeil. Mais là j’étais bien éveillé, et ça tournait encore et encore. Sans s’arrêter. Je me suis offert à ce tourbillon, j’ai arrêté de penser à ce que je faisais. Mon enveloppe physique s’est effacée, je n’étais plus qu’un esprit tourbillonnant.

    C’était vraiment bizarre. Ça a subjectivement duré quelques minutes. J’ai rien compris. Je ne me rappelle pas avoir éprouvé de plaisir au sens endorphinique comme lors des petites P-waves de début de session. Mais ce chavirement lui même était agréable, inattendu et totalement inconnu.

    #17334
    pops40
    Participant

    Bonjour,
    Et merci pour votre commentaire.
    Je me suis tourné vers le modèle Hélix, classique!
    Il est vrai que les quelques expériences passés mon permis surtout à me totalement décompléxer sur le sujet, et ma compagne aussi d’ailleurs. Ce qu’il faut le dire permet d’entamer mon parcours de manière très sereine.
    Concernant mes sessions, j’ai pas trop respecter les recommandations surtout concernant les exercices de respiration. Pas contre je me contraint à une totale détente, position sur le dos et les jambes fléchies concentré sur les sensations que je peux ressentir venant de mon corps.
    Un tournant tout de même a été de me concentrer sur les contractions de 15 à 20s, ce qui je pense m’a réellement aidé à réveiller mon activité prostatique.
    MA session d’hier a duré à peu près 2h, en général cela tourne vers 1h30.
    Par maintenant je n’ai plus besoin de d’effectuer de stimulations particulières.
    A peine dix minutes après l’introduction je ressens déjà les premières contractions anales puis au bout de 20/25min le premier dry-O et à partir la session peut commencer.
    Même si ma séance d’hier a été très intense,arrivant à une situation de O-zone je ne suis pas encore sûr d’être arrivé au Super-O. Les sessions à venir le dirons je l’espère.

    #17280
    nikos
    Participant

    Bonsoir @NXPL
    Merci pour vos encouragements, vos conseils et pour votre Traité d’Aneros. Grace à vous, je me suis lancé sans aucune appréhension alors que je n’avais aucune expérience du plaisir anal jusque là. Je ne manquerai pas de vous tenir au courant de mes progrès et de la manière dont vous m’aurez aidé à “libérer les watts” de ma sexualité 😉

    Bonsoir @Papy6748
    Je n’ai pas encore lu tous les sujets du forum. Mais en voyant ta réponse, je suis direct allé lire ton sujet “Ma lente progression vers l’orgasme prostatique”. Je me reconnais totalement dans la première étape de ton cheminement, et dans ta manière directe et analytique de voir les choses et d’écouter ton corps.

    L’étape 2 de ton cheminement, j’y suis actuellement. je commence à reconnaitre l’apparition des sensations décrites sur les forums, tout en constatant que le niveau de plaisir reste faible vu ce que nos amis avancés semblent éprouver. D’une certaine manière c’est ce que je trouve très excitant, toi et moi savons que ça va “bombarder”, mais ne savons pas trop quand ça va partir (cf. mon post précédent sur le compte à rebours en aveugle).

    Concernant ton étape 3, et bien… Je vais bientôt avoir une occasion de dormir seul chez moi, devine ce que je vais donc tenter d’ici 1 ou 2 semaines 🙂

    4 et 5 sont tranquillement en cours.

    Quant au 6, ton post du 3/09 m’a vraiment fait rêver; je suis heureux pour toi, heureux de voir comment tu t’es fait chopper / submerger / flasher / etc… par ton plaisir et tes premiers mini-O. Tes sessions précédentes ne t’avaient visiblement pas donné de préavis. Tu abordes les sessions sans attente particulière, tu prends les choses comme elles viennent et là tu te les es prises en pleine face visiblement. J’ai adoré te lire. Merci d’avoir partagé cela ! Nul doute je te rendrai la monnaie de ta pièce si je fais de nouvelles découvertes lors de mon cheminement.

    Dans mes premiers postes, je n’ai parlé que de mes dernières sessions. A mon tour je vais faire un flashback sur mes toutes premières sessions, qui n’ont certainement rien d’original. En espérant que d’autres ami aéronautes débutants y trouveront une clé ou un encouragement, tout comme j’ai trouvé un énorme encouragement dans ton post de septembre.

    Mes 7 premières sessions étaient assez semblables avec une introduction de l’aneros qui même bien lubrifié était assez longue avant que je sois assez détendu pour “tolérer” sa pénétration.

    Toujours 15-20 min de relaxation avant de commencer les contractions comme décrites dans le traité d’aneros. J’ai essayé également plusieurs positions pendant ces premières séances. Après coup le niveau de mes contractions était je pense trop fort, mes mouvements de hanches trop amples, et la respiration abdominale pas assez relâchée ni naturelle. Les rares étincelles furtives étaient vite étouffées.

    Suite à ces sessions de découverte, le peu de sensations développées et les conseils de relaxation récurrents sur le forum et dans le traité m’ont rappelé mes diverses pratiques sportives. Mon principal défaut: la raideur. Je me suis dit, ça se trouve je suis pareil sans m’en rendre compte avec l’aneros.

    Les sessions 8 et 9 ont été très rapprochées pour ne pas rester sur un échec cuisant à la séance 7 (oui je suis un gros têtu obstiné). Détente complète, séance pas trop longue 45min une heure maximum, do nothing, ou alors juste essayer de déterminer et maintenir mon niveau conscient mini de contraction dans une position fixe chien de fusil ou allongé sur le dos.

    C’est à ce moment que les micro décharges autour de la prostate sont revenues rapidement ainsi que les premiers spasmes dans les fesses ou les cuisses que j’identifie comme mes premières contractions involontaires.
    Ma difficulté: associer la notion de plaisir à ces sensations; j’essaye de faire confiance à mon cerveau pour faire le job au fil du temps inconsciemment !

    Je m’efforce depuis de retrouver ces sensations et les recettes qui chez moi permettent de les accompagner sans les étouffer (une position, une respiration, un niveau de contraction, une action des sphincters ou des PC). C’est pas toujours gagné ni reproductible, c’est pas une ligne droite ascendante, mais à chaque fois que je trouve un truc qui marche, je trouve ça très gratifiant. Et lorsque ces petites sensations plutôt neutres au début apportent une pincée de plaisir alors ça surpasse tout le reste ! Il faut de la patience et aucune attente particulière.

    #17223

    En réponse à: Suite de mon parcours

    hector
    Participant

    3 mois que j’ai pas publié par là… C’est pas que je fais plus de sessions, même si le rythme est moins soutenu, c’est qu’il n’y a pas de grands changements.
    Enfin, je reviens ce soir parce que je sors d’une session plutôt satisfaisante 😀
    Cette après midi, je me suis chauffé tranquillement avec les B Balls pour faire monter tranquillement l’excitation et le plaisir.
    Un passage ou deux sur un site de chat xxx histoire de jouer les voyeurs et d’entretenir sensations et plaisir.
    Et ce soir, tout cela faisant effet, grosse envie 🙂
    Alors j’ai pas chercher très loin, j’ai sortie l’artillerie lourde, le zwei que j’ai engloutie avec beaucoup d’envie et donc sans problème.
    Je l’ai laissé faire son oeuvre, quelques petites contractions du PC histoire de varié les sensations, mais globalement quand il est en action, je le sens bouger en plus de ses pulsations. Il tourne, rentre, sort… Bref, j’ai cette impression qu’il a sa propre volonté et me fais l’amour. C’est toujours agréable (j’ai facilement cette sensation avec les jouets puissants zwei, drei, duke, vice, fairy… moins avec les non électriques).
    Et puis de vas en viens, de frissons en spasmes, de contraction en détente, je ressens une forte envie de l’actionner à la main. Je me retiens, profite de son indépendance, encore un peu, c’est pas fini, sens comme il oeuvre en toi, laisse le faire… Et pas, je le saisi et lui fait faire de grands vas et viens, en appuyant sur la paroi ventrale… Ca monte, ça monte… Pan! Feu d’artifice, halètement, contractions, spasmes… Et voila, une bonne chose de faite. Détente, calme, respirations et, et, et on r’met ça. Action! REACTION!!! Baboom! J’suis déconnecté, le bien être m’envahit, je suis sous l’emprise des réactions de mon corps, c’est trop, mes jambes se serrent autour de mon bras pour l’empêcher d’activer le zwei. Ce coups ci, ma prostate ne résiste pas expulse un jet de sperme, encore, et encore, en flux quasi continu. Il coule le long de mon bras, je reste la, bercé par la douceur des sensations qui retombent, envahie de bien être. Petit à petit je m’aperçois que le zwei pulse tranquillement, c’est agréable, je me sens bien, pour une fois je n’ai pas cette envie irrésistible de l’expulser. Je le caresser légèrement, trouve suspect cette action très anthropomorphique, parce qu’il faut bien le dire, à ce moment la, je le caresse comme l’amant qu’il a été. J’oublie cette pensé et savoure encore quelques temps la situation.

    Et la, une heure plus tard, j’en arrive à cette conclusion encore une fois :
    – Ma vie sexuelle est bien plus intense, exaltante depuis que je chemine 🙂
    J’espère bien partager tout ça un jour avec (un)e partenaire parce que malgré tout ce que cela m’apporte, j’ai l’impression qu’il manque quelque chose.
    Mais ça pas être facile, j’y arriverais surement, mais trouver quelqu’un en qui j’ai assez confiance pour me laisser aller à ce point, alors que déjà j’ai eu du mal à me faire confiance… Passer les quand dira t’on? Que se passera t’il si l’on se quitte fâché? Si mes “vices” sortent du cercle intime? Que vais je devenir moi qui contrôle mon image et dont un des principes de vie est “vivons heureux, vivons caché”?

    #17222
    Adam M.
    Maître des clés

    Excellent Nikos, vous êtes sur la bonne voie, persévérez et vous allez découvrir rapidement les orgasmes. Travaillez sur la détente et essayez d’être plus relaché. C’est très bon signes tout ce que vous nous racontez, vous êtes très proche. Bravo !

    #17216
    nikos
    Participant

    Merci pour votre réponse qui est très encourageante et réellement motivante @Andraneros.

    Gonflé à bloc de motivation, j’ai donc réalisé une nouvelle session hier soir. Je m’étais fixé comme but le relâchement de toutes mes tensions musculaires et une respiration abdominale détendue. Lors de plusieurs sessions précédentes j’avais remarqué que mes contractions anales tuaient assez vite les étincelles de plaisir, j’ai pensé que ces contractions étaient peut être trop fortes même si j’avais alors l’impression de doser.

    Je me suis donc mis en chien de fusil, position qui me permet de relâcher un maximum de muscles. Après une phase de détente de 15min, sans réellement le chercher ni comprendre comment je faisais, j’ai eu l’impression de discerner l’action des sphincters anaux de celle des muscles PC. Je ne saurais l’affirmer catégoriquement, mais il me semblait avoir les sphincters quasi relâchés et les PC très légèrement contractés, peut être entre 10 et 20% de leur max (hum… C’est très subjectif tout ça). Après, j’ai juste maté ce qu’il se passait au travers du petit trou de ma serrure. Les ischios ont vite été parcourus de petits spasmes, puis les fessiers ont fait de même. Déjà heureux de découvrir une réaction totalement nouvelle de mon corps j’ai juste continué, excité comme un gosse à qui on proposerait de monter dans une fusée.

    Peu de temps après, me focalisant sur le point de contact entre l’aneros et ma noix, j’ai découvert une autre nouvelle sensation. Lors des sessions précédentes, la surface de contact perçue était subjectivement faible, déclenchait une petite décharge / étincelle de plaisir qui remontait la colonne vertébrale. Cette fois c’était l’inverse. La surface de contact semblait importante, en fait je percevais toute la face antérieure de l’aneros. Le contact était délicieusement râpeux, surement le grain très fin du plastique de l’hélix classique. Je suis maintenant persuadé que l’Aneros fonctionne finalement parfaitement 😉 J’ai cherché à amplifier ma relaxation tout en maintenant mon niveau de contraction des PC pour accompagner cette autre nouvelle sensation. J’ai réussi à jouer une petite heure comme ça. C’était plutôt excitant de sentir ma petite noix enfler et se faire enfiler par les doux et longs va et viens de Mr Hélix. Mais paradoxalement, le niveau de plaisir ressenti consciemment était très faible.

    C’est un point clé sur lequel jouer lors de mes prochaines séances. Je n’ai pas su m’offrir à mon plaisir et lâcher prise. Non pas que je ne le désirais pas. Non pas faute de relâchement car tous mes membres semblaient très détendus (peut être la suite de mon cheminement me prouvera le contraire). Mon analyse à chaud en deux points :
    – Ma concentration était extrême sur comment entretenir ces providentielles contractions PC, cette attention a écrasé le plaisir.
    – Mon cerveau n’a pas fini de construire sa rampe de lancement à orgasmes prostatiques. Ma petite noix est encore paisiblement isolée dans sa campagne, loin du maelström des afflux nerveux conscients qui l’emporteront probablement un jour.
    Je vais continuer mon entrainement de sportif de haut niveau, ma préparation physique généralisée d’apprenti astronaute, jusqu’à ce que maintenir ce niveau de contraction PC soit naturel. Afin de pouvoir lâcher prise physiquement et surtout mentalement.

    Après cette session, j’ai quand même eu le sentiment que ma prostate était chargé à ras bord de propergol. Jusqu’ici tout est calme sur le pas de tir de la fusée Nikos. Le compte à rebours continue tranquillement. L’apprenti astronaute Nikos est confortablement installé et sanglé au creux de son poste de pilotage conscient. En revanche, il ne sait pas où en est ce gros sadique d’ingénieur Nikos du compte à rebours, planqué qu’il est derrière le poste de commandement de son inconscient. Un peu maso toutefois, l’astronaute Nikos prie pour que le décollage soit violent, il veut se prendre non pas des G, mais plutôt l’explosion de son propre point G en pleine face.

    J’ai terminé ma session sans TO pour ne pas vider mes réservoirs de leur précieux carburant. Je pense que cela aidera mon cerveau à recabler les terminaisons nerveuses plus rapidement.

    Paisiblement redescendu sur terre aujourd’hui. Assis au volant de ma twingo (beaucoup plus modeste comme véhicule spatial), j’avais juste des fourmis quelque part entre l’anus et le nombril. Ce n’était pas une vague de plaisir, juste un petit rappel de ce gros sadique d’ingénieur Nikos planqué dans son inconscient : le compte à rebours continue monsieur Nikos, l’apprenti astronaute. Oh oui ai-je envie de rajouter !

    J’ai discuté ce soir avec ma femme de la pratique du massage prostatique sous un angle plus paramédical que spatial, et j’ai trouvé une oreille attentive et compréhensive. Pour avoir parlé sex toys avec elle récemment, je sais que la pratique spatio-récréative va au delà des limites de sa planète sexe. Je vois ça comme une demie vérité pour notre bien à tous les deux. Plus que par des mots, c’est par le langage des corps que je la fusée Nikos aimerait l’inviter au fil de son voyage à changer d’orbite.

    #17175
    nikos
    Participant

    Bonjour,

    Commençons par des détails techniques très glamours mais tellement évidents… Si on ne se sent pas bien physiquement à 100%, ça marche pas. Une petite envie de pisser peut ruiner une séance, un repas trop riche, une fatigue ou une préoccupation particulière tout autant. Dernièrement suite à divers virus intestinaux (merci les enfants :), une petite crise d’hémorroïdes m’avait coupé dans mon élan de découverte. La crise s’étant calmée, je tente une nouvelle session nocturne. J’en suis à une dizaine de sessions. Cela faisait une semaine que je n’avais pas pratiqué et je n’en pouvais plus d’attendre 🙂

    A l’insertion je sens que les veines de l’anus sont encore un peu sensibles, ressens quelques grosses contractions réflexes d’expulsion désagréables mais gérables. Rapidement la décontraction fait disparaître toute gêne et je décide donc de poursuivre ma session. Je découvre cette nouvelle zone de mon corps et sa fragilité… Pendant la détente, de toutes petites étincelles de plaisir partant de la prostate et remontant le long de la colonne vertébrale apparaissent.

    Sensation étrange et nouvelle à la caresse du téton droit: toutes les terminaisons nerveuses du téton jusqu’à la fesse répondent de concert à ce stimulus. Re-cablage de terminaisons nerveuses ?

    Le point de contact entre l’aneros devient électrisé lorsque j’entame les contractions volontaires. C’est étrange, cela ne génère pas spécialement de plaisir sans être pour autant désagréable. Sensation neutre. Tout cela est ludique, même si il s’agit toujours de sensations très furtives, légères, presque auto-suggérées.

    De très légères contractions involontaires pointent timidement le bout du nez depuis quelques séances, je m’efforce de les entretenir sans qu’elles ne génèrent de plaisir clairement identifiable pour l’instant.

    Ressentant une légère gêne au niveau des sphincters après 3/4 d’heure je décide de retirer l’hélix et de me détendre quelques instants avec le tempo. Le contact de son petit corps lisse en acier, le contraste de température entre le métal et la chair sont divins. En passant sur le ventre, il s’enfonce un peu plus à chaque contraction jusqu’à être complètement inséré jusqu’à la dernière boule à sa base avant la garde. Et alors pendants quelques instants, la sensation de cette petite boule frottant sur les sphincters externes est très voluptueuse. La sensation ressemble à celle éprouvée lors d’une stimulation “classique” du gland, lorsque l’on est sur un plateau d’excitation avant de basculer dans la montée orgasmique. Sauf que là il s’agit de mon anus qui est excité. C’est inédit pour moi et assez émouvant 🙂 J’arrive à entretenir cette sensation qqs secondes avec qqs contractions rythmées mais un poil fortes. Le manque de décontraction et la fatigue font s’envoler cette nouvelle sensation. Dommage ça me plaisait bien. Je “craque” et termine ma session par un TO qui arrive très rapidement étant finalement bien excité par ma session. C’est agréable de sentir le petit aneros pomper pendant l’éjaculation.

    Voilà comment se passe mon cheminement de débutant et mes premières sessions. Je sens que la relaxation, la gestion de la respiration abdominale et profonde, le dosage subtil des contractions volontaires légères voire le do nothing seront les clés qui me permettront de progresser. Je sens que mon voyage sera long et plein de découvertes plaisantes. Pour l’instant quasiment chaque session, même si les vagues de plaisir ne sont que très très légères, amène de nouvelles sensations. Cela me motive et me rend impatient d’être à la session suivante. Mes sessions sont nocturnes, une fois femme et enfants endormis, dans un cadre douillet et sécurisant. Elles durent environ 1h à 1h30. Principalement positions chien de fusil ou sur le dos. Lubrification interne + externe sur l’aneros comme suggéré par @NXPL dans Le Traité.

    L’autre aspect important de mes débuts, pas forcément le plus évident : je suis à l’affût d’un moment de calme avec ma femme, l’esprit libéré des contraintes professionnelles, médicales et parentales, pour lui faire part de mon cheminement. Je ne rentrerai pas dans les détails techniques mais je pense plutôt évoquer la découverte de ce petit appareil sous l’angle paramédical (les grosseurs bénignes de la prostate étant une tradition familiale que je souhaite retarder autant que possible). L’envie de partager les mêmes sensations multi orgasmiques qu’elle lorsque nos corps fusionnent. Le plaisir de découvrir ces effets secondaires avec elle pour renforcer nos liens. Mon besoin de trouver un meilleur équilibre émotionnel jour après jour. Affaire à suivre !

    A bientôt

    #17140
    Papy6748
    Participant

    On ne peut rien cacher à Andreneros. Oui Filou j’ai commencé au printemps 2012. Puis je me suis retrouvé un peu comme Fanprostate faute du plaisir de la prostate qui refusait de venir. Il m’a fallu du temps pour prendre du recul et prendre conscience de mon manque de détente et de ma précipitation. Ca marche pour moi avec de la persévérance dans la pratique en acceptant de ne pas réussir tout de suite, en acceptant d’appliquer autant que possible les conseils de relaxation, en faisant l’effort de me détacher de mon pénis. Ca ne marche pas à chaque fois et ça prend du temps mais peu à peu je sens bien que ça évolue et après de longs mois j’ai l’impression d’entrer au paradis.

    Cela dit c’est loin d’être sur commande. Depuis mon dernier post je n’ai eu que 4 séances qui m’ont conduiit aux mini o dont 2 la semaine dernière. En fait je ne progresse pas dans l’absolu mais c’est la satisfaction moyenne qui augmente semauine après semaine. Donc à un moment ou à un autre je franchirai un nouveau seuil de plaisir. En tout cas j’y crois et je vous tiendrai au courant.

    Pour terminer puis-je demander si ceux qui ont réussi à connaître l’orgasme de la prostate y sont arrivés dans une progression constatnte et rapide ou bien s’ils ont eux aussi connu des hauts et des bas?

    #17134
    Andraneros
    Modérateur

    j’ai beaucoup de sensations très agréables et je sens bien le masseur prostatique sur ma prostate

    Selon ce que vous nous dites vous avez bien commencé votre cheminement. Vous faites, à mon avis, un bon diagnostic de votre situation. peut-être manquez-vous aussi de patience, ce qui va avec le manque de détente.

    L’une des difficultéd initiales de cet apprentissage est de dissocier les nouvelles sensations que l’on découvre de celles qui sont attachées au pénis tout en gardant un haut niveau d’excitation et de désir. La relaxation permet de relâcher les tensions musculaires qui naissent autour du bas ventre et de l’entrejambe, de se concentrer sur les sensations internes obtenues avec la pression et les mouvements du masseur.

    En mentionnant un “manque de détente ?” vous semblez avoir conscience d’une certaine faiblesse sur ce point. Vous pouvez apprendre à mieux vous détendre en dehors de vos sessions de massage. Si malgré tout vous ne parvenez pas à franchir votre barrière des 30 minutes, essayez par les moyens qui vous conviennent de désamorcer la pression qui vous conduit à la masturbation classique.

    Bon cheminement @fanprostate.

    #17131

    En réponse à: Présentation des membres

    fanprostate
    Participant

    Bonjour à tous,

    Je vous rejoins sur ce forum qui me passionne depuis plusieurs mois ; et finalement, je pense qu’il est intéressant d’y participer pour partager nos progrès… ou pas ! vers le plaisir prostatique.
    J’ai 63 ans et je cherche depuis quelques mois la voie vers l’orgasme prostatique. Je voulais ce matin vous faire part de ma difficulté, et je vous la recopie ci-dessous : (désolé, je viens déjà de l’exprimer dans la discussion “ma lente progression vers l’orgasme prostatique”, avant de m’apercevoir qu’il y avait un fil pour se présenter) ; alors voilà :

    En relisant les sujets débattus, je m’aperçois que personne ne semble rencontrer la plus grande difficulté que je rencontre :
    Quand j’essaie une session, j’ai beaucoup de sensations très agréables et je sens bien le masseur prostatique sur ma prostate. Mais, mon problème, je crois, c’est qu’au bout d’une demi heure, je ne peux m’empêcher d’accélérer des mouvements du bassin et surtout je finis toujours par toucher mon pénis (rarement en érection), comme s’il m’appelait pour le plaisir !
    Et au final, je finis au bout d’une heure par éjaculation et injaculation…
    Manque de détente ?

    A bientôt et bonne exploration à ceux qui cherchent encore :

    #17130
    fanprostate
    Participant

    Je vous rejoins sur ce forum car moi aussi j’essaie de progresser vers l’orgasme prostatique depuis plusieurs mois.
    En relisant les sujets débattus, je m’aperçois que personne ne semble rencontrer la plus grande difficulté que je rencontre. Alors, voilà :
    Quand j’essaie une session, j’ai beaucoup de sensations très agréables et je sens bien le masseur prostatique sur ma prostate. Mais, mon problème, je crois, c’est qu’au bout d’une demi heure, je ne peux m’empêcher d’accélérer des mouvements du bassin et surtout je finis toujours par toucher mon pénis (rarement en érection), comme s’il m’appelait pour le plaisir !
    Et au final, je finis au bout d’une heure par éjaculation et injaculation…
    Manque de détente ?

    #16812
    Jeff
    Participant

    Bonsoir Filou ;

    ne vous démoralisez surtout pas, il n’est pas possible que vous ne progressiez pas. Pour ma part, j’ai beaucoup travaillé la respiration telle qu’elle est préconisée dans notre traitée d’Aneros. Ensuite, sur les conseils de BruceWayne, je me suis attaqué à la relaxation et les progrès ont été très nets : le livre “la relaxation pour les nuls” m’a bien réussi ; certains ouvrages basiques sur l’hypnose aussi. Il faut parallèlement trouver des musiques de relaxation-détente qui vous plaisent (la FNAC, les bibliothèques municipales en regorgent). A moins que ne soyiez très sensible à d’autres genres (techno..etc).

    Les conseils de NXPL, Andraneros ont été formidables, même si je ne les ai pas suivis à la lettre.

    Super 44 m’a aussi ouvert de nouvelles et étonnantes possibilités avec le Njoy Pure Wand que j’utilise comme un masseur classique, en alternance avec l’Helix ou le Progasm. Mais c’est une autre histoire dont je rendrai compte une autre fois sur ce site.

    A bientôt et surtout ne vous faites pas de souci ; les ressources conjuguées du corps et du psychisme sont extraordinaires (pardon pour ce lieu commun auquel je crois sincèrement).

    Jeff

    #16649
    hector
    Participant

    Bonjour @filou,

    Je ne sais pas trop quoi te conseiller, n’ayant pas pour ma part de perte de sensations, même si je n’ai pas encore, à mon avis, atteint tout le potentiel orgasmique de la prostate.
    La variation des jouets, des stimulus excitant, la relaxation m’aident à progresser. En ce moment je joue avec un fairy et le massage de la zone entre les bourses et l’anus m’a apporté m’a première “éjaculation” de liquide pré-éjaculatoire (sensation d’éjaculation, beaucoup de liquide pré-éjaculatoire et pas de sperme) et d’autres très bonnes sensations.
    Certaines scènes érotiques ou pornographiques, certains enregistrement audio d’orgasmes féminins, certaines caresses et/ou états de détentes me procure des vagues de plaisir proches de celle que je peux obtenir avec un masseur ou d’autres jouets (mais pas l’orgasme non plus).
    Ce n’est pas évident de trouver ce qui marche, ni pourquoi ça marche d’autant plus que parfois, une stimulation marche et d’autre non.
    J’ai l’impression d’avoir du violenter un peut mon anatomie pour que ça marche (taille des jouets, puissance des vibrations) un peut comme @nomade mais en moins extrême. Pour d’autres, c’est plus la relaxation, la douceur qui leur permettent d’avancer.
    Mais, et bien que cela puisse sembler bateau et n’apporte pas bcp d’aide, j’ai l’impression qu’on a tous des barrières “intellectuelles” à faire tomber qui sont plus profondes que notre désir, notre envie de découvrir les plaisir de la prostate.

    Bref, le chemin n’est pas toujours évident à trouver, il faut continuer de chercher. Une chose est sur dans mon cas, si je n’ai pas un minimum d’excitation, cela ne marche pas. Est ce que vous n’êtes pas passer dans une démarche plus mécanique que sensuelle?

    #16122
    Andraneros
    Modérateur

    Je suis heureux @marmo que la crainte que vous avez manifestée à l’occasion de votre première intervention sur notre forum ait pu être remplacée par la confiance que vous procure le début de votre cheminement. Vous semblez commencer à bien ressentir les premiers effets du masseur sur votre prostate. Mettez-vous à l’écoute de ces sensations nouvelles sans chercher à provoquer « la suite ». Engagez chaque session avec vos masseurs sans rien attendre d’autre que le bonheur de passer un long moment de détente en harmonie avec votre sensualité.

    J’avance, c’est le principal et depuis je suis heureux.

    Vous recevez ces petits plaisirs comme les premiers cadeaux de votre cheminement. D’autres viendront quand vous serez prêt à les recevoir. Vous êtes sur la bonne voie. A très bientôt et bon cheminement @marmo.

    #15868

    En réponse à: Stronic Drei

    hector
    Participant

    Actuellement, je fais face à des intuitions, que je n’arrive pas à concrétiser. Ce sont des pistes qui se dessinent quand j’investigue là où les plaisirs me poussent. Je ne sais pas comment vous dire : une voie à explorer entre l’épuisement des chairs et la tonicité des muscles : la capacité à « tenir » son corps sans crispation, à laisser les muscles se tendre comme pour accrocher une masse sphérique en face de soi et la porter : une unité dans la contraction de tous les muscles (fessiers, cuisses, abdos, puis totalité de la jambe, buste, épaules), le plaisir de laisser tous ces muscles se darder puis se relacher comme ils le souhaitent, et se surprendre à s’évanouir de plaisir dans la détente. Sans crispation ni tension provenant du mental, et pour moi, c’était hors de portée.

    J’ai l’intuition qu’il y a un au-delà à la phase de contraction : que si le corps se contracte ainsi, c’est parce qu’il tente d’agripper un état de félicité. Ou quelque chose comme ça. Je ne sais pas 🙂

    Cela me fait terriblement penser à certains orgasmes de mon ex compagne lors de cunnilingus. Tout son corps se contractait, je devait lutter pour continuer à accéder à son sexe et le stimuler puis elle explosait de plaisir et se relâchait dans une certaine béatitude.
    C’est le type d’orgasme que j’aimerais atteindre en tout cas, mais cela ne me prend pas encore tout le corps.

    Je ne peux commencer par le Zwei. Il me faut auparavant pratiquer le Vice et le Duke. Une bonne une heure de préparatifs, qui en fait n’en sont pas. Disons que les préparatifs se suffisent à eux-mêmes. Actuellement, il y a deux issues : soit une sortie bienheureuse, active et **très** intense avec le Zwei, soit la quête également bienheureuse du super o’ dans l’immobilité et le souffle

    Dans ce genre de situation, le Zwei pourrai me convenir, d’ailleurs je pense qu’un enchainement drei zwei pourrait être sympa… Je sens que c’est mon portefeuille qui va encore pleurer… Enfin je vais essayer d’attendre un peu quand même et de découvrir plus le drei d’abord.
    En tout cas vos sessions ont l’air fort agréable et il est assez agréable de se faire dépasser par ses envies par moment 🙂

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